L’Ivoirien Laurent Pokou reste le plus grand joueur africain de tous les temps. Laurent Pokou reste une légende, mais jamais célébrée, ni par la confédération africaine de football, ni par la Côte d’Ivoire, son propre pays. Cependant, Laurent Pokou a été la saga, la plus exceptionnelle de l’histoire du football africain et de la Côte d’Ivoire. En toute objectivité, Laurent Pokou pouvait à lui seul marquer 5 buts en un seul match. Et, en vérité, je vous le dis, le Camerounais Samuel Eto’o n’est rien en face de Laurent Pokou. L’Ivoirien, sur tous les stades d’Afrique, de l’Ethiopie, au Soudan, en passant par le Ghana, la Guinée-Conakry, le Nigeria, le Mali, faisait à lui seul le spectacle. Un joueur véritablement athlétique, rapide et fin dribbleur que l’on a surnommé « l’homme d’Asmara » après avoir marqué de son empreinte la coupe d’Afrique des Nations en Ethiopie et livré un match héroïque contre le Ghana à Asmara à l’époque la seconde ville de l’Ethiopie après Addis-Abeba. C’est lui, Laurent Pokou qui de 1970, en équipe nationale, avait marqué 14 buts. Mieux, ce record de buteur réalisé par l’Ivoirien n’a été atteint qu’en 2008
pendant la dernière coupe d’Afrique des Nations au Ghana… sur penalty par le Camerounais Samuel Eto’o. Pour l’histoire du football africain, Laurent Pokou a été un joueur exceptionnel. Sur 4 buts marqués en un seul match en coupe d’Afrique des Nations, Laurent Pokou n’avait jamais marqué 1 but sur penalty. Et, le voilà, Laurent Pokou, cette légende du football africain, originaire du Sud de la Côte d’Ivoire, de l’ethnie Akan de la ville de Tiassalé qui n’a connu une ‘’célébration’’, ni de son pays, la Côte d’Ivoire pour son patriotisme, ni de la Confédération africaine de football pour son exploit historique… De 1970 à 2008, 38 ans après que Laurent Pokou a cédé son record historique de meilleur buteur de tous les temps, au Camerounais Samuel Eto’o. Et voilà, Laurent Pokou, ce géant du football africain, qui entre difficilement dans la conscience de la Confédération africaine du football et difficilement reconnu du panthéon des dieux du football ivoirien. Et voilà Laurent Pokou, ce titan, du football africain ne connaït la moindre résurrection dans le rituel footballistique de son propre pays, la Côte d’Ivoire, synonyme d’ingratitude, d’irrespect pour ce titan du football ivoirien. Décevant ? Les dernières images qu’on colle à Laurent Pokou, comme sentiment de ‘’reconnaissance’’ en « fête d’apothéose » a été celui de chef de village de la coupe d’Afrique des Nations 2008 au Ghana. Pour moi, le code d’honneur du football africain et l’éthique du football ivoirien n’ont encore rien fait pour Laurent Pokou dont la carrière d’athlète historique est ‘’une boîte noire’’ pleine d’histoire et de légende. Pour Laurent Pokou, encore vivant, il est temps unanimement de le consacrer. Aucune raison au monde n’explique « l’irrespect » des Ivoiriens pour Laurent Pokou, l’idole de l’Asec d’Abidjan, du Président Mbahia Blé Kouadio, à l’époque. Laurent Pokou était plus adulé que Félix Houphouët-Boigny et Monseigneur Bernard Yago à l’époque, réunis. A l’Asec d’Abidjan, Laurent Pokou était un élu, entouré de Bazo Christophe, Jean Keïta, Jules Neneby, Huigui Edouard. En équipe nationale avec Jean Louis Bozon du Stella, Kallet Bially, de l’Africa Sport, Konan Henri du Stade d’Abidjan, Laurent Pokou était le « prêtre consensuel » de l’attaque. Aujourd’hui, il n’est pas normal de faire silence, sur Laurent Pokou, cette légende ivoirienne du football africain. En vérité, je ne comprends pas, l’étrange sabordage de Issa Hayatou et de la Confédération africaine de football, qui ont réduit Laurent Pokou au simple coût d’un joueur ordinaire. J’ai été journaliste sportif, à l’époque où Laurent Pokou ‘’enflammait’’ tous les stades d’Afrique. Et je connais parfaitement Laurent Pokou. C’est pourquoi, en cet homme, j’ai une sorte de révolte intime contre le comportement stupide de la Confédération africaine de football, qui avait collé une médaille de ‘’reconnaissance’’ sur la poitrine du Camerounais Rigobert Song en 2006 en Egypte pour avoir logiquement pulvérisé le record de longévité en coupe d’Afrique des Nations. Et moi, j’ai été très déçu d’Issa Hayatou et de cette façon de la Confédération africaine de football, détournant la ‘’vérité’’ sportive de Laurent Pokou… pour en faire une réalité au Cameroun. Issa Hayatou n’a pas vu Laurent Pokou, « l’homme d’Asmara », qui pouvait inscrire 3 ou 4 buts en un seul match sans un penalty. Demander à Michel Platini, aujourd’hui président de l’UEFA, ancien co-équipier de Laurent Pokou, à l’équipe française de Rennes. Et l’ancien président de la confédération africaine de football, l’Ethiopien Tessema, ne pouvait faire une conférence de performance historique et son don de soi pour le football africain. Aujourd’hui, il n’y a rien de très logique à la Confédération africaine de football, quand on a vu le Togolais Adebayor titré de ballon d’or d’Afrique, contre l’Egyptien Abou Treïka.
Par Ben Ismaël
pendant la dernière coupe d’Afrique des Nations au Ghana… sur penalty par le Camerounais Samuel Eto’o. Pour l’histoire du football africain, Laurent Pokou a été un joueur exceptionnel. Sur 4 buts marqués en un seul match en coupe d’Afrique des Nations, Laurent Pokou n’avait jamais marqué 1 but sur penalty. Et, le voilà, Laurent Pokou, cette légende du football africain, originaire du Sud de la Côte d’Ivoire, de l’ethnie Akan de la ville de Tiassalé qui n’a connu une ‘’célébration’’, ni de son pays, la Côte d’Ivoire pour son patriotisme, ni de la Confédération africaine de football pour son exploit historique… De 1970 à 2008, 38 ans après que Laurent Pokou a cédé son record historique de meilleur buteur de tous les temps, au Camerounais Samuel Eto’o. Et voilà, Laurent Pokou, ce géant du football africain, qui entre difficilement dans la conscience de la Confédération africaine du football et difficilement reconnu du panthéon des dieux du football ivoirien. Et voilà Laurent Pokou, ce titan, du football africain ne connaït la moindre résurrection dans le rituel footballistique de son propre pays, la Côte d’Ivoire, synonyme d’ingratitude, d’irrespect pour ce titan du football ivoirien. Décevant ? Les dernières images qu’on colle à Laurent Pokou, comme sentiment de ‘’reconnaissance’’ en « fête d’apothéose » a été celui de chef de village de la coupe d’Afrique des Nations 2008 au Ghana. Pour moi, le code d’honneur du football africain et l’éthique du football ivoirien n’ont encore rien fait pour Laurent Pokou dont la carrière d’athlète historique est ‘’une boîte noire’’ pleine d’histoire et de légende. Pour Laurent Pokou, encore vivant, il est temps unanimement de le consacrer. Aucune raison au monde n’explique « l’irrespect » des Ivoiriens pour Laurent Pokou, l’idole de l’Asec d’Abidjan, du Président Mbahia Blé Kouadio, à l’époque. Laurent Pokou était plus adulé que Félix Houphouët-Boigny et Monseigneur Bernard Yago à l’époque, réunis. A l’Asec d’Abidjan, Laurent Pokou était un élu, entouré de Bazo Christophe, Jean Keïta, Jules Neneby, Huigui Edouard. En équipe nationale avec Jean Louis Bozon du Stella, Kallet Bially, de l’Africa Sport, Konan Henri du Stade d’Abidjan, Laurent Pokou était le « prêtre consensuel » de l’attaque. Aujourd’hui, il n’est pas normal de faire silence, sur Laurent Pokou, cette légende ivoirienne du football africain. En vérité, je ne comprends pas, l’étrange sabordage de Issa Hayatou et de la Confédération africaine de football, qui ont réduit Laurent Pokou au simple coût d’un joueur ordinaire. J’ai été journaliste sportif, à l’époque où Laurent Pokou ‘’enflammait’’ tous les stades d’Afrique. Et je connais parfaitement Laurent Pokou. C’est pourquoi, en cet homme, j’ai une sorte de révolte intime contre le comportement stupide de la Confédération africaine de football, qui avait collé une médaille de ‘’reconnaissance’’ sur la poitrine du Camerounais Rigobert Song en 2006 en Egypte pour avoir logiquement pulvérisé le record de longévité en coupe d’Afrique des Nations. Et moi, j’ai été très déçu d’Issa Hayatou et de cette façon de la Confédération africaine de football, détournant la ‘’vérité’’ sportive de Laurent Pokou… pour en faire une réalité au Cameroun. Issa Hayatou n’a pas vu Laurent Pokou, « l’homme d’Asmara », qui pouvait inscrire 3 ou 4 buts en un seul match sans un penalty. Demander à Michel Platini, aujourd’hui président de l’UEFA, ancien co-équipier de Laurent Pokou, à l’équipe française de Rennes. Et l’ancien président de la confédération africaine de football, l’Ethiopien Tessema, ne pouvait faire une conférence de performance historique et son don de soi pour le football africain. Aujourd’hui, il n’y a rien de très logique à la Confédération africaine de football, quand on a vu le Togolais Adebayor titré de ballon d’or d’Afrique, contre l’Egyptien Abou Treïka.
Par Ben Ismaël