Bien qu'abattu après l'élimination précoce des Eléphants de la Can angolaise, Vahid Halilhodzic n'entend pas baisser les bras. Annoncé partant, le technicien franco-bosniaque contre-attaque.
Le sélectionneur des Eléphants est furieux. Alors là, très furieux… Vahid Halilhodzic, droit dans ses bottes, ne supporte plus de lire dans la presse ou d'entendre sur différentes radios qu'il est sur la sellette. Il est très dépité devant l'avalanche de commentaires à son sujet et la multiplication de ses successeurs potentiels. « Je suis toujours sous contrat. Et savoir que certains collègues essayent de prendre ma place… Pfff… », commence-t-il par pester dans les colonnes du journal L'Equipe. L'ancien buteur du Fc Nantes précise également : « j'entends des choses dégueulasses à la radio. Des guignols qui viennent donner leur avis sur tout, sur mon travail ». Successeur de Gérard Gili et bombardé sélectionneur national depuis mai 2008, Vahid Halilhodzic se dit fier de son bilan à la tête des Eléphants. En effet, en dehors de la défaite concédée le 28 janvier dernier à Cabinda, en quart de finale de la Can face à l'Algérie (2-3), le patron du banc de touche des Eléphants n'a jamais connu de défaites (toutes compétitions confondues). S'appuyant donc sur ses statistiques, avouons-le, satisfaisantes, Vahid Halilhodzic tient à dire qu'il ne lâchera pas les Eléphants. Plus lucide, il avoue tout de même : « Bien sûr, tout le monde est déçu. Mais j'ai envie de continuer. Je suis engagé sur un projet et, pour une minute mal négociée face aux Algériens et un but refusé par l'arbitre, j'entends qu'il faut tout changer ». En clair, la passion doit laisser la place à la raison. Le problème est de savoir si les responsables de la Fédération ivoirienne de football (Fif) conserveront un entraîneur qui ne fait plus l'unanimité. Pour le prochain Mondial en terre Sud-africaine, en tout cas, les sportifs ivoiriens ont prévenu qu'ils espèrent mieux. Alors, stop ou encore pour coach Vahid ?
Sanou Amadou (stagiaire)
Le sélectionneur des Eléphants est furieux. Alors là, très furieux… Vahid Halilhodzic, droit dans ses bottes, ne supporte plus de lire dans la presse ou d'entendre sur différentes radios qu'il est sur la sellette. Il est très dépité devant l'avalanche de commentaires à son sujet et la multiplication de ses successeurs potentiels. « Je suis toujours sous contrat. Et savoir que certains collègues essayent de prendre ma place… Pfff… », commence-t-il par pester dans les colonnes du journal L'Equipe. L'ancien buteur du Fc Nantes précise également : « j'entends des choses dégueulasses à la radio. Des guignols qui viennent donner leur avis sur tout, sur mon travail ». Successeur de Gérard Gili et bombardé sélectionneur national depuis mai 2008, Vahid Halilhodzic se dit fier de son bilan à la tête des Eléphants. En effet, en dehors de la défaite concédée le 28 janvier dernier à Cabinda, en quart de finale de la Can face à l'Algérie (2-3), le patron du banc de touche des Eléphants n'a jamais connu de défaites (toutes compétitions confondues). S'appuyant donc sur ses statistiques, avouons-le, satisfaisantes, Vahid Halilhodzic tient à dire qu'il ne lâchera pas les Eléphants. Plus lucide, il avoue tout de même : « Bien sûr, tout le monde est déçu. Mais j'ai envie de continuer. Je suis engagé sur un projet et, pour une minute mal négociée face aux Algériens et un but refusé par l'arbitre, j'entends qu'il faut tout changer ». En clair, la passion doit laisser la place à la raison. Le problème est de savoir si les responsables de la Fédération ivoirienne de football (Fif) conserveront un entraîneur qui ne fait plus l'unanimité. Pour le prochain Mondial en terre Sud-africaine, en tout cas, les sportifs ivoiriens ont prévenu qu'ils espèrent mieux. Alors, stop ou encore pour coach Vahid ?
Sanou Amadou (stagiaire)
