Pour sauver l’école ivoirienne du désastre, les religieux vont prier ce vendredi. L’imam Konaté, qui fait partie de ces hommes de Dieu, pense que l’espoir est permis.
Les religieux vont prier vendredi pour que l’école ivoirienne se porte bien. Pensez-vous que c’est la solution pour sauver l’éducation nationale ?
Vous savez que dans la vie, quand c’est bloqué, la seule chose qui peut débloquer, c’est Dieu. C’est une solution pour l’école ivoirienne que les hommes religieux se retirent pour prier. Cela va débloquer la situation inch Allah.
Seule la prière peut donc sauver l’éducation nationale ?
Ce n’est pas seulement la prière qui peut sauver l’école, mais, elle fait partie des choses qui peuvent débloquer la situation. Il faut aussi voir le côté administratif. En réalité, les parents ont démissionné. La prière va les conscientiser, ainsi que les décideurs du pays afin qu’ils reviennent à de meilleurs sentiments.
En plus de la prière, ne faut-il pas mener d’autres actions sur le terrain ?
Si. Après la prière, nous allons mener des actions sur le terrain.
Lesquelles ?
Il faut que les parents soient conscientisés, que les enfants ne soient pas laissés à leurs propres sorts. Il faut les corriger afin qu’ils puissent prendre conscience de ce qu’ils font. L’école, c’est l’avenir du pays, c’est le développement du pays, on ne doit pas s’amuser avec. Les actions que nous allons mener seront donc la sensibilisation des parents, des enseignants et des décideurs.
Concrètement, en quoi va consister la prière du vendredi ?
En Islam, la prière est reposée sur le Coran et les zikrs, nous allons donc lire le Coran et faire des zikrs, inch Allah pour demander à Dieu de toucher le cœur des décideurs afin que l’école avance et soit un outil de développement pour le pays. Vous savez que nous venons de La Mecque où nous avons exposé à Dieu les problèmes clés de la Côte d’Ivoire. L’école en fait partie. Nous demandons à chacun de prendre conscience et d’aider l’éducation nationale qui a du mal à se retrouver.
Interview réalisée par Raphaël Tanoh
Les religieux vont prier vendredi pour que l’école ivoirienne se porte bien. Pensez-vous que c’est la solution pour sauver l’éducation nationale ?
Vous savez que dans la vie, quand c’est bloqué, la seule chose qui peut débloquer, c’est Dieu. C’est une solution pour l’école ivoirienne que les hommes religieux se retirent pour prier. Cela va débloquer la situation inch Allah.
Seule la prière peut donc sauver l’éducation nationale ?
Ce n’est pas seulement la prière qui peut sauver l’école, mais, elle fait partie des choses qui peuvent débloquer la situation. Il faut aussi voir le côté administratif. En réalité, les parents ont démissionné. La prière va les conscientiser, ainsi que les décideurs du pays afin qu’ils reviennent à de meilleurs sentiments.
En plus de la prière, ne faut-il pas mener d’autres actions sur le terrain ?
Si. Après la prière, nous allons mener des actions sur le terrain.
Lesquelles ?
Il faut que les parents soient conscientisés, que les enfants ne soient pas laissés à leurs propres sorts. Il faut les corriger afin qu’ils puissent prendre conscience de ce qu’ils font. L’école, c’est l’avenir du pays, c’est le développement du pays, on ne doit pas s’amuser avec. Les actions que nous allons mener seront donc la sensibilisation des parents, des enseignants et des décideurs.
Concrètement, en quoi va consister la prière du vendredi ?
En Islam, la prière est reposée sur le Coran et les zikrs, nous allons donc lire le Coran et faire des zikrs, inch Allah pour demander à Dieu de toucher le cœur des décideurs afin que l’école avance et soit un outil de développement pour le pays. Vous savez que nous venons de La Mecque où nous avons exposé à Dieu les problèmes clés de la Côte d’Ivoire. L’école en fait partie. Nous demandons à chacun de prendre conscience et d’aider l’éducation nationale qui a du mal à se retrouver.
Interview réalisée par Raphaël Tanoh