La célébration officielle de la Journée internationale de la femme aura lieu samedi à Man, autour du thème: « Elections et promotion de l’égalité des chances». Placée sous le haut patronage de Son Excellence Monsieur Laurent Gbagbo, elle sera parrainée par le Premier ministre Soro Guillaume.
Comme à chaque édition, les femmes déferleront dans la capitale de la région des Montagnes, en provenance des autres villes du pays, pour faire montre de leur savoir-faire au cours d’expositions d’œuvres réalisées et de défilés.
Elles pourront ainsi faire entendre leurs aspirations liées à l’égalité des chances dans le travail, dans les instances de prises de décision, aux postes électifs, etc. Car les femmes sont encore victimes de moult discriminations, notamment les violences physiques, viols et les mutilations génitales. Qui, du fait de la crise en Côte d’Ivoire, se sont accrus.
La Convention de la société civile fait un bilan bien maigre. Dans une déclaration, elle affirme : « Les femmes constituent seulement 8,5% des députés, 5,6% des maires et 7% des membres de l’actuel gouvernement. Les femmes sont victimes de disparités économiques, car elles ne gagnent, dans le secteur informel et dans le secteur agricole, que 33% et 22% des revenus des hommes… ».
La Journée internationale de la femme est célébrée dans le monde le 08 mars. En Côte d’Ivoire, elle a été reportée au 13, en raison de la crise politique qui a entraîné la dissolution du gouvernement. Elle a été créée il y a cent ans (08 mars 1910) par une confédération internationale de femmes socialistes de 17 pays, à Copenhague au Danemark, en vue de servir à la propagande du vote des femmes.
Marcelline Gneproust
Comme à chaque édition, les femmes déferleront dans la capitale de la région des Montagnes, en provenance des autres villes du pays, pour faire montre de leur savoir-faire au cours d’expositions d’œuvres réalisées et de défilés.
Elles pourront ainsi faire entendre leurs aspirations liées à l’égalité des chances dans le travail, dans les instances de prises de décision, aux postes électifs, etc. Car les femmes sont encore victimes de moult discriminations, notamment les violences physiques, viols et les mutilations génitales. Qui, du fait de la crise en Côte d’Ivoire, se sont accrus.
La Convention de la société civile fait un bilan bien maigre. Dans une déclaration, elle affirme : « Les femmes constituent seulement 8,5% des députés, 5,6% des maires et 7% des membres de l’actuel gouvernement. Les femmes sont victimes de disparités économiques, car elles ne gagnent, dans le secteur informel et dans le secteur agricole, que 33% et 22% des revenus des hommes… ».
La Journée internationale de la femme est célébrée dans le monde le 08 mars. En Côte d’Ivoire, elle a été reportée au 13, en raison de la crise politique qui a entraîné la dissolution du gouvernement. Elle a été créée il y a cent ans (08 mars 1910) par une confédération internationale de femmes socialistes de 17 pays, à Copenhague au Danemark, en vue de servir à la propagande du vote des femmes.
Marcelline Gneproust