Yéo Martial, le directeur technique national, assiste à la Coupe d’Afrique des nations 2010 à Cabinda. L’ancien sélectionneur des Eléphants, vainqueur de la Can en 1992, connaît bien l’Algérie qu’il a affrontée à trois reprises à la Can en 1988, 1990 et en 1992. Ecoutons-le.
Que vous inspire cette équipe d’Algérie ?
Il faut éviter de trop attendre cette équipe. Elle joue rapidement les 15 premières minutes. Vahid le sait. Et tout ce qu’il a demandé aux joueurs, c’est ce qu’il faut pour passer cette équipe.
Qu’est-ce qui leur a demandé ?
Je ne vais pas vous déballer toute notre batterie. Sachez que ce qu’il a dit est exactement ce qu’il faut faire.
Quelle est la clé de ce Côte d’Ivoire-Algérie ?
La clé est de gagner. C’est tout.
Vous avez assisté au fameux Egypte-Algérie du 18 novembre dernier, à Khartoum. Quels commentaires faites-vous de cette nouvelle race de Fennecs ?
C’est une équipe qui est bien en place. Nous devons faire très attention. Elle sait jouer au football. Elle ne se crée pas beaucoup d’occasions, mais elle est très forte sur les coups de pied placés. Nos joueurs doivent éviter de céder à la provocation. Ils doivent être sereins.
Choilio Diomandé, envoyé spécial à Cabinda
Que vous inspire cette équipe d’Algérie ?
Il faut éviter de trop attendre cette équipe. Elle joue rapidement les 15 premières minutes. Vahid le sait. Et tout ce qu’il a demandé aux joueurs, c’est ce qu’il faut pour passer cette équipe.
Qu’est-ce qui leur a demandé ?
Je ne vais pas vous déballer toute notre batterie. Sachez que ce qu’il a dit est exactement ce qu’il faut faire.
Quelle est la clé de ce Côte d’Ivoire-Algérie ?
La clé est de gagner. C’est tout.
Vous avez assisté au fameux Egypte-Algérie du 18 novembre dernier, à Khartoum. Quels commentaires faites-vous de cette nouvelle race de Fennecs ?
C’est une équipe qui est bien en place. Nous devons faire très attention. Elle sait jouer au football. Elle ne se crée pas beaucoup d’occasions, mais elle est très forte sur les coups de pied placés. Nos joueurs doivent éviter de céder à la provocation. Ils doivent être sereins.
Choilio Diomandé, envoyé spécial à Cabinda