Elle a fait coïncider le jour de son spectacle avec la Saint-Valentin, fête des amoureux. En dépit de la forte pluie qui s’est abattue sur la ville d’Abidjan, dimanche, Kandet Kanté a communié avec ses fans qui ne se sont pas bousculés aux portes de la salle Anoumabo du Palais de la culture de Treichville. Pour ce concert que l’artiste voulait grand, deux écrans géants ont été installés de part et d’autre du podium avec en toile de fond son image de l’artiste. Mais Kandet a été moyenne dans sa prestation. Elle a tout simplement joué juste. Sur le plan chorégraphique, elle a montré qu’elle a également fait un séjour au Kotéba de Souleymane Koly. C’est à 20h35 mn, qu’elle effectue doucement son entrée sur scène avec Massatche.
Ce titre lui permet juste de prendre la température de la salle. Elle enchaîne ensuite avec les morceaux Barana, Saba, N’tekoukan, Deni, Mousso, Aboro. Elle fait le break pour rendre hommage à Joëlle C (Ndlr, décédée le 14 février 2008) et aux artistes femmes disparues avant de quitter la scène. A son retour, en compagnie d’Aïcha Koné, Mawa Traoré, Gadji, O’nel Mala, Savan’Allah, Affou Kéïta, Nash, Aïcha la belle, elles font un clin d’œil au peuple meurtri d’Haïti après le séisme du mois de janvier dans une chanson intitulée «Un geste pour Haïti.» Avant de continuer, dans une prestation en play-back avec «les griottes», elle salue les actions du Chef de l’Etat, Laurent Gbagbo en faveur de son peuple.
Les spectateurs apprécient ses duos avec John Kiffy dans Golowouli et Jacques Delly dans Kozoko. Elle dédie le titre Preuve d’amour à tous les amoureux qui ont effectué le déplacement du joyau architectural. Pour boucler la boucle, elle entonne le morceau «Chauffer moteur.» Les inconditionnels qui étaient encore restés sur place profitent de l’occasion pour danser avec leur idole, venue dans la main courante. C’est dans cette ambiante qu’elle va s’évanouir dans les loges. Pendant plus de deux heures, Kandet Kanté allie chanson et chorégraphie à la grande joie de son public.
Issa T.Yéo
Ce titre lui permet juste de prendre la température de la salle. Elle enchaîne ensuite avec les morceaux Barana, Saba, N’tekoukan, Deni, Mousso, Aboro. Elle fait le break pour rendre hommage à Joëlle C (Ndlr, décédée le 14 février 2008) et aux artistes femmes disparues avant de quitter la scène. A son retour, en compagnie d’Aïcha Koné, Mawa Traoré, Gadji, O’nel Mala, Savan’Allah, Affou Kéïta, Nash, Aïcha la belle, elles font un clin d’œil au peuple meurtri d’Haïti après le séisme du mois de janvier dans une chanson intitulée «Un geste pour Haïti.» Avant de continuer, dans une prestation en play-back avec «les griottes», elle salue les actions du Chef de l’Etat, Laurent Gbagbo en faveur de son peuple.
Les spectateurs apprécient ses duos avec John Kiffy dans Golowouli et Jacques Delly dans Kozoko. Elle dédie le titre Preuve d’amour à tous les amoureux qui ont effectué le déplacement du joyau architectural. Pour boucler la boucle, elle entonne le morceau «Chauffer moteur.» Les inconditionnels qui étaient encore restés sur place profitent de l’occasion pour danser avec leur idole, venue dans la main courante. C’est dans cette ambiante qu’elle va s’évanouir dans les loges. Pendant plus de deux heures, Kandet Kanté allie chanson et chorégraphie à la grande joie de son public.
Issa T.Yéo
