Il s’agit de l’histoire d’Elizabeth Joseph, une femme américaine non-musulmane qui raconte sa vie dans la polygamie :
« Lorsque je commence mon voyage de 60 kilomètres vers le tribunal (où elle travaille) pour y arriver à 7 heures du matin, ma fille London (deux ans) dort gracieusement dans les bras de l’épouse de mon mari Rayan. Ma fille aime beaucoup son père. Lorsqu’elle se réveille, elle est entourée de tous les membres de la famille qu’elle a l’habitude de voir… comme si elle était en garderie ».
Elizabeth parle, ensuite, de son mari Alex qui écrit la nuit. Lorsqu’il se réveille le matin, la plupart de ses épouses sont déjà parties au travail, mais il en trouve toujours une avec qui il peut discuter en prenant sa première tasse de café.
Concernant le partage des tâches ménagères, elle dit : « Je partage les tâches ménagères avec Dilinda, une autre épouse de mon mari, qui travaille dans un service public. La plupart des soirs, nous nous mettons d’accord pour prendre un dîner simple avec nos trois enfants pour oublier les difficultés du travail quotidien plutôt que de consommer ce qu’il nous reste d’énergie à faire la cuisine et laver une tonne de vaisselle.
Mais les lundis sont différents. En effet, le lundi soir est différent puisque Alex prend le dîner avec nous. Les enfants ont toujours hâte de voir arriver le lundi soir et ils sont contents et enthousiastes de voir leur père au dîner, et se conduisent d’une manière très correcte. La plupart du temps, on invite une de ses autres épouses ou un de ses autres enfants pour être de la partie. Il s’agit d’un événement particulier qui a lieu une fois par semaine. Quant au mardi, la vie simple et normale reprend. Mais pour Alex, et pour la femme qui prend son dîner avec lui le mardi soir, c’est une affaire qui ne nous regarde pas.
Le même système, avec quelques retouches ici ou là, régit nos vies privées avec notre mari commun, malgré des changements éventuels indépendants de nos volontés. Ainsi, si je souhaite passer la nuit du vendredi chez lui, je prends rendez-vous. S’il est déjà pris, je prends un autre rendez-vous, ou bien je négocie directement avec l’autre épouse concernée pour trouver un arrangement qui convient à tout le monde. Nous avons en fait appris quelque chose de très important, c’est qu’il y a toujours une autre nuit. Et la plupart des soirées, après de dures journées de travail, tout ce que je demande, c’est de m’abandonner au doux sommeil au creux du lit. Mais il y a aussi les moments où on a besoin d’affection, de détente et de confiance que seul mon mari peut m’offrir. Lorsque ces sentiments se font pressants, je demande à le voir et à être avec lui.
À mon avis, la polygamie offre aux hommes une possibilité de fuir les rôles traditionnels qui les obligent à s’isoler du monde qui les entoure. Mais le plus important est que ce genre de vie aide les femmes, qui vivent dans des sociétés pleines de difficultés, à assumer parfaitement leurs responsabilités et à jouer pleinement leur rôle de mère et d’épouse.
La polygamie est une solution parfaite et je crois qu’il aurait fallu que les femmes américaines inventassent ce système s’il n’existait pas. ».
« Lorsque je commence mon voyage de 60 kilomètres vers le tribunal (où elle travaille) pour y arriver à 7 heures du matin, ma fille London (deux ans) dort gracieusement dans les bras de l’épouse de mon mari Rayan. Ma fille aime beaucoup son père. Lorsqu’elle se réveille, elle est entourée de tous les membres de la famille qu’elle a l’habitude de voir… comme si elle était en garderie ».
Elizabeth parle, ensuite, de son mari Alex qui écrit la nuit. Lorsqu’il se réveille le matin, la plupart de ses épouses sont déjà parties au travail, mais il en trouve toujours une avec qui il peut discuter en prenant sa première tasse de café.
Concernant le partage des tâches ménagères, elle dit : « Je partage les tâches ménagères avec Dilinda, une autre épouse de mon mari, qui travaille dans un service public. La plupart des soirs, nous nous mettons d’accord pour prendre un dîner simple avec nos trois enfants pour oublier les difficultés du travail quotidien plutôt que de consommer ce qu’il nous reste d’énergie à faire la cuisine et laver une tonne de vaisselle.
Mais les lundis sont différents. En effet, le lundi soir est différent puisque Alex prend le dîner avec nous. Les enfants ont toujours hâte de voir arriver le lundi soir et ils sont contents et enthousiastes de voir leur père au dîner, et se conduisent d’une manière très correcte. La plupart du temps, on invite une de ses autres épouses ou un de ses autres enfants pour être de la partie. Il s’agit d’un événement particulier qui a lieu une fois par semaine. Quant au mardi, la vie simple et normale reprend. Mais pour Alex, et pour la femme qui prend son dîner avec lui le mardi soir, c’est une affaire qui ne nous regarde pas.
Le même système, avec quelques retouches ici ou là, régit nos vies privées avec notre mari commun, malgré des changements éventuels indépendants de nos volontés. Ainsi, si je souhaite passer la nuit du vendredi chez lui, je prends rendez-vous. S’il est déjà pris, je prends un autre rendez-vous, ou bien je négocie directement avec l’autre épouse concernée pour trouver un arrangement qui convient à tout le monde. Nous avons en fait appris quelque chose de très important, c’est qu’il y a toujours une autre nuit. Et la plupart des soirées, après de dures journées de travail, tout ce que je demande, c’est de m’abandonner au doux sommeil au creux du lit. Mais il y a aussi les moments où on a besoin d’affection, de détente et de confiance que seul mon mari peut m’offrir. Lorsque ces sentiments se font pressants, je demande à le voir et à être avec lui.
À mon avis, la polygamie offre aux hommes une possibilité de fuir les rôles traditionnels qui les obligent à s’isoler du monde qui les entoure. Mais le plus important est que ce genre de vie aide les femmes, qui vivent dans des sociétés pleines de difficultés, à assumer parfaitement leurs responsabilités et à jouer pleinement leur rôle de mère et d’épouse.
La polygamie est une solution parfaite et je crois qu’il aurait fallu que les femmes américaines inventassent ce système s’il n’existait pas. ».