Le Ministre des Affaires Etrangères, SEM Youssouf BAKAYOKO a quitté Abidjan hier pour Copenhague, où il va représenter la Côte d’Ivoire au Sommet de l’ONU sur les changements climatiques qui s’y tient du 07 au 18 décembre 2009.
Tous les Hauts dirigeants de la Planète se sont donnés rendez-vous pour plancher sur l’épineuse et persistante question du réchauffement climatique.
A Copenhague, la question n’est seulement de dresser un simple diagnostique mais de dire pour combien de temps, à quel prix, comment et qui payera pour faire reculer le phénomène ?
Cette réunion tant attendue doit donc aboutir à l’adoption d’un plan optimal de réduction significative des émissions de gaz à effet de serre.
Un plan qui définira les voies et moyens à mettre en œuvre en vue d’atteindre des objectifs spécifiques, notamment la création d’un mécanisme financier et de transfert de technologie pour aider les pays en développement à juguler le phénomène du réchauffement planétaire, ainsi que la mise en œuvre de politique et mesure susceptibles d’assurer la viabilité de ces moyens.
Les enjeux de cette rencontre et l’intérêt qu’elle revêt pour le monde entier en général et les pays en développement en particulier sont à la mesure de la forte mobilisation des acteurs de la scène internationale : Organisations onusiennes et de la société civile, présents dans la capitale Danoise .
Les pays africains se sont également donnés le temps de bien préparer cette rencontre en harmonisant leurs vues. L’Afrique parlera donc d’une même voix à ce sommet dit de l’espoir, et la Côte d’Ivoire y participe bel et bien.
Tous les Hauts dirigeants de la Planète se sont donnés rendez-vous pour plancher sur l’épineuse et persistante question du réchauffement climatique.
A Copenhague, la question n’est seulement de dresser un simple diagnostique mais de dire pour combien de temps, à quel prix, comment et qui payera pour faire reculer le phénomène ?
Cette réunion tant attendue doit donc aboutir à l’adoption d’un plan optimal de réduction significative des émissions de gaz à effet de serre.
Un plan qui définira les voies et moyens à mettre en œuvre en vue d’atteindre des objectifs spécifiques, notamment la création d’un mécanisme financier et de transfert de technologie pour aider les pays en développement à juguler le phénomène du réchauffement planétaire, ainsi que la mise en œuvre de politique et mesure susceptibles d’assurer la viabilité de ces moyens.
Les enjeux de cette rencontre et l’intérêt qu’elle revêt pour le monde entier en général et les pays en développement en particulier sont à la mesure de la forte mobilisation des acteurs de la scène internationale : Organisations onusiennes et de la société civile, présents dans la capitale Danoise .
Les pays africains se sont également donnés le temps de bien préparer cette rencontre en harmonisant leurs vues. L’Afrique parlera donc d’une même voix à ce sommet dit de l’espoir, et la Côte d’Ivoire y participe bel et bien.
