A vingt-quatre heures de Burkina Faso-Côte d’Ivoire, le pays des Hommes intègres s’embrase. Plus que jamais confiant, le peuple burkinabé croit dur comme fer à une victoire des Etalons, demain, sur les Eléphants. La fièvre est montée d’un cran dans le pays.
Le Burkina Faso se passionne pour ses Etalons. A vingt-quatre heures de l’épique confrontation entre les deux leaders de la poule E des éliminatoires de la CAN et du Mondial 2010, la tension est montée au Faso. Le pays des Hommes intègres se passionne pour son équipe nationale. Si l’enjeu reste avant tout la première place de ce groupe E, cette bataille entre pays frères est aussi une affaire de suprématie pour ces deux voisins.
Dans tout le pays, la fête a déjà commencé. De Koudougou à Ouaga, en passant par Banfora ou Bobo-Dioulasso, l’effervescence est déjà perceptible alors que le match ne se joue que samedi. Les drapeaux burkinabè ont envahi toutes les artères et les commerces. Les nombreux motocyclistes de Ouagadougou sont aussi entrés dans la dance. Sur leurs engins à deux roues, ils dévoilent avec fierté cette chère bannière vert et rouge, frappée d’une étoile jaune. Justement, les Burkinabè croient, tous, en l’étoile de leurs Etalons. Ils pronostiquent, tous, un succès sans bavure de leur équipe nationale. Les supporters des Etalons croient plus que jamais à une place de leur sélection nationale, l’année prochaine, en Afrique du Sud.
Le match à guichets fermés
Co-leaders de la poule E avec leurs adversaires de samedi, les Etalons ne veulent pas laisser passer leur chance. Ils entendent confirmer leur ambition en dominant, samedi, les Eléphants. Ouagadougou bouillonne déjà, à vingt-quatre heures, de cette rencontre décisive. Les tickets se sont arrachés comme des petits pains. Aujourd’hui, il est quasiment impossible de se procurer le fameux sésame. Des dizaines de centaine de supporters s’adonnent actuellement à des gymnastiques dans l’espoir de dénicher quelques improbables tickets. Le match se jouera à guichets fermés. Le stade du 4 août sera donc plein à craquer. Pour motiver les Etalons, la Fédération burkinabé de football a promis une prime de 5 millions de FCFA à chaque joueur en cas de victoire.
Par Koné Lassiné
Envoyé spécial à Ouagadougou
Le Burkina Faso se passionne pour ses Etalons. A vingt-quatre heures de l’épique confrontation entre les deux leaders de la poule E des éliminatoires de la CAN et du Mondial 2010, la tension est montée au Faso. Le pays des Hommes intègres se passionne pour son équipe nationale. Si l’enjeu reste avant tout la première place de ce groupe E, cette bataille entre pays frères est aussi une affaire de suprématie pour ces deux voisins.
Dans tout le pays, la fête a déjà commencé. De Koudougou à Ouaga, en passant par Banfora ou Bobo-Dioulasso, l’effervescence est déjà perceptible alors que le match ne se joue que samedi. Les drapeaux burkinabè ont envahi toutes les artères et les commerces. Les nombreux motocyclistes de Ouagadougou sont aussi entrés dans la dance. Sur leurs engins à deux roues, ils dévoilent avec fierté cette chère bannière vert et rouge, frappée d’une étoile jaune. Justement, les Burkinabè croient, tous, en l’étoile de leurs Etalons. Ils pronostiquent, tous, un succès sans bavure de leur équipe nationale. Les supporters des Etalons croient plus que jamais à une place de leur sélection nationale, l’année prochaine, en Afrique du Sud.
Le match à guichets fermés
Co-leaders de la poule E avec leurs adversaires de samedi, les Etalons ne veulent pas laisser passer leur chance. Ils entendent confirmer leur ambition en dominant, samedi, les Eléphants. Ouagadougou bouillonne déjà, à vingt-quatre heures, de cette rencontre décisive. Les tickets se sont arrachés comme des petits pains. Aujourd’hui, il est quasiment impossible de se procurer le fameux sésame. Des dizaines de centaine de supporters s’adonnent actuellement à des gymnastiques dans l’espoir de dénicher quelques improbables tickets. Le match se jouera à guichets fermés. Le stade du 4 août sera donc plein à craquer. Pour motiver les Etalons, la Fédération burkinabé de football a promis une prime de 5 millions de FCFA à chaque joueur en cas de victoire.
Par Koné Lassiné
Envoyé spécial à Ouagadougou