Nicolas Sarkozy est sorti de l’hôpital du Val-de-Grâce à Paris, ce lundi matin peu après 11H00 (09h000TU). Il avait été admis la veille à la suite d’un malaise alors qu’il faisait un jogging dans le parc du château de Versailles.
Il devra juste se reposer quelques jours. Le président français avait été victime vingt-quatre heures auparavant d’un malaise. Un « repos relatif de quelques jours » a été conseillé au président français.
Le président français a quitté l’hôpital parisien à pied, souriant, en costume noir, tenant la main de sa femme, Carla Bruni-Sarkozy, avant de monter dans une voiture.
Au même moment, un communiqué publié par l’Elysée précisait que le malaise n’avait « aucune cause ni conséquence cardiologique ». La surveillance cardiologique du président de la République s’est terminée ce matin.
Durant son séjour hospitalier, Nicolas Sarkozy a subi un bilan sanguin, un électroencéphalogramme, une IRM cérébrale et une coronarographie. Les résultats de ces examens ont amené l’équipe médicale à conclure qu’il n’existait aucun élément électrocardiographique évocateur d’un trouble du rythme. Le diagnostic est donc celui d’un malaise lipothymique d’effort soutenu par grande chaleur et sans perte de connaissance, dans un contexte de fatigue liée à une charge de travail importante.
Rfi
Il devra juste se reposer quelques jours. Le président français avait été victime vingt-quatre heures auparavant d’un malaise. Un « repos relatif de quelques jours » a été conseillé au président français.
Le président français a quitté l’hôpital parisien à pied, souriant, en costume noir, tenant la main de sa femme, Carla Bruni-Sarkozy, avant de monter dans une voiture.
Au même moment, un communiqué publié par l’Elysée précisait que le malaise n’avait « aucune cause ni conséquence cardiologique ». La surveillance cardiologique du président de la République s’est terminée ce matin.
Durant son séjour hospitalier, Nicolas Sarkozy a subi un bilan sanguin, un électroencéphalogramme, une IRM cérébrale et une coronarographie. Les résultats de ces examens ont amené l’équipe médicale à conclure qu’il n’existait aucun élément électrocardiographique évocateur d’un trouble du rythme. Le diagnostic est donc celui d’un malaise lipothymique d’effort soutenu par grande chaleur et sans perte de connaissance, dans un contexte de fatigue liée à une charge de travail importante.
Rfi