Le feuilleton du scandale des déchets toxiques se poursuit toujours malgré le « simulacre » de procès tenu à Abidjan. Dans un rapport bientôt disponible, les défenseurs des victimes de cette catastrophe humanitaire ont décidé de traduire devant le tribunal pénal international, les coupables, dont la société Trafigura, propriétaire du navire Probo koala ayant déversé les déchets toxiques à Abidjan et banlieue.
Ce rapport intervient dans le cadre de l’examen périodique
Des associations et défenseurs des victimes du Probo koala, reviennent à la charge. Un rapport détaillé sur le scandale du déversement des déchets toxiques survenu à Abidjan, en août 2006, soutenu par l’union des victimes de déchets toxiques d’Abidjan et banlieues, révèle des poursuites certaines contre les responsables de la catastrophe humanitaire. « Des poursuites seront intentées contres les responsables de la société Trafigura. Fort des informations démontrant les preuves de la culpabilité d’un autre rapport confidentiel qui démontre la culpabilité de Trafigura au sein duquel il ressort que les déchets déversés à Abidjan contenaient au moins deux tonnes de sulfure d'hydrogène. Résultats des analyses effectuées sur des prélèvements faits à Abidjan et qui sont au coeur des deux procès intentés à Londres et à Amsterdam contre Trafigura.
Cette entreprise avait pourtant toujours clamé qu'elle n'a déversé que de l'eau usagée dans la capitale ivoirienne. Les employeurs de la société hollandaise avaient déjà fait remarquer à leur employeur qu'ils ne pouvaient supporter l'odeur d'oeufs pourris qui se dégageait des produits et étaient victimes de malaise. Ces données relancent cette affaire qui a fait de nombreuses victimes à Abidjan.
Une requête au Président de la Cour d’Assises près de la Cour d’Appel d’Abidjan, aux fins de la suspension de la Cour d’Assises pour cause suspicion légitime, et le renvoi de la cause devant le Président de la Cour Suprême pour qu’il soit statué sur sa requête en dessaisissement et de renvoi à une autre session en application des dispositions des articles 326 et 631 du Code de Procédure Pénale.
en application de l’article 326 du Code de Procédure Pénale qui permet à cette juridiction au cas il ne peut comparaître dans la présente session, de renvoyer l’affaire à la prochaine session avait été introduite le 21 octobre par l’Union des Victimes des Déchets Toxiques d’Abidjan et Banlieues lors du procès qui a démarré le 29 septembre dans le scandale des déchets toxiques.
Cela agissant aux poursuites et différences de son Président Fondateur.
Lors des assises d’Abidjan tenu, le lundi 29 Septembre 2008, consacrée au jugement des personnes inculpées dans l’affaire du déversement des déchets toxiques . les victimes de l’UVDTAB et alliées par le biais de leur avocat le bâtonnier Maître Mario Stasi, s’étaient réservés le droit de porter plainte contre Trafigura, Probo Koala et autres. constatant un non lieu partiel au profit de N’ZI Kablan du Puma Energy, ainsi que les responsables de Trafigura.
qu’en effet, N’zi Kablan, directeur de la société Puma Energy (Filiale du groupe Trafigura) Claude Dauphin, Président Général de la société Trafigura Limited domicilié à Londres, Jean Pierre Valentini responsable du département Afrique au sein de Trafigura Limited, domicilié à Londres ont été mis hors de cause pour charge insuffisante.
Dénonçant par la suite que Jorge Louis Morero et de Paul Short du Probo Koala, les motifs avancés par la chambre d’accusation sont que, non seulement les investigations entreprises, n’ont pu permettre la découverte de leur identité complète respective, raison pour laquelle, ils n’ont pas été inculpés à cette participation à cette infraction, voire la manifestation de la vérité la requérante suspecte l’attitude ambigu de l’Etat qui se déclare mandataire des victimes et qui a pris sur lui d’abandonner les poursuites contre les responsables de Trafigura et de Puma Energy ainsi que ceux du Probo Koala chose que les victimes désapprouvent quand on sait qu’elles n’ont jamais donné de mandat express à l’Etat dans ce sens et ne se reconnaissent pas dans le protocole d’accord liant l’Etat à la Société Trafigura Que dès lors, les victimes estiment que le jugement de ce dossier en l’état ne peut permettre d’établir ou de situer la vérité sur les vrais coupables de leur malheur, parce qu’elles suspectent la main mise de l’Etat sur ce dossier qui par son attitude il s’est déjà désisté de toute action
Ce rapport intervient dans le cadre de l’examen périodique
Des associations et défenseurs des victimes du Probo koala, reviennent à la charge. Un rapport détaillé sur le scandale du déversement des déchets toxiques survenu à Abidjan, en août 2006, soutenu par l’union des victimes de déchets toxiques d’Abidjan et banlieues, révèle des poursuites certaines contre les responsables de la catastrophe humanitaire. « Des poursuites seront intentées contres les responsables de la société Trafigura. Fort des informations démontrant les preuves de la culpabilité d’un autre rapport confidentiel qui démontre la culpabilité de Trafigura au sein duquel il ressort que les déchets déversés à Abidjan contenaient au moins deux tonnes de sulfure d'hydrogène. Résultats des analyses effectuées sur des prélèvements faits à Abidjan et qui sont au coeur des deux procès intentés à Londres et à Amsterdam contre Trafigura.
Cette entreprise avait pourtant toujours clamé qu'elle n'a déversé que de l'eau usagée dans la capitale ivoirienne. Les employeurs de la société hollandaise avaient déjà fait remarquer à leur employeur qu'ils ne pouvaient supporter l'odeur d'oeufs pourris qui se dégageait des produits et étaient victimes de malaise. Ces données relancent cette affaire qui a fait de nombreuses victimes à Abidjan.
Une requête au Président de la Cour d’Assises près de la Cour d’Appel d’Abidjan, aux fins de la suspension de la Cour d’Assises pour cause suspicion légitime, et le renvoi de la cause devant le Président de la Cour Suprême pour qu’il soit statué sur sa requête en dessaisissement et de renvoi à une autre session en application des dispositions des articles 326 et 631 du Code de Procédure Pénale.
en application de l’article 326 du Code de Procédure Pénale qui permet à cette juridiction au cas il ne peut comparaître dans la présente session, de renvoyer l’affaire à la prochaine session avait été introduite le 21 octobre par l’Union des Victimes des Déchets Toxiques d’Abidjan et Banlieues lors du procès qui a démarré le 29 septembre dans le scandale des déchets toxiques.
Cela agissant aux poursuites et différences de son Président Fondateur.
Lors des assises d’Abidjan tenu, le lundi 29 Septembre 2008, consacrée au jugement des personnes inculpées dans l’affaire du déversement des déchets toxiques . les victimes de l’UVDTAB et alliées par le biais de leur avocat le bâtonnier Maître Mario Stasi, s’étaient réservés le droit de porter plainte contre Trafigura, Probo Koala et autres. constatant un non lieu partiel au profit de N’ZI Kablan du Puma Energy, ainsi que les responsables de Trafigura.
qu’en effet, N’zi Kablan, directeur de la société Puma Energy (Filiale du groupe Trafigura) Claude Dauphin, Président Général de la société Trafigura Limited domicilié à Londres, Jean Pierre Valentini responsable du département Afrique au sein de Trafigura Limited, domicilié à Londres ont été mis hors de cause pour charge insuffisante.
Dénonçant par la suite que Jorge Louis Morero et de Paul Short du Probo Koala, les motifs avancés par la chambre d’accusation sont que, non seulement les investigations entreprises, n’ont pu permettre la découverte de leur identité complète respective, raison pour laquelle, ils n’ont pas été inculpés à cette participation à cette infraction, voire la manifestation de la vérité la requérante suspecte l’attitude ambigu de l’Etat qui se déclare mandataire des victimes et qui a pris sur lui d’abandonner les poursuites contre les responsables de Trafigura et de Puma Energy ainsi que ceux du Probo Koala chose que les victimes désapprouvent quand on sait qu’elles n’ont jamais donné de mandat express à l’Etat dans ce sens et ne se reconnaissent pas dans le protocole d’accord liant l’Etat à la Société Trafigura Que dès lors, les victimes estiment que le jugement de ce dossier en l’état ne peut permettre d’établir ou de situer la vérité sur les vrais coupables de leur malheur, parce qu’elles suspectent la main mise de l’Etat sur ce dossier qui par son attitude il s’est déjà désisté de toute action