Le blâme écopé par « Le National » au sujet de notre article « FIF: voici le vrai visage de ceux qui attaquent Anouma » nous oblige a faire une mise au point qui nos l’espérons ne va pas encore échauder l’âme très sensible du Conseil national de la presse que nous remercions pour sa vigilance en ces temps sensibles qui demandent aussi l’attention de tout citoyen. Parmi les droits les plus précieux du citoyen d’une démocratie, figure le droit d’être informé et parmi ses devoirs celui de s’informer. Voilà pourquoi la presse a une place prépondérante dans nos sociétés en quête de libertés, de paix et de développement. Mais la diffusion de l’information étant un agent capital de l’équilibre social, nul ne devrait y jouer un rôle sans avoir conscience de sa responsabilité.
Nous implorons la grâce du président du Conseil National de la Presse que nous respectons, de nous pardonner si nous revenons sur ce sujet. Il est écrit dans le communiqué « le CNP note par ailleurs que dans votre désir d’en découdre avec vos confrères, vous n’hésitez pas à publier un présumé << document TOP CONFIDENTIEL >> que vous leur attribuez. …Le CNP observe que la publication de ce document dans un dossier se rapportant au domaine du football explique votre souci de nuire à vos confrères… ». Pourquoi aurions-nous l’intention de nuire à Jules Bossiéhi, à Nobila Paul ou à Zéga Athanase ? Pourquoi serions-nous contre le journal « Notre Vision » ? Nous avons simplement attiré l’attention des ivoiriens sur le complot ourdi contre Jacques Anouma à qui des journalistes veulent faire porter la responsabilité d’une menace de mort. L’autre fait, c’est qu’effectivement Nobila Paul alias Jules Bossiéhi est le complice Paul Nobila alias major Gosset qui a jeté récemment l’opprobre sur la Côte d’Ivoire se faisant passer pour un soldat de l’armée ivoirienne, dans l’affaire Guy André Kieffer. Donc capable de toute sorte de cabale contre des citoyens honnêtes.
Dans le numéro20 de « Notre Vision » du mercredi 10 mars au mardi 16 mars 2010 Jules Bossiéhi s’est attaqué à Tapé Koulou Laurent dans un article confus. Jules Bossiéhi redacteur en chef de « Notre Vision » au dossier publié dans « Le National » 85 du 09 au jeudi 12 mars à la page 10 intitulé FIF : voici le vrai visage de ceux qui attaquent Anouma ». En publiant cet article, notre intention n’était pas de nuire à quiconque mais d’interpeller les ivoiriens sur le vrai visage de ceux que des présidents de club approchent pour pondre des articles injurieux sur M. Jacques Anouma destinés à salir sa réputation. Dans le texte de « Le National » nous avons publié un document intitulé « TOP CONFIDENTIEL » par ces auteurs que nous connaissons, c'est-à-dire M. Jules Bossiéhi Alias Beau Pays et son compère Nobila Paul alias major Gosset.
L’histoire remonte à 2003. La Côte d’Ivoire subissait douloureusement les chocs de l’attaque des assaillants dans la nuit du 18 au 19 septembre 2002. La pression de la communauté internationale était vive sur les autorités ivoiriennes. Puis survint l’histoire des fameux « ESCADRONS DE LA MORT ». Même les plus hautes autorités de notre pays avaient été accusées comme étant les « patrons » de ces ESCADRONS DE LA MORT. Des articles ont été publiés sur des Ivoiriens dans des journaux français les accusant d’être les fondateurs des escadrons de la mort. Madame Simone Gbagbo, Me Bailly Patrice, Tapé Koulou Laurent… étaient livrés injustement à la vindicte de la communauté internationale. Et puis d’investigations en investigations, M. Tapé Koulou Laurent a pu mettre la main sur le document « TOP CONFIDENTIEL » dont les auteurs Jules Bossiéhi alias Beau Pays avaient distribué chez les chefs d’Etat Jacques Chirac, Gnassingbé Eyadema, Blaise Compaoré pour présenter Madame Simone Gbagbo, Séka Séka, Me Bailly Patrice, Tapé Koulou , Désiré Tagro…comme étant les responsables des ESCADRONS DE LA MORT. Un tel dénigrement savamment planifié ne peut provenir que des individus dangereux. Jules Bossiéhi est donc revenu vers Tapé Koulou qui l’a toujours considéré comme son fils. Le pdg du groupe « Le National » SA l’a même nommé comme directeur de publication par intérim de Le National. Et quand il y a eu la défaite des Eléphants en Angola, un président de Club l’a approché (lui et Athanase Zéga directeur de publication de notre vision) pour s’attaquer à Jacques Anouma. Pendant que Jules Bossiéhi (directeur de publication par intérim de « Le National » et actuel rédacteur en chef de Notre Vision) et Athanase Zéga (directeur de la rédaction de Le national et directeur de Publication de « Notre Vision ») avaient encore leurs noms dans l’ours de Le National, ils ont fait paraitre l’hebdomadaire Notre Vision pour jeter l’opprobre sur Jacques Anouma. Les ivoiriens qui ont pu constater les insanités que Jules Bossiéhi et Zéga Athanase ont déversées sur le président de la FIF ont appelé Tapé Koulou Laurent pour lui demander les raisons pour lesquelles, il finance ses journalistes pour écrire contre le président Jacques Anouma son frère qui vient de sortir d’une situation aussi difficile que la défaite de l’équipe nationale de football . Tapé Koulou qui ne savait rien du complot ourdi contre son frère Jacques Anouma ne s’est rendu à l’évidence que quand il a acheté l’hebdomadaire « Notre vision ». Il a demandé des explications à Jules Bossiéhi et Athanase Zéga qui ont subitement disparu.
La deuxième surprise de Tapé Koulou a été plus grande quand le matin du ……un anonyme l’appelle pour l’informer que des journalistes de « notre vision » ont été attaqués par des individus pour avoir écrit des articles sur Jacques Anouma. C’est alors que connaissant la capacité de nuisance de Jules Bossiéhi, « Le National » a publié le document TOP CONFIDENTIEL dont il est l’initiateur pour interpeler Jacques Anouma et expliquer aux lecteurs et à tous les ivoiriens que ces bruits de menace de mort qui planent sur les journalistes de « notre vision » ne sont qu’une cabale pour mieux ternir l’image du président Jacques Anouma. Par ailleurs selon des sources concordantes, Sylvain Jules Bossiéhi (rédacteur en chef de « Notre Vision) et Athanase Zéga (directeur de publication de Notre Vision) recherchés par la police judiciaires pour avoir escroqué des ivoiriens en leur promettant des visas rêvaient par ce montage grotesque de menace de mort toucher le cœur de quelques ambassades dont celle de la France et de la Belgique pour obtenir des visas en vue de fuir la Côte d’Ivoire. Tous les ivoiriens qui veulent savoir la véracité de ces faits peuvent se rendre à la police judiciaire pour vérification. Même Tapé Koulou Laurent a dû intervenir en payant récemment 100000fcfa de dette pour qu’un MDL n’arrête pas Athanase Zéga qui doit des millions à des ivoiriens à qui il a promis des visas. Idem pour Jules Bossiéhi. N’est-ce pas à cause de ses nombreuses malversations qu’il a brisé ses deux jambes en sautant du deuxième étage pour tenter de s’échapper aux policiers venus l’arrêter pour avoir escroqué des ivoiriens en leur promettant des visas ? « Le National » a voulu simplement interpeler les ivoiriens sur le caractère vicieux de ces individus qui dirigent le journal « Notre Vision » et qu’un président de club a financé pour ternir l’image de Jacques Anouma. Malheureusement, nous avons écopé d’un blâme certainement parce que notre démarche a été jugée mauvaise. Nous ne rentrons pas en conflit avec le CNP qui est notre boussole et à qui nous disons merci pour nous avoir signifié notre erreur. «Là où les journalistes producteurs, rédacteurs ou propriétaires se sont regroupés pour établir un code déontologique, sous l’égide d’un conseil des médias ou autrement, ils ont découvert qu’ils avaient en commun certains principes fondamentaux. Le premier est que l’information est sacrée ; que l’exactitude des faits est une obligation impérative qui proscrit toute déformation volontaire et toute omission. Le second est qu’il importe de distinguer toujours l’information du commentaire ou de l’opinion de celui qui le transmet. Le troisième est que tout commentaire doit être constructif et viser à servir l’intérêt public et que s’il comporte quelque critique, il doit se garder de toute calomnie. Tous les codes comportent également une clause qui enjoint de garder le secret professionnel et de ne pas trahir les confidences. » J. Clément JONES, Déontologie et l’information, paris, UNESCO, 1980, P62. Le rôle de régulateur du CNP est donc à saluer. Même si souvent il engendre des contestations. Les articles contenus dans un journal constituent les chapitres de l’histoire des hommes, des nations, et des peuples. En Europe et maintenant en Afrique, plusieurs bibliothèques conservent des journaux pour les mettre à la disposition du public afin de lui permettre de vivre les grands événements qui ont marqué le monde entier. On peut apprendre dans les livres d’histoire, le récit de la plupart des grands événements de l’humanité. Mais, la meilleure façon de les vivre c’est de se référer aux journaux de l’époque. C’est pourquoi, il est dit que le journaliste est l’historien ou l’ethnologue du moment. Voici les motifs de cette mise au point. La nouvelle équipe de Le Nationale s’évertuera à mettre en pratique toutes les remarques faites par le Conseil National de la presse qui demeure pour nous une boussole.
Koné Moussa
Nous implorons la grâce du président du Conseil National de la Presse que nous respectons, de nous pardonner si nous revenons sur ce sujet. Il est écrit dans le communiqué « le CNP note par ailleurs que dans votre désir d’en découdre avec vos confrères, vous n’hésitez pas à publier un présumé << document TOP CONFIDENTIEL >> que vous leur attribuez. …Le CNP observe que la publication de ce document dans un dossier se rapportant au domaine du football explique votre souci de nuire à vos confrères… ». Pourquoi aurions-nous l’intention de nuire à Jules Bossiéhi, à Nobila Paul ou à Zéga Athanase ? Pourquoi serions-nous contre le journal « Notre Vision » ? Nous avons simplement attiré l’attention des ivoiriens sur le complot ourdi contre Jacques Anouma à qui des journalistes veulent faire porter la responsabilité d’une menace de mort. L’autre fait, c’est qu’effectivement Nobila Paul alias Jules Bossiéhi est le complice Paul Nobila alias major Gosset qui a jeté récemment l’opprobre sur la Côte d’Ivoire se faisant passer pour un soldat de l’armée ivoirienne, dans l’affaire Guy André Kieffer. Donc capable de toute sorte de cabale contre des citoyens honnêtes.
Dans le numéro20 de « Notre Vision » du mercredi 10 mars au mardi 16 mars 2010 Jules Bossiéhi s’est attaqué à Tapé Koulou Laurent dans un article confus. Jules Bossiéhi redacteur en chef de « Notre Vision » au dossier publié dans « Le National » 85 du 09 au jeudi 12 mars à la page 10 intitulé FIF : voici le vrai visage de ceux qui attaquent Anouma ». En publiant cet article, notre intention n’était pas de nuire à quiconque mais d’interpeller les ivoiriens sur le vrai visage de ceux que des présidents de club approchent pour pondre des articles injurieux sur M. Jacques Anouma destinés à salir sa réputation. Dans le texte de « Le National » nous avons publié un document intitulé « TOP CONFIDENTIEL » par ces auteurs que nous connaissons, c'est-à-dire M. Jules Bossiéhi Alias Beau Pays et son compère Nobila Paul alias major Gosset.
L’histoire remonte à 2003. La Côte d’Ivoire subissait douloureusement les chocs de l’attaque des assaillants dans la nuit du 18 au 19 septembre 2002. La pression de la communauté internationale était vive sur les autorités ivoiriennes. Puis survint l’histoire des fameux « ESCADRONS DE LA MORT ». Même les plus hautes autorités de notre pays avaient été accusées comme étant les « patrons » de ces ESCADRONS DE LA MORT. Des articles ont été publiés sur des Ivoiriens dans des journaux français les accusant d’être les fondateurs des escadrons de la mort. Madame Simone Gbagbo, Me Bailly Patrice, Tapé Koulou Laurent… étaient livrés injustement à la vindicte de la communauté internationale. Et puis d’investigations en investigations, M. Tapé Koulou Laurent a pu mettre la main sur le document « TOP CONFIDENTIEL » dont les auteurs Jules Bossiéhi alias Beau Pays avaient distribué chez les chefs d’Etat Jacques Chirac, Gnassingbé Eyadema, Blaise Compaoré pour présenter Madame Simone Gbagbo, Séka Séka, Me Bailly Patrice, Tapé Koulou , Désiré Tagro…comme étant les responsables des ESCADRONS DE LA MORT. Un tel dénigrement savamment planifié ne peut provenir que des individus dangereux. Jules Bossiéhi est donc revenu vers Tapé Koulou qui l’a toujours considéré comme son fils. Le pdg du groupe « Le National » SA l’a même nommé comme directeur de publication par intérim de Le National. Et quand il y a eu la défaite des Eléphants en Angola, un président de Club l’a approché (lui et Athanase Zéga directeur de publication de notre vision) pour s’attaquer à Jacques Anouma. Pendant que Jules Bossiéhi (directeur de publication par intérim de « Le National » et actuel rédacteur en chef de Notre Vision) et Athanase Zéga (directeur de la rédaction de Le national et directeur de Publication de « Notre Vision ») avaient encore leurs noms dans l’ours de Le National, ils ont fait paraitre l’hebdomadaire Notre Vision pour jeter l’opprobre sur Jacques Anouma. Les ivoiriens qui ont pu constater les insanités que Jules Bossiéhi et Zéga Athanase ont déversées sur le président de la FIF ont appelé Tapé Koulou Laurent pour lui demander les raisons pour lesquelles, il finance ses journalistes pour écrire contre le président Jacques Anouma son frère qui vient de sortir d’une situation aussi difficile que la défaite de l’équipe nationale de football . Tapé Koulou qui ne savait rien du complot ourdi contre son frère Jacques Anouma ne s’est rendu à l’évidence que quand il a acheté l’hebdomadaire « Notre vision ». Il a demandé des explications à Jules Bossiéhi et Athanase Zéga qui ont subitement disparu.
La deuxième surprise de Tapé Koulou a été plus grande quand le matin du ……un anonyme l’appelle pour l’informer que des journalistes de « notre vision » ont été attaqués par des individus pour avoir écrit des articles sur Jacques Anouma. C’est alors que connaissant la capacité de nuisance de Jules Bossiéhi, « Le National » a publié le document TOP CONFIDENTIEL dont il est l’initiateur pour interpeler Jacques Anouma et expliquer aux lecteurs et à tous les ivoiriens que ces bruits de menace de mort qui planent sur les journalistes de « notre vision » ne sont qu’une cabale pour mieux ternir l’image du président Jacques Anouma. Par ailleurs selon des sources concordantes, Sylvain Jules Bossiéhi (rédacteur en chef de « Notre Vision) et Athanase Zéga (directeur de publication de Notre Vision) recherchés par la police judiciaires pour avoir escroqué des ivoiriens en leur promettant des visas rêvaient par ce montage grotesque de menace de mort toucher le cœur de quelques ambassades dont celle de la France et de la Belgique pour obtenir des visas en vue de fuir la Côte d’Ivoire. Tous les ivoiriens qui veulent savoir la véracité de ces faits peuvent se rendre à la police judiciaire pour vérification. Même Tapé Koulou Laurent a dû intervenir en payant récemment 100000fcfa de dette pour qu’un MDL n’arrête pas Athanase Zéga qui doit des millions à des ivoiriens à qui il a promis des visas. Idem pour Jules Bossiéhi. N’est-ce pas à cause de ses nombreuses malversations qu’il a brisé ses deux jambes en sautant du deuxième étage pour tenter de s’échapper aux policiers venus l’arrêter pour avoir escroqué des ivoiriens en leur promettant des visas ? « Le National » a voulu simplement interpeler les ivoiriens sur le caractère vicieux de ces individus qui dirigent le journal « Notre Vision » et qu’un président de club a financé pour ternir l’image de Jacques Anouma. Malheureusement, nous avons écopé d’un blâme certainement parce que notre démarche a été jugée mauvaise. Nous ne rentrons pas en conflit avec le CNP qui est notre boussole et à qui nous disons merci pour nous avoir signifié notre erreur. «Là où les journalistes producteurs, rédacteurs ou propriétaires se sont regroupés pour établir un code déontologique, sous l’égide d’un conseil des médias ou autrement, ils ont découvert qu’ils avaient en commun certains principes fondamentaux. Le premier est que l’information est sacrée ; que l’exactitude des faits est une obligation impérative qui proscrit toute déformation volontaire et toute omission. Le second est qu’il importe de distinguer toujours l’information du commentaire ou de l’opinion de celui qui le transmet. Le troisième est que tout commentaire doit être constructif et viser à servir l’intérêt public et que s’il comporte quelque critique, il doit se garder de toute calomnie. Tous les codes comportent également une clause qui enjoint de garder le secret professionnel et de ne pas trahir les confidences. » J. Clément JONES, Déontologie et l’information, paris, UNESCO, 1980, P62. Le rôle de régulateur du CNP est donc à saluer. Même si souvent il engendre des contestations. Les articles contenus dans un journal constituent les chapitres de l’histoire des hommes, des nations, et des peuples. En Europe et maintenant en Afrique, plusieurs bibliothèques conservent des journaux pour les mettre à la disposition du public afin de lui permettre de vivre les grands événements qui ont marqué le monde entier. On peut apprendre dans les livres d’histoire, le récit de la plupart des grands événements de l’humanité. Mais, la meilleure façon de les vivre c’est de se référer aux journaux de l’époque. C’est pourquoi, il est dit que le journaliste est l’historien ou l’ethnologue du moment. Voici les motifs de cette mise au point. La nouvelle équipe de Le Nationale s’évertuera à mettre en pratique toutes les remarques faites par le Conseil National de la presse qui demeure pour nous une boussole.
Koné Moussa