Les experts de la lutte contre la détérioration de l’environnement sont en réflexion pour trouver les voies et moyens pour améliorer la qualité de l’air en Afrique de l’ouest. La cérémonie d’ouverture de l’atelier a eu lieu, hier, à l’hôtel Tiama, à Abidjan-Plateau.
Le directeur de cabinet du ministère de l’Environnement, Mermoz Kassi Kadio, a déclaré que le sujet est d’actualité et que les experts doivent réfléchir sur les stratégies et outils à mettre en place en vue d’améliorer la qualité de l’air en Afrique de l’Ouest. “La pollution de l’air demeure le défi majeur. C’est la raison pour laquelle il faut trouver des mesures idoines pour préserver la santé des populations. En Côte d’Ivoire, dans toutes les grandes villes, les émissions des polluants sont de source fixe et mobile”, a-t-il dit. Il a révélé que la situation n’est pas différente au sein des pays frontaliers à la Côte d’Ivoire.
Le directeur général de la Société ivoirienne de raffinage (SIR), Joël Dervain, président de l’Association des raffineurs africains (ARA), a indiqué que les raffineurs sont concernés par la qualité de l’air parce qu’il y va du développement durable.
Lors des communications, Kevin Hicks du Forum mondial sur la pollution atmosphérique (GAPF) a annoncé que sa structure aide les pays à aller vers le développement durable. Pour ce faire, il a dit qu’un réseau est mis en place ainsi qu’un système technique et un consensus dans la production et émission de gaz. Il est convaincu que les problèmes liés à la pollution sont globaux.
Plusieurs communications sont au menu de l’atelier. Notamment, “coûts et avantages de la réduction des émissions des véhicules”, “gestion de la qualité de l’air urbain-approche sectorielle”.
L’atelier prend fin demain avec la séance ministériele et la finalisation du plan d’action.
Gomon Edmond gomonedmond@yahoo.fr
Le directeur de cabinet du ministère de l’Environnement, Mermoz Kassi Kadio, a déclaré que le sujet est d’actualité et que les experts doivent réfléchir sur les stratégies et outils à mettre en place en vue d’améliorer la qualité de l’air en Afrique de l’Ouest. “La pollution de l’air demeure le défi majeur. C’est la raison pour laquelle il faut trouver des mesures idoines pour préserver la santé des populations. En Côte d’Ivoire, dans toutes les grandes villes, les émissions des polluants sont de source fixe et mobile”, a-t-il dit. Il a révélé que la situation n’est pas différente au sein des pays frontaliers à la Côte d’Ivoire.
Le directeur général de la Société ivoirienne de raffinage (SIR), Joël Dervain, président de l’Association des raffineurs africains (ARA), a indiqué que les raffineurs sont concernés par la qualité de l’air parce qu’il y va du développement durable.
Lors des communications, Kevin Hicks du Forum mondial sur la pollution atmosphérique (GAPF) a annoncé que sa structure aide les pays à aller vers le développement durable. Pour ce faire, il a dit qu’un réseau est mis en place ainsi qu’un système technique et un consensus dans la production et émission de gaz. Il est convaincu que les problèmes liés à la pollution sont globaux.
Plusieurs communications sont au menu de l’atelier. Notamment, “coûts et avantages de la réduction des émissions des véhicules”, “gestion de la qualité de l’air urbain-approche sectorielle”.
L’atelier prend fin demain avec la séance ministériele et la finalisation du plan d’action.
Gomon Edmond gomonedmond@yahoo.fr