Ouvert le mercredi 10 mars dernier, le pré-colloque sur le cinquantenaire de la Côte d’Ivoire a clos ses portes le samedi 13 mars 2010. A cette occasion, le professeur Aimé Pierre Kipré, président de la commission nationale a reçu des propositions pertinentes et plaidé pour la mise sur pied d’un cartel de chercheurs africains.
« Conflits régionaux et indépendance nationale en Afrique : le cas de l’Afrique de l’Ouest », thème central des premières journées de réflexion sur les indépendances africaines 50 ans après. Autour de ce thème, ce sont 40 communications réparties en 9 ateliers et 6 communications en plénière qui ont meublé le pré-colloque. L’ambassadeur Aimé Pierre Kipré lors de la cérémonie de clôture à la salle des fêtes de la mairie, a traduit son souhait de voir les travaux de ce pré-colloque produire des propositions pour les cinquante années à venir. «Pour le comité scientifique, il y a des tâches urgentes. La première tâche, c’est que vous devriez, sous l’autorité du président du comité scientifique revoir toutes les communications que nous avons entendues pour en extraire des proposions pertinentes pour les 50 années à venir». Pour le président de la commission nationale du cinquantenaire, il est important qu’un réseau de chercheurs Ouest-africains travaillent à réécrire l’histoire presque commune des indépendances et proposent des modèles pour enclencher les processus de développement sociaux, politiques et économiques dans ces zones géographiques.
Ernest Famin, correspondant régional
« Conflits régionaux et indépendance nationale en Afrique : le cas de l’Afrique de l’Ouest », thème central des premières journées de réflexion sur les indépendances africaines 50 ans après. Autour de ce thème, ce sont 40 communications réparties en 9 ateliers et 6 communications en plénière qui ont meublé le pré-colloque. L’ambassadeur Aimé Pierre Kipré lors de la cérémonie de clôture à la salle des fêtes de la mairie, a traduit son souhait de voir les travaux de ce pré-colloque produire des propositions pour les cinquante années à venir. «Pour le comité scientifique, il y a des tâches urgentes. La première tâche, c’est que vous devriez, sous l’autorité du président du comité scientifique revoir toutes les communications que nous avons entendues pour en extraire des proposions pertinentes pour les 50 années à venir». Pour le président de la commission nationale du cinquantenaire, il est important qu’un réseau de chercheurs Ouest-africains travaillent à réécrire l’histoire presque commune des indépendances et proposent des modèles pour enclencher les processus de développement sociaux, politiques et économiques dans ces zones géographiques.
Ernest Famin, correspondant régional