Débutées le 28 mars dernier à Grand Bassam, les compétitions de l’Oissu (Office ivoirien du sport scolaire et universitaire) ont pris fin, hier, au Parc des sports de Treichville par les finales nationales. Le moins que l’on puisse dire, c’est que ces compétitions ont démontré une fois de plus que le sport en milieu scolaire regorge d’innombrables talents. Le nombreux public, parmi lequel on notait la présence de plusieurs ministres, de présidents de fédération est reparti rassuré de ce que la relève du sport ivoirien, toutes disciplines confondues, est garantie. Les 360 athlètes, issus du primaire, du secondaire et du supérieur qui ont rivalisé dans 15 finales, ont produit des spectacles de qualité.
Une belle fête sportive à l’honneur de Dagobert Banzio, le ministre de la Jeunesse, du Sport et des Loisirs. Qui, 12 ans après les finales nationales de Daloa et malgré la crise, a réussi à donner vie à l’Oissu et à en faire tribune par excellence de détection des jeunes talents, pour la grandeur du sport ivoirien. C’est pourquoi, à la cérémonie d’ouverture, son homologue Dosso Moussa a tenu à lui rendre un vibrant hommage pour son initiative en faveur de la jeunesse. « Monsieur le ministre, votre initiative n’a pas été vaine. A travers ces belles finales auxquelles nous assistons, vous avez donné vie au sport scolaire. Soyez en remercié. Car l’Oissu ressuscité, c’est le sport ivoirien qui gagne», a souligné le ministre de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle.
En tout cas, le public ne s’est pas ennuyé .Que ce soit au football, au handball, au basket-ball, au cross, les rencontres ont été d’un niveau technique appréciable. Avec en prime, les belles performances de Mlle Vahoua Lou Djessa de l’Epp Bonoua qui a enlevé la 1ère place au 4000 m avec un temps de 17’07’’. Chez les garçons, la victoire est revenue à Koné Yacouba de l’Epp Sogefia Abobo. Il a parcouru l’épreuve en 14’33’’
Au football, le lycée moderne de Bondoukou est monté sur la plus haute marche du podium avec sa victoire (4-3) aux tirs au but sur Bouaflé. De même que l’Epp Abattoir de Daloa, vainqueur aux tirs au but (5-3) au détriment de l’Epp Kaudjis d’Adzopé.
La finale de handball fille du primaire a tenu toutes ses promesses. Toutefois, le trophée est revenu à l’Epp Méagui 2 Soubré, victorieuse (10-8) d’Angouakro d’Abengou-rou.
Au moment où nous mettions sous presse, les autres finales se disputaient.
Nous y reviendrons.
D. Mohamed
Une belle fête sportive à l’honneur de Dagobert Banzio, le ministre de la Jeunesse, du Sport et des Loisirs. Qui, 12 ans après les finales nationales de Daloa et malgré la crise, a réussi à donner vie à l’Oissu et à en faire tribune par excellence de détection des jeunes talents, pour la grandeur du sport ivoirien. C’est pourquoi, à la cérémonie d’ouverture, son homologue Dosso Moussa a tenu à lui rendre un vibrant hommage pour son initiative en faveur de la jeunesse. « Monsieur le ministre, votre initiative n’a pas été vaine. A travers ces belles finales auxquelles nous assistons, vous avez donné vie au sport scolaire. Soyez en remercié. Car l’Oissu ressuscité, c’est le sport ivoirien qui gagne», a souligné le ministre de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle.
En tout cas, le public ne s’est pas ennuyé .Que ce soit au football, au handball, au basket-ball, au cross, les rencontres ont été d’un niveau technique appréciable. Avec en prime, les belles performances de Mlle Vahoua Lou Djessa de l’Epp Bonoua qui a enlevé la 1ère place au 4000 m avec un temps de 17’07’’. Chez les garçons, la victoire est revenue à Koné Yacouba de l’Epp Sogefia Abobo. Il a parcouru l’épreuve en 14’33’’
Au football, le lycée moderne de Bondoukou est monté sur la plus haute marche du podium avec sa victoire (4-3) aux tirs au but sur Bouaflé. De même que l’Epp Abattoir de Daloa, vainqueur aux tirs au but (5-3) au détriment de l’Epp Kaudjis d’Adzopé.
La finale de handball fille du primaire a tenu toutes ses promesses. Toutefois, le trophée est revenu à l’Epp Méagui 2 Soubré, victorieuse (10-8) d’Angouakro d’Abengou-rou.
Au moment où nous mettions sous presse, les autres finales se disputaient.
Nous y reviendrons.
D. Mohamed
