Le renforcement de la sécurité à Cabinda a porté un gros préjudice à la presse et particulièrement aux journalistes ivoiriens. Pour le point de presse prévu pour hier à 12 heures, heure locale, les journalistes se sont vu refuser l'accès au village olympique où réside la sélection .Les forces de sécurité campées à l'entrée du village ont opposé un non catégorique. "Nous n’avons pas reçu des instructions dans ce sens" lâche un des Angolais.
L'intervention des responsables de la Caf n'a pas pu faire plier les hommes commis à la sécurité du village. " Le responsable est en réunion avec le gouvernement, il sera là dans une trentaine de minutes ". Une attente qui durera plus d'une heure. Les interventions des membres de la Fif ne feront pas changer la donne. Les journalistes ivoiriens et les confrères de Rfi, de France 24 sont restés sans pouvoir trouver la solution. Finalement, les journalistes ont été priés de quitter les lieux. Et comme solution à l'intransigeance des forces de sécurité, les points de presse des équipes ont été délocalisés au stade. C'est donc finalement à 16 h 30 que le point de presse s'est tenu avec le coach Vahid. Les joueurs, eux, n'étaient plus disponibles.
D.B
L'intervention des responsables de la Caf n'a pas pu faire plier les hommes commis à la sécurité du village. " Le responsable est en réunion avec le gouvernement, il sera là dans une trentaine de minutes ". Une attente qui durera plus d'une heure. Les interventions des membres de la Fif ne feront pas changer la donne. Les journalistes ivoiriens et les confrères de Rfi, de France 24 sont restés sans pouvoir trouver la solution. Finalement, les journalistes ont été priés de quitter les lieux. Et comme solution à l'intransigeance des forces de sécurité, les points de presse des équipes ont été délocalisés au stade. C'est donc finalement à 16 h 30 que le point de presse s'est tenu avec le coach Vahid. Les joueurs, eux, n'étaient plus disponibles.
D.B