Quel sens donnez-vous à cette rencontre avec les pèlerins ?
Ce sont nos pèlerins qui sont rentrés hier et qui sont venus traduire au président de la République et au ministre de l’Intérieur leur satisfaction. Ils sont venus dire merci. J’ai au grand plaisir à les voir et je transmettrai fidèlement au ministre de l’Intérieur qui a tout dirigé de main de maître et au président de la République qui a pris l’engagement et qui a mis les moyens à la disposition du ministre de l’Intérieur pour que tout puisse bien se passer, les remerciements et la reconnaissance des pèlerins venus d’Odienné, de Tiémé, de Boundiali, de Kaniasso, de Ferké.
Quelle leçon tirez-vous ?
Nous avons travaillé sur les instructions du président de l’intérieur et du président de la République. C’est pour les pèlerins que nous avons travaillé. Le maître mot du ministre de l’Intérieur, c’était que les pèlerins puissent partir, qu’ils soient encadrés, nourris et qu’ils puissent exécuter les rites pour lesquels ils sont partis. Il nous a souvent répété qu’il était important que le pèlerinage religieux puisse garder tout son sens. Et ceux qui sont l’objet de ces attentions doivent le sentir. Je suis heureux que ces pèlerins soient en bonne santé et viennent manifester leur reconnaissance. Notre souhait le plus ardent est que les choses continue de cette façon pour les années à venir.
Peut –on vraiment dire qu’il n’y a pas eu aucun problème là bas ?
Il n’y a eu aucun problème. Ils sont là, vous pouvez les interroger. Ils sont venus nous dire leur satisfaction pour adresser leur remerciement au président de la République. Je crois qu’il n’y a pas meilleur témoignage.
Ce sont nos pèlerins qui sont rentrés hier et qui sont venus traduire au président de la République et au ministre de l’Intérieur leur satisfaction. Ils sont venus dire merci. J’ai au grand plaisir à les voir et je transmettrai fidèlement au ministre de l’Intérieur qui a tout dirigé de main de maître et au président de la République qui a pris l’engagement et qui a mis les moyens à la disposition du ministre de l’Intérieur pour que tout puisse bien se passer, les remerciements et la reconnaissance des pèlerins venus d’Odienné, de Tiémé, de Boundiali, de Kaniasso, de Ferké.
Quelle leçon tirez-vous ?
Nous avons travaillé sur les instructions du président de l’intérieur et du président de la République. C’est pour les pèlerins que nous avons travaillé. Le maître mot du ministre de l’Intérieur, c’était que les pèlerins puissent partir, qu’ils soient encadrés, nourris et qu’ils puissent exécuter les rites pour lesquels ils sont partis. Il nous a souvent répété qu’il était important que le pèlerinage religieux puisse garder tout son sens. Et ceux qui sont l’objet de ces attentions doivent le sentir. Je suis heureux que ces pèlerins soient en bonne santé et viennent manifester leur reconnaissance. Notre souhait le plus ardent est que les choses continue de cette façon pour les années à venir.
Peut –on vraiment dire qu’il n’y a pas eu aucun problème là bas ?
Il n’y a eu aucun problème. Ils sont là, vous pouvez les interroger. Ils sont venus nous dire leur satisfaction pour adresser leur remerciement au président de la République. Je crois qu’il n’y a pas meilleur témoignage.