L'histoire est digne de l'Afrique. Ce militant s'est blessé au niveau de l'arcade sourcilière dans un mouvement de foule. Il fallait lui faire une suture. Quelle ne fut pas la surprise du médecin de constater que l'aiguille ne piquait pas. « Mon frère, enlève l'habit que tu as en-dessous », conseille le toubib. Le marcheur s'exécute. Le fer passe. Et l'opération arrive à son terme.
Coulisses Publié le mercredi 27 janvier 2010 | Nord-Sud