C'est une presse ivoirienne particulièrement ravie qui partage sa foi à Cabinda. Tous ses déplacements sont faits avec escortes policières et médicales. Des bus sont mis à sa disposition. En clair, les journalistes, Ivoiriens, Ghanéens et Burkinabè sont traités comme des princes.
Coulisses Publié le samedi 16 janvier 2010 | Nord-Sud