Le débat sur l’encadrement technique de l’équipe nationale de Côte d’Ivoire est toujours d’actualité. Sur la dernière ligne droite avec Guus Hiddink et Sven-Göran Eriksson pour succéder à Vahid Halilhodzic, Philippe Bernard Troussier parle de son homologue hollandais, Guus, désormais très proche du banc des Eléphants.
« En ce qui concerne le prochain entraîneur des Eléphants, je peux vous affirmer que rien n’est encore signé. Il y a certes beaucoup de chiffres qui circulent, mais ils sont loin d’être la réalité. Nous aurons un bon entraîneur à un coût raisonnable ». Cette affirmation du président de la Fédération ivoirienne de football atteste qu’officiellement, l’instance fédérale, en dépit des supputations, n’a pas encore pris d’engagement écrit avec un entraîneur. Qu’à cela ne tienne ! Le nom du Néerlandais Guus Hiddink a inondé la presse. Les sondages aériens le donnent largement favoris dans la lutte pour être le patron du banc des Eléphants au Mondial 2010 en Afrique du Sud. Toujours en course malgré tout, Philippe Omar Troussier reste au rebond et attentif. « Je suis toujours en attente et toujours prêt pour les Eléphants. Car j’ai une énorme envie de relever le défi de la Coupe du monde avec la Côte d’Ivoire », nous a-t-il confié par téléphone hier. Avant de faire un petit commentaire sur son homologue hollandais Guus Hiddink. « Guus Hiddink est un très bon entraîneur. Il a une grosse expérience de la Coupe du monde. Si la Côte d’Ivoire le choisit, c’est une très bonne chose. C’est la preuve que la Fédération ivoirienne de football a de l’ambition dans cette compétition qu’elle va disputer pour la deuxième fois. Si on prend Guus, ce n’est pas pour un petit résultat. C’est qu’on veut remporter la Coupe du monde, parce que ce n’est pas impossible avec les joueurs dont dispose la Côte d’Ivoire. En tout cas, personnellement je reste très motivé à l’idée d’être éventuellement de cette campagne ». Si Philippe Troussier brûle d’envie de disputer le Mondial 2010 sur le banc des Eléphants, c’est pour relever un challenge. Le « sorcier blanc » rêve de reprendre le travail qu’il a entamé il y a 20 ans sur les bords de la lagune Ebrié. Quand bien même les époques ne sont plus les mêmes.
Pourquoi la signature de Guus met-elle du temps
A l’instar des autres techniciens candidats à la tête de la sélection ivoirienne, le technicien néerlandais a été entendu par président de la Fif. A priori, le patron du football national est tombé sous le charme du CV de Guus Hiddink. Le profil de l’ancien coach de Chelsea sied au locataire de la Maison de verre de Treichville. Guus a donné son accord de principe à la fédération ivoirienne, mais il n’est pas libre. Son contrat avec la Russie prend fin le 15 juillet. Tant qu’il n’y met un terme, il ne peut pas s’engager avec la Côte d’Ivoire. «J'espère que la situation sera réglée avant la fin du mois», indique son agent, Cees van Nieuwenhuizen, sur le site de France Football. «Nous devons être honnêtes avec la Côte d'Ivoire et leur donner une réponse dans les deux semaines qui viennent. Mais nous ne pouvons rien faire tant que Guus est lié à la Russie», ajoute-t-il. C’est donc clair, la Fédération est obligée d’atteindre le résultat des discussions de Guus avec la fédération russe de football qui n’est pas sûre de le libérer, d’autant qu’il n’a pas réussi à qualifier ce pays pour le Mondial. Et la Fif aurait proposé un contrat de deux mois au technicien batave. «Nous avons leur offre mais cela ne signifie pas que Guus l'acceptera. Il doit d'abord rompre son contrat avec la Russie». Un autre débat. A moins de 100 jours du Mondial, doit-on continuer à poursuivre un entraîneur sous contrat alors que d’autres sont disponibles et déterminés à prendre les Eléphants ?
Tibet Kipré
« En ce qui concerne le prochain entraîneur des Eléphants, je peux vous affirmer que rien n’est encore signé. Il y a certes beaucoup de chiffres qui circulent, mais ils sont loin d’être la réalité. Nous aurons un bon entraîneur à un coût raisonnable ». Cette affirmation du président de la Fédération ivoirienne de football atteste qu’officiellement, l’instance fédérale, en dépit des supputations, n’a pas encore pris d’engagement écrit avec un entraîneur. Qu’à cela ne tienne ! Le nom du Néerlandais Guus Hiddink a inondé la presse. Les sondages aériens le donnent largement favoris dans la lutte pour être le patron du banc des Eléphants au Mondial 2010 en Afrique du Sud. Toujours en course malgré tout, Philippe Omar Troussier reste au rebond et attentif. « Je suis toujours en attente et toujours prêt pour les Eléphants. Car j’ai une énorme envie de relever le défi de la Coupe du monde avec la Côte d’Ivoire », nous a-t-il confié par téléphone hier. Avant de faire un petit commentaire sur son homologue hollandais Guus Hiddink. « Guus Hiddink est un très bon entraîneur. Il a une grosse expérience de la Coupe du monde. Si la Côte d’Ivoire le choisit, c’est une très bonne chose. C’est la preuve que la Fédération ivoirienne de football a de l’ambition dans cette compétition qu’elle va disputer pour la deuxième fois. Si on prend Guus, ce n’est pas pour un petit résultat. C’est qu’on veut remporter la Coupe du monde, parce que ce n’est pas impossible avec les joueurs dont dispose la Côte d’Ivoire. En tout cas, personnellement je reste très motivé à l’idée d’être éventuellement de cette campagne ». Si Philippe Troussier brûle d’envie de disputer le Mondial 2010 sur le banc des Eléphants, c’est pour relever un challenge. Le « sorcier blanc » rêve de reprendre le travail qu’il a entamé il y a 20 ans sur les bords de la lagune Ebrié. Quand bien même les époques ne sont plus les mêmes.
Pourquoi la signature de Guus met-elle du temps
A l’instar des autres techniciens candidats à la tête de la sélection ivoirienne, le technicien néerlandais a été entendu par président de la Fif. A priori, le patron du football national est tombé sous le charme du CV de Guus Hiddink. Le profil de l’ancien coach de Chelsea sied au locataire de la Maison de verre de Treichville. Guus a donné son accord de principe à la fédération ivoirienne, mais il n’est pas libre. Son contrat avec la Russie prend fin le 15 juillet. Tant qu’il n’y met un terme, il ne peut pas s’engager avec la Côte d’Ivoire. «J'espère que la situation sera réglée avant la fin du mois», indique son agent, Cees van Nieuwenhuizen, sur le site de France Football. «Nous devons être honnêtes avec la Côte d'Ivoire et leur donner une réponse dans les deux semaines qui viennent. Mais nous ne pouvons rien faire tant que Guus est lié à la Russie», ajoute-t-il. C’est donc clair, la Fédération est obligée d’atteindre le résultat des discussions de Guus avec la fédération russe de football qui n’est pas sûre de le libérer, d’autant qu’il n’a pas réussi à qualifier ce pays pour le Mondial. Et la Fif aurait proposé un contrat de deux mois au technicien batave. «Nous avons leur offre mais cela ne signifie pas que Guus l'acceptera. Il doit d'abord rompre son contrat avec la Russie». Un autre débat. A moins de 100 jours du Mondial, doit-on continuer à poursuivre un entraîneur sous contrat alors que d’autres sont disponibles et déterminés à prendre les Eléphants ?
Tibet Kipré
