Le président de l’Africa Sports se dit très heureux de la victoire de ses poulains, jeudi, en finale de la Coupe nationale face à l’Asec (2-1). Maintenant, il rêve de réaliser le doublé Coupe-Championnat.
Comment savourez-vous votre premier succès obtenu devant l’Asec, jeudi, en finale de la Coupe nationale ?
Avec joie. Il s’agit effectivement de ma première victoire devant l’Asec depuis que je suis le président de l’Africa et cela me rend très heureux. Certains craignaient que l’équipe perde encore devant l’Asec à l’occasion de cette finale mais nous avons donné une bonne réponse.
Quelle est la première chose qui vous vient à l’esprit après ce succès ?
La première chose qui me vient à l’esprit est de remercier les supporters de l’Africa qui n’arrêtent pas de nous soutenir et de nous aider. Ils ont beaucoup souffert ces derniers temps et je suis content pour eux.
Remporter la Coupe nationale est une bonne chose. Qu’est-ce qu’elle changera dans votre quotidien ?
En ce qui me concerne, je m’attelle à l’amélioration de nos structures et de notre jeu. Je rêve aussi de voir les jeunes joueurs qui ont choisi le football comme métier, bien gagner leur vie grâce à ce sport.
Peut-on dire que la saison 2009 de l’Africa est sauvée ?
Non. Nous travaillons toujours pour conserver notre titre. L’idéal pour nous serait de réaliser le doublé : Coupe-Championnat.
Au-delà de votre victoire en Coupe nationale, avez-vous été ravi de la prestation de vos joueurs ?
Mieux qu’hier, les prestations de mes garçons s’améliorent. Le jeu est meilleur que celui de la saison dernière. Il sera encore meilleur la saison prochaine. Nous y travaillons.
N’avez-vous pas le sentiment que les talents se font de plus en plus rares ?
Notre marché est ivoirien. Nous travaillons donc avec des joueurs ivoiriens recrutés dans les communes et différentes villes. Nous allons continuer de prospecter pour avoir les meilleurs joueurs mais nous ne sommes pas seuls car la concurrence est rude.
On imagine que vous auriez souhaité savourer votre victoire en Coupe nationale devant des gradins remplis…
C’est triste que nous soyons parvenus à cette situation. Nous aurions pu avoir un stade Houphouët-Boigny plus rempli avec 40.000 spectateurs. Malheureusement la capacité de ce stade a été réduite de moitié. Ce sont les sanctions de la Fifa et nous n’y pouvons rien.
Que proposez-vous pour éviter pareille situation ?
Il faut faire en sorte que dans les années à venir, nous évitons ce genre de situations. Cela donnera plus de ferveur à notre football. On s’aperçoit aujourd’hui que les Ivoiriens adorent le football. Et notre rôle est de leur offrir du beau spectacle.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
Comment savourez-vous votre premier succès obtenu devant l’Asec, jeudi, en finale de la Coupe nationale ?
Avec joie. Il s’agit effectivement de ma première victoire devant l’Asec depuis que je suis le président de l’Africa et cela me rend très heureux. Certains craignaient que l’équipe perde encore devant l’Asec à l’occasion de cette finale mais nous avons donné une bonne réponse.
Quelle est la première chose qui vous vient à l’esprit après ce succès ?
La première chose qui me vient à l’esprit est de remercier les supporters de l’Africa qui n’arrêtent pas de nous soutenir et de nous aider. Ils ont beaucoup souffert ces derniers temps et je suis content pour eux.
Remporter la Coupe nationale est une bonne chose. Qu’est-ce qu’elle changera dans votre quotidien ?
En ce qui me concerne, je m’attelle à l’amélioration de nos structures et de notre jeu. Je rêve aussi de voir les jeunes joueurs qui ont choisi le football comme métier, bien gagner leur vie grâce à ce sport.
Peut-on dire que la saison 2009 de l’Africa est sauvée ?
Non. Nous travaillons toujours pour conserver notre titre. L’idéal pour nous serait de réaliser le doublé : Coupe-Championnat.
Au-delà de votre victoire en Coupe nationale, avez-vous été ravi de la prestation de vos joueurs ?
Mieux qu’hier, les prestations de mes garçons s’améliorent. Le jeu est meilleur que celui de la saison dernière. Il sera encore meilleur la saison prochaine. Nous y travaillons.
N’avez-vous pas le sentiment que les talents se font de plus en plus rares ?
Notre marché est ivoirien. Nous travaillons donc avec des joueurs ivoiriens recrutés dans les communes et différentes villes. Nous allons continuer de prospecter pour avoir les meilleurs joueurs mais nous ne sommes pas seuls car la concurrence est rude.
On imagine que vous auriez souhaité savourer votre victoire en Coupe nationale devant des gradins remplis…
C’est triste que nous soyons parvenus à cette situation. Nous aurions pu avoir un stade Houphouët-Boigny plus rempli avec 40.000 spectateurs. Malheureusement la capacité de ce stade a été réduite de moitié. Ce sont les sanctions de la Fifa et nous n’y pouvons rien.
Que proposez-vous pour éviter pareille situation ?
Il faut faire en sorte que dans les années à venir, nous évitons ce genre de situations. Cela donnera plus de ferveur à notre football. On s’aperçoit aujourd’hui que les Ivoiriens adorent le football. Et notre rôle est de leur offrir du beau spectacle.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
