A 23 ans, le milieu de terrain international ivoirien du FC Twente (D1 Pays-Bas) ne cache plus sa volonté de rejoindre un club français pour poursuivre sa progression.
•Avec Twente, le public sportif ivoirien vous a surtout découvert en Coupe Uefa cette saison. Pourquoi selon vous, vous restez encore à l'ombre ?
C'est la volonté de Dieu. Tout le monde n'a pas la chance de se faire connaître. J'ai la chance d'avoir été vu grâce à la Coupe Uefa. Je ne peux que dire merci à Dieu et espérer que les choses se passeront bien pour moi la saison prochaine.
•Où avez-vous commencé à jouer?
C'est au FC Bibo de Treichville que j'ai fait mes premiers pas. C'est de ce centre de formation que j'ai rejoint Anderlecht en Belgique. Après trois saisons en Belgique, j'ai été prêté à Roda JC durant une année. Depuis la saison dernière, j'ai signé au FC Twente pour quatre ans.
•Inconnu du championnat national local, comment vous êtes-vous retrouvé en Europe aussi facilement ?
C'est au terme d'une rencontre amicale FC Bibo-Académie Mimosifcom à Sol béni que j'ai été repéré. Les dirigeants d'Anderlecht ont assisté à ce match et m'ont recruté.
•Comment avez-vous ressenti votre première convocation chez les Eléphants face au Malawi ?
Cela m'a fait plaisir surtout quand on sait que notre sélection regorge de bons joueurs. J'ai profité de la blessure de Yaya Touré pour être appelé. Cela signifie que le coach Vahid Halilhodzic me surveille. Il connaît bien mes qualités et c'est pour cela qu'il m'a appelé.
•Comment avez-vous été accueilli par vos coéquipiers de la sélection surtout que vous étiez peu connu?
J'ai été bien accueilli par l'ensemble du groupe. Je reconnais que je connaissais déjà un peu certains. Je veux parler de Kolo Touré, Eboué Emmanuel, Coulibaly Kafoumba ou encore de Cissé Sékou.
•Quelles sont vos ambitions avec les Eléphants ?
J'entends suivre l'exemple des aînés. J'attends patiemment mon heure tout en continuant de travailler. Le jour où on me donnera ma chance, je la saisirai.
•L'Olympique de Marseille et le PSG vous courtisent dit-on Confirmez-vous ?
Oui. Il est vrai qu'il y a des contacts mais encore rien de concret. On priera le bon Dieu pour que ça se fasse.
•Etes-vous intéressé par un transfert en France ?
Absolument ! En France, le championnat est médiatisé. Oui, je veux jouer en France. Et de là-bas, je pourrai me retrouver partout. Si j'ai l'occasion de signer dans un club français, j'y vais tête baissée.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
•Avec Twente, le public sportif ivoirien vous a surtout découvert en Coupe Uefa cette saison. Pourquoi selon vous, vous restez encore à l'ombre ?
C'est la volonté de Dieu. Tout le monde n'a pas la chance de se faire connaître. J'ai la chance d'avoir été vu grâce à la Coupe Uefa. Je ne peux que dire merci à Dieu et espérer que les choses se passeront bien pour moi la saison prochaine.
•Où avez-vous commencé à jouer?
C'est au FC Bibo de Treichville que j'ai fait mes premiers pas. C'est de ce centre de formation que j'ai rejoint Anderlecht en Belgique. Après trois saisons en Belgique, j'ai été prêté à Roda JC durant une année. Depuis la saison dernière, j'ai signé au FC Twente pour quatre ans.
•Inconnu du championnat national local, comment vous êtes-vous retrouvé en Europe aussi facilement ?
C'est au terme d'une rencontre amicale FC Bibo-Académie Mimosifcom à Sol béni que j'ai été repéré. Les dirigeants d'Anderlecht ont assisté à ce match et m'ont recruté.
•Comment avez-vous ressenti votre première convocation chez les Eléphants face au Malawi ?
Cela m'a fait plaisir surtout quand on sait que notre sélection regorge de bons joueurs. J'ai profité de la blessure de Yaya Touré pour être appelé. Cela signifie que le coach Vahid Halilhodzic me surveille. Il connaît bien mes qualités et c'est pour cela qu'il m'a appelé.
•Comment avez-vous été accueilli par vos coéquipiers de la sélection surtout que vous étiez peu connu?
J'ai été bien accueilli par l'ensemble du groupe. Je reconnais que je connaissais déjà un peu certains. Je veux parler de Kolo Touré, Eboué Emmanuel, Coulibaly Kafoumba ou encore de Cissé Sékou.
•Quelles sont vos ambitions avec les Eléphants ?
J'entends suivre l'exemple des aînés. J'attends patiemment mon heure tout en continuant de travailler. Le jour où on me donnera ma chance, je la saisirai.
•L'Olympique de Marseille et le PSG vous courtisent dit-on Confirmez-vous ?
Oui. Il est vrai qu'il y a des contacts mais encore rien de concret. On priera le bon Dieu pour que ça se fasse.
•Etes-vous intéressé par un transfert en France ?
Absolument ! En France, le championnat est médiatisé. Oui, je veux jouer en France. Et de là-bas, je pourrai me retrouver partout. Si j'ai l'occasion de signer dans un club français, j'y vais tête baissée.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo