Les journalistes, handicapés par le coût exorbitant de la vie à Cabinda et de l'incapacité de parler portugais, n'osent pas approcher les belles f… Non seulement ils ne savent pas comment exprimer leurs sentiments, mais ils n’ont pas les "kwanza" nécessaires pour "régler la facture" qui sera élevée à tous points de vue. Heureusement ou malheureusement.
Coulisses Publié le samedi 16 janvier 2010 | Le Temps