La plus grande peur des houphouétistes, lors de la marche d'hier, était, on peut le dire, la menace de voir leur rang infiltré. Et la moindre mésentente entre l'un des leurs et un « étranger », était immédiatement comprise comme une volonté de perturber leur mouvement. Une consoeur, photographe du journal Demain, n'a pas échappé à cette suspicion.
Coulisses Publié le mercredi 27 janvier 2010 | Nord-Sud