Les boulangers et autres pâtissiers s’approvisionnent à coûts très intéressants.
Qui ne se souvient de la flambée des cours du blé sur le marché mondial qui avait occasionné la hausse du prix du kilogramme des farine, il y, a seulement deux ans. Aujourd’hui, les choses vont beaucoup mieux pour les utilisateurs de la farine que sont les boulangers et pâtissiers. De 19 mille francs CFA, en 2008, le sac de farine de 50 kg coûte aujourd’hui, 9 mille francs CFA. L’information a été révélée hier, au cours d’un déjeuner de presse par le directeur général des Grands moulins d’Abidjan (GMA), Félix Diouf. Cette réalité des prix était en passe de passer inaperçue pour le grand public parce qu’il ne l’a pas perçue sur le prix de la baguette de pain. Puisque les boulangers ne l’ont quasiment pas répercutée sur le prix de leurs produits. A leur décharge, le directeur général des Grands moulins rappelle que pendant les dures années de hausse du prix de la farine, les boulangers ont fait le sacrifice de supporter seuls la différence. Pour lui, le prix actuel de la farine leur donne une marge de manoeuvre. Pourvu qu’ils aient un bon emplacement, des employés bien formés, etc. Parce qu’il n’y a pas que le prix de la farine qui compte dans l’affaire… d’autres paramètres sont tout aussi importants.
Cette extraordinaire baisse, explique M. Diouf, est à mettre au compte de la baisse des cours de l’ordre de 17% de la matière première, le blé. Mais, il y a aussi, ajoute-t-il, «une volonté des industriels que sont les Grands les moulins d’Abidjan d’élargir davantage le nombre des consommateurs de farine en Côte d’Ivoire». Et puis, il y a la concurrence. Trois industriels du secteur de la production de la farine de blé existent maintenant en Côte d’Ivoire. M. Diouf reconnaît que cela fait partie de la donne qui joue dans la fixation des prix.
Concernant la concurrence, le plus vieux moulin de Côte d’Ivoire dit la gérer avec succès. Dans la mesure où ses ventes ont connu une hausse de 30%.
Quant à ceux qui s’interrogeraient sur la qualité de la farine produite en Côte d’Ivoire, M. Diouf explique qu’il n’y a rien à craindre. Dans la mesure où l’accent est mis sur le contrôle biologique du produit dans des laboratoires tels que l’institut Pasteur d’Abidjan et d’autres laboratoires en France.
Alakagni Hala
Qui ne se souvient de la flambée des cours du blé sur le marché mondial qui avait occasionné la hausse du prix du kilogramme des farine, il y, a seulement deux ans. Aujourd’hui, les choses vont beaucoup mieux pour les utilisateurs de la farine que sont les boulangers et pâtissiers. De 19 mille francs CFA, en 2008, le sac de farine de 50 kg coûte aujourd’hui, 9 mille francs CFA. L’information a été révélée hier, au cours d’un déjeuner de presse par le directeur général des Grands moulins d’Abidjan (GMA), Félix Diouf. Cette réalité des prix était en passe de passer inaperçue pour le grand public parce qu’il ne l’a pas perçue sur le prix de la baguette de pain. Puisque les boulangers ne l’ont quasiment pas répercutée sur le prix de leurs produits. A leur décharge, le directeur général des Grands moulins rappelle que pendant les dures années de hausse du prix de la farine, les boulangers ont fait le sacrifice de supporter seuls la différence. Pour lui, le prix actuel de la farine leur donne une marge de manoeuvre. Pourvu qu’ils aient un bon emplacement, des employés bien formés, etc. Parce qu’il n’y a pas que le prix de la farine qui compte dans l’affaire… d’autres paramètres sont tout aussi importants.
Cette extraordinaire baisse, explique M. Diouf, est à mettre au compte de la baisse des cours de l’ordre de 17% de la matière première, le blé. Mais, il y a aussi, ajoute-t-il, «une volonté des industriels que sont les Grands les moulins d’Abidjan d’élargir davantage le nombre des consommateurs de farine en Côte d’Ivoire». Et puis, il y a la concurrence. Trois industriels du secteur de la production de la farine de blé existent maintenant en Côte d’Ivoire. M. Diouf reconnaît que cela fait partie de la donne qui joue dans la fixation des prix.
Concernant la concurrence, le plus vieux moulin de Côte d’Ivoire dit la gérer avec succès. Dans la mesure où ses ventes ont connu une hausse de 30%.
Quant à ceux qui s’interrogeraient sur la qualité de la farine produite en Côte d’Ivoire, M. Diouf explique qu’il n’y a rien à craindre. Dans la mesure où l’accent est mis sur le contrôle biologique du produit dans des laboratoires tels que l’institut Pasteur d’Abidjan et d’autres laboratoires en France.
Alakagni Hala