Le chef de service du 23ème arrondissement de police de Yopougon Andokoi, le commissaire Chérif Souleymane, a été libéré. Il est sorti le vendredi 26 juin à 9h, de l’école nationale de police où il était gardé depuis le 18 juin. En effet, sur la base de la présomption de fraude sur les attestations d’identité, le commissaire Chérif Souleymane a été arrêté et après un passage à la police criminelle, il a été transféré à l’école nationale de police. Il y est resté pendant 15 jours avant d’être libéré le vendredi dernier.
Rappelons qu’il lui était reproché d’avoir signé des attestations d’identité douteuses et, dit-on, il les avait gardées par devers lui dans son bureau. Signalons que son arrestation avait été perçue par nos confrères du quotidien Le Patriote, journal du RDR, comme étant une chasse à un homme du Nord, initiée par le ministre Désiré Tagro. Dans notre récente parution, nous avions rapporté la réaction du commissaire Chérif Souleymane qui condamnait cette exploitation à caractère régional de l’affaire. Il était en courroux parce qu’il veut rester loin des tribunes politiques et ne veut pas être associé aux accusations qui tendent à mêler le ministre Désiré Tagro à son arrestation. Depuis vendredi, il a retrouvé la liberté. Maintenant, il espère retrouver son poste si sa responsabilité n’est pas établie dans les faits mis à sa charge.
Benjamin Koré
Rappelons qu’il lui était reproché d’avoir signé des attestations d’identité douteuses et, dit-on, il les avait gardées par devers lui dans son bureau. Signalons que son arrestation avait été perçue par nos confrères du quotidien Le Patriote, journal du RDR, comme étant une chasse à un homme du Nord, initiée par le ministre Désiré Tagro. Dans notre récente parution, nous avions rapporté la réaction du commissaire Chérif Souleymane qui condamnait cette exploitation à caractère régional de l’affaire. Il était en courroux parce qu’il veut rester loin des tribunes politiques et ne veut pas être associé aux accusations qui tendent à mêler le ministre Désiré Tagro à son arrestation. Depuis vendredi, il a retrouvé la liberté. Maintenant, il espère retrouver son poste si sa responsabilité n’est pas établie dans les faits mis à sa charge.
Benjamin Koré