Après plusieurs années de recherches menées par l’INSERM, le Bilhvax, un vaccin thérapeutique contre la bilharziose, entre dans sa dernière phase d’essais.
Les traitements chimiques disponibles jusqu’à présent, sont coûteux et d’une efficacité limitée : impossible d’enrayer la maladie ! Le développement du Bilvhax, laisse donc envisager une véritable alternative thérapeutique. Tout juste entré en « phase III », son efficacité sur le terrain va être testée pendant cinq ans sur une population d’enfants sénégalais déjà infectés.
Si le paludisme est désormais bien connu du grand public, la bilharziose, deuxième infection parasitaire la plus répandue au monde, est encore méconnue. Pourtant cette maladie chronique touche 200 millions de personnes dans le monde, et en tue 300 000 chaque année. Le ver responsable de l’infection se développe en eau douce : après une période de maturation dans un mollusque, il trouve une « proie » humaine. Il se glisse sous la peau, se loge dans les vaisseaux sanguins de la vessie, et, faute de diagnostic, provoque à terme de graves lésions.
Attention à la baignade donc, si vous séjournez en Afrique : 85% des cas sont contractés en Afrique subsaharienne – mais le parasite est présent dans 76 pays !
www.destinationsante.com
Les traitements chimiques disponibles jusqu’à présent, sont coûteux et d’une efficacité limitée : impossible d’enrayer la maladie ! Le développement du Bilvhax, laisse donc envisager une véritable alternative thérapeutique. Tout juste entré en « phase III », son efficacité sur le terrain va être testée pendant cinq ans sur une population d’enfants sénégalais déjà infectés.
Si le paludisme est désormais bien connu du grand public, la bilharziose, deuxième infection parasitaire la plus répandue au monde, est encore méconnue. Pourtant cette maladie chronique touche 200 millions de personnes dans le monde, et en tue 300 000 chaque année. Le ver responsable de l’infection se développe en eau douce : après une période de maturation dans un mollusque, il trouve une « proie » humaine. Il se glisse sous la peau, se loge dans les vaisseaux sanguins de la vessie, et, faute de diagnostic, provoque à terme de graves lésions.
Attention à la baignade donc, si vous séjournez en Afrique : 85% des cas sont contractés en Afrique subsaharienne – mais le parasite est présent dans 76 pays !
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