Ce qui se passe dans le dos de Jacques Anouma à travers ceux qu’ils appellent ses amis est grave parce que ceux-ci en veulent à son fauteuil. Plus grave est le moyen qu’ils utilisent pour atteindre leur objectif. La logique aurait voulu que, lorsqu’on veut affronter quelqu’un, qu’on le fasse dans la règle de l’art en ne se cachant pas derrière des journaux car en toute chose il faut être loyal. Mais le PCA de Commun en a cure de ces vertus cardinales qui grandissent. Mais lui au contraire, préfère porter la cagoule parce qu’il pense naïvement que son heure est arrivée de diriger la FIF. On ne peut empêcher qui que ce soit d’avoir des ambitions. C’est même légitime. Mais au moins il faut avoir le courage et l’honnêteté de ses positions et de ses ambitions pour rester en harmonie avec sa conscience. Pour qui connait bien Eugène Diomandé, sait qu’il excelle dans l’art de la roublardise. M. Tapé Koulou Laurent en sait quelque chose pour s’être fait rouler dans la farine par le président du Séwé Sport de San Pedro au moment où T.K.L le sortait d’une situation qui risquait de le perdre à jamais. Eugène Diomandé qui a l’ingratitude à fleur de peau en torpillant Jacques Anouma s’y prend mal. Parce que ce n’est pas en utilisant des journaux qu’il gagnera son combat. Même si Anouma devait partir, ce n’est pas lui qui est indiqué pour occuper le fauteuil. A bon attendeur…
I.F
I.F