M. Veh Sodet Félix, Directeur général des transports terrestres et de la circulation (DGTTC) a profité hier de la conférence publique initiée par l'Association nationale des piétons et usagers du transport en Côte d'Ivoire (ANPUT-CI) au district d'Abidjan au Plateau, pour se prononcer pour la première fois sur la crise qui oppose depuis quelque temps, sa structure à la SONATT via le ministère des transports, sur les compétences et domaines d'intervention de chaque administration.
“C'est un débat qui me fait parfois désespérer. Si c'est un débat juridique, je suis partant. Mon silence ne veut pas dire que je n'ai rien à dire. Sinon depuis 2004, la DGTTC et la SONATT ont été mises en puissance en même temps. Le travail revenant à la DGTTC a été modifié peu après par le ministère par un arrêté ministériel invalidé en fin de compte par la cour suprême. Ainsi on doit donc revenir à la case de départ. A notre sens, il n'y a plus de débats. Mais le dossier est sur la table du premier ministre pour que les principes de fonctionnement soient bien établis”, a indiqué le D.G des transports terrestres pour qui il devrait y avoir une cohabitation pacifique entre les directions centrales et les structures sous tutelle comme cela se passe aux ministères de l'économie, de la construction et de l'urbanisme par exemple. Il a regretté que pour des questions de permis de conduire et de cartes grises, l'on en arrive à des problèmes de personnes qui mettent à mal, le fonctionnement des services de l'Etat et causent des préjudices énormes aux usagers. M. Veh Sodet Félix a appelé à un travail d'équipe "au lieu de voir chacun travailler tout seul".
Le directeur général des transports terrestres qui intervenait sur le thème : "organisation des transports terrestres en Côte d'Ivoire", a rassuré les uns et les autres que des campagnes de sensibilisation sont en train d'être menées pour réduire le nombre de syndicats opérant dans le secteur et l'appropriation des technologies de fabrication de voitures à l'instar de la Sotra par les opérateurs économiques ivoiriens pour reduire le coût élevé des voitures.
Didier Kéi
“C'est un débat qui me fait parfois désespérer. Si c'est un débat juridique, je suis partant. Mon silence ne veut pas dire que je n'ai rien à dire. Sinon depuis 2004, la DGTTC et la SONATT ont été mises en puissance en même temps. Le travail revenant à la DGTTC a été modifié peu après par le ministère par un arrêté ministériel invalidé en fin de compte par la cour suprême. Ainsi on doit donc revenir à la case de départ. A notre sens, il n'y a plus de débats. Mais le dossier est sur la table du premier ministre pour que les principes de fonctionnement soient bien établis”, a indiqué le D.G des transports terrestres pour qui il devrait y avoir une cohabitation pacifique entre les directions centrales et les structures sous tutelle comme cela se passe aux ministères de l'économie, de la construction et de l'urbanisme par exemple. Il a regretté que pour des questions de permis de conduire et de cartes grises, l'on en arrive à des problèmes de personnes qui mettent à mal, le fonctionnement des services de l'Etat et causent des préjudices énormes aux usagers. M. Veh Sodet Félix a appelé à un travail d'équipe "au lieu de voir chacun travailler tout seul".
Le directeur général des transports terrestres qui intervenait sur le thème : "organisation des transports terrestres en Côte d'Ivoire", a rassuré les uns et les autres que des campagnes de sensibilisation sont en train d'être menées pour réduire le nombre de syndicats opérant dans le secteur et l'appropriation des technologies de fabrication de voitures à l'instar de la Sotra par les opérateurs économiques ivoiriens pour reduire le coût élevé des voitures.
Didier Kéi
