Lancée le 2 juin 2008 à grand renfort de publicité, l’opération de lutte contre le racket et autres tracasseries routières, qui s’est estompée faute de moyens, reprend ce matin avec la même détermination. Et c’est l’initiateur de cette opération, le chef d’état-major des armées, le général de division Philippe Mangou, qui procédera aux environs de 8 h au corridor de la Gesco, au lancement de la reprise officielle de cette opération en présence de tous les membres du Comité technique de contrôle de la fluidité routière (Ctcfr).
Dans l’adresse qu’il fera non seulement aux Forces de l’ordre dans leur ensemble, mais aussi à la population civile, le général Mangou expliquera les raisons du blocage de l’opération qui était si bien partie pour annihiler définitivement le phénomène du racket en Côte d’Ivoire.
Il annoncera, surtout, les nouvelles mesures qui vont de la sensibilisation à la répression. Au nombre des nouvelles mesures, le chef des armées procédera, comme il l’avait déjà annoncé, au démantèlement de certains corridors et barrages routiers qu’il estime inopportuns. hier sur le plateau du journal télévisé de 20 h, le Cema a donné un aperçu de l’appel qu’il fera ce matin en direction de ses collaborateurs et des usagers de la route.
Landry Kohon
Dans l’adresse qu’il fera non seulement aux Forces de l’ordre dans leur ensemble, mais aussi à la population civile, le général Mangou expliquera les raisons du blocage de l’opération qui était si bien partie pour annihiler définitivement le phénomène du racket en Côte d’Ivoire.
Il annoncera, surtout, les nouvelles mesures qui vont de la sensibilisation à la répression. Au nombre des nouvelles mesures, le chef des armées procédera, comme il l’avait déjà annoncé, au démantèlement de certains corridors et barrages routiers qu’il estime inopportuns. hier sur le plateau du journal télévisé de 20 h, le Cema a donné un aperçu de l’appel qu’il fera ce matin en direction de ses collaborateurs et des usagers de la route.
Landry Kohon
