On n'a jamais été trop prudent, dit le dicton. C'est fort de cette pensée que, nonobstant la sécurité on ne peut plus renforcer à Cabinda, les hélicoptères de la police et de l'armée survolent sans cesse l'Estadio nacional Chiazi. La sécurité est de mise à Cabinda.
Coulisses Publié le samedi 16 janvier 2010 | Le Temps