Leur présence et leur implication sont des gages de réconfort dans la douleur qui étreint tous à l’occasion du décès d’Hervé Cornuel, PDG de Radio Nostalgie. Alassane Dramane Ouattara et son épouse Dominique sont restés dignes, malgré la douleur, aux côtés de Françoise Baratin née Cornuel, la sœur de l’illustre disparu, venue de France, sa famille professionnelle de Nostalgie et des nombreux admirateurs. Hier, que ce soit à la messe de requiem, en l’Eglise "Notre Dame d’Afrique" –Biétry, en début de soirée, à la levée de corps à Ivosep- Treichville, le matin, ou même dans les premières heures du rappel à Dieu de Cornuel, le couple Ouattara a, une fois de plus, donné la pleine mesure son humanisme, à travers son soutien, et sa solidarité d’avec la famille biologique, les familles alliées et la famille professionnelle de Cornuel. Et cet humanisme, célébrants des différents offices religieux n’ont pas manqué de le reconnaitre.
Tout commence le matin, dans la salle "Prestige" de la société "Ivoire Sépulture" (IVOSEP) à Treichville, avec l’entrée du cercueil contenant le corps d’Hervé Cornuel, coulissé par des agents de la société mortuaire. Cela, tout juste après que M. et Mme Ouattara, entrés il y a quelques minutes, en compagnie de Françoise Baratin née Cornuel, la soeur du défunt, se soient inclinés devant la dépouille, aient fait leurs civilités aux personnalités et à toutes les personnes aux premiers rangs. Suivra la présentation des condoléances à la famille éplorée. Tour à tour, dans la discipline et le silence qu’impose une pareille occasion, les personnalités issues de diverses couches socioprofessionnelles, les unes après les autres, s’inclinent devant la dépouille posée dans la chapelle ardente. Par la suite, à la queue leu- leu, le visage grave, à pas pesant, les uns et les autres avancent, pour serrer la main de la famille éplorée avec, au premier rang, le Premier ministre Ouattara, son épouse Dominique, Mme Baratin née Cornuel et les autres membres de la famille.
Quand arrive l’instant des témoignages, c’est Diabo Stek, représentant Gadji Céli, qui parle au nom de l’Union des Artistes de Côte d’Ivoire (UNARTCI) : « Je ne connais pas M. Cornuel personnellement. Mais, je sais qu’il est voisin du siège de l’Unartci aux II Plateaux- Vallon. Tous les artistes qui l’ont approché disent de lui qu’il est très humain. Au nom du Président Gadji, je voudrais associer la compassion de tous les artistes ivoiriens à la douleur de la famille éplorée et que son âme repose en paix.»
Tout commence le matin, dans la salle "Prestige" de la société "Ivoire Sépulture" (IVOSEP) à Treichville, avec l’entrée du cercueil contenant le corps d’Hervé Cornuel, coulissé par des agents de la société mortuaire. Cela, tout juste après que M. et Mme Ouattara, entrés il y a quelques minutes, en compagnie de Françoise Baratin née Cornuel, la soeur du défunt, se soient inclinés devant la dépouille, aient fait leurs civilités aux personnalités et à toutes les personnes aux premiers rangs. Suivra la présentation des condoléances à la famille éplorée. Tour à tour, dans la discipline et le silence qu’impose une pareille occasion, les personnalités issues de diverses couches socioprofessionnelles, les unes après les autres, s’inclinent devant la dépouille posée dans la chapelle ardente. Par la suite, à la queue leu- leu, le visage grave, à pas pesant, les uns et les autres avancent, pour serrer la main de la famille éplorée avec, au premier rang, le Premier ministre Ouattara, son épouse Dominique, Mme Baratin née Cornuel et les autres membres de la famille.
Quand arrive l’instant des témoignages, c’est Diabo Stek, représentant Gadji Céli, qui parle au nom de l’Union des Artistes de Côte d’Ivoire (UNARTCI) : « Je ne connais pas M. Cornuel personnellement. Mais, je sais qu’il est voisin du siège de l’Unartci aux II Plateaux- Vallon. Tous les artistes qui l’ont approché disent de lui qu’il est très humain. Au nom du Président Gadji, je voudrais associer la compassion de tous les artistes ivoiriens à la douleur de la famille éplorée et que son âme repose en paix.»
