La famille de l'ancien chef d'Etat, le général Robert Guéi a présenté dimanche les deux raisons essentielles qui motivent le report de la date de ses obsèques.
Les obsèques du général Robert Guei n'auront plus lieu le 31 août comme prévu. L'information a été donnée ce dimanche par les parents du défunt. C'est finalement la date du 19 septembre qui est retenue pour l'inhumation de l'ex-chef d'Etat dans son village à Kabakouma. Cette nouvelle date a été endossée par Franck Guei, le premier fils du général qui estime qu'elle est symbolique. C'est effectivement ce 19 septembre qui consacrera, jour pour jour, le 7ème anniversaire de l'assassinat de Guéi. Franck a invité le président du Conseil général de Man, Blon Blaise, à contribuer à la réussite des funérailles. «L'occasion m'est donnée aujourd'hui d'inviter mon oncle (Ndlr : Blon Blaise) à nos côtés. Beaucoup de choses ont été dites avant. Cela appartient au passé. Aujourd'hui j'ai besoin de lui, je voudrais qu'il vienne voir les travaux et me donner des conseils afin que les obsèques de mon père soient un succès», a lancé le fils de « l'homme du 24 décembre 1999 ».
L'autre raison du report des obsèques est liée aux conditions climatiques. Après une concertation entre le chef du village et les membres de la famille du général, ceux-ci auraient constaté que les pluies diluviennes qui s'abattent sur la région retardent les travaux de construction de la tombe. Ils ont donc proposé un report afin que s'achèvent lesdits travaux pour assurer un bon déroulement desobsèques. Le chef du village de Kabakouma, Doh Sahi, a également demandé à Blon Blaise d'apporter son soutien à Franck Guéi, dans la gestion de «l'héritage» de son père. Ce que le président du Conseil général à accepté en disant qu'il est de son devoir d'apporter son soutien à tous les enfants du créateur de l'Union pour la démocratie et pour la paix (Udpci). «C'est ma mission, mais sachez que moi, je ne suis pas pressé » a-t-il ajouté. Franck Guéi a souhaité que priorité soit accordée aux funérailles avant d'aborder les questions d'héritage. «Enterrons d'abord mon père et le reste viendra après», a-t-il recommandé.
Dely Florent, Correspondent régional
Les obsèques du général Robert Guei n'auront plus lieu le 31 août comme prévu. L'information a été donnée ce dimanche par les parents du défunt. C'est finalement la date du 19 septembre qui est retenue pour l'inhumation de l'ex-chef d'Etat dans son village à Kabakouma. Cette nouvelle date a été endossée par Franck Guei, le premier fils du général qui estime qu'elle est symbolique. C'est effectivement ce 19 septembre qui consacrera, jour pour jour, le 7ème anniversaire de l'assassinat de Guéi. Franck a invité le président du Conseil général de Man, Blon Blaise, à contribuer à la réussite des funérailles. «L'occasion m'est donnée aujourd'hui d'inviter mon oncle (Ndlr : Blon Blaise) à nos côtés. Beaucoup de choses ont été dites avant. Cela appartient au passé. Aujourd'hui j'ai besoin de lui, je voudrais qu'il vienne voir les travaux et me donner des conseils afin que les obsèques de mon père soient un succès», a lancé le fils de « l'homme du 24 décembre 1999 ».
L'autre raison du report des obsèques est liée aux conditions climatiques. Après une concertation entre le chef du village et les membres de la famille du général, ceux-ci auraient constaté que les pluies diluviennes qui s'abattent sur la région retardent les travaux de construction de la tombe. Ils ont donc proposé un report afin que s'achèvent lesdits travaux pour assurer un bon déroulement desobsèques. Le chef du village de Kabakouma, Doh Sahi, a également demandé à Blon Blaise d'apporter son soutien à Franck Guéi, dans la gestion de «l'héritage» de son père. Ce que le président du Conseil général à accepté en disant qu'il est de son devoir d'apporter son soutien à tous les enfants du créateur de l'Union pour la démocratie et pour la paix (Udpci). «C'est ma mission, mais sachez que moi, je ne suis pas pressé » a-t-il ajouté. Franck Guéi a souhaité que priorité soit accordée aux funérailles avant d'aborder les questions d'héritage. «Enterrons d'abord mon père et le reste viendra après», a-t-il recommandé.
Dely Florent, Correspondent régional