Le processus d’indemnisation des victimes des déchets traverse une période difficile. Toutefois le président de la Cnvdt rassure.
Le processus d’indemnisation des victimes des déchets toxiques est bloqué depuis mercredi dernier. A l’origine de cette situation, l’arrestation de Oulai Wilfried, un des proches collaborateurs du président de la Coordination nationale des victimes des déchets toxiques (Cnvdt), Claude Gohourou. A cet effet le président de la Cnvdt que nous avons rencontré dimanche dernier, a annoncé que ses services reprendront leur travail dès mercredi prochain. « Les services de la Cnvdt seront de nouveau ouverts et les victimes recevront de leurs indemnisations», a-t-il rassuré. Selon lui, ces incidents qui ont perturbé le processus ont été réglés. « Un incident s’est produit sur le site entre mes collaborateurs et des personnes venues pour filmer nos activités sans notre consentement. Mais la situation est vite réglée et nous sommes actuellement en phase », a-t-il dit. Il a par ailleurs affirmé que plus de 18.500 bénéficiaires ont déjà reçu leurs chèques dont plus 10 mille ont été déjà indemnisés par la Société générale de banque de Côte d’Ivoire. Le président Claude Gohourou s’est dit déterminé à poursuivre le processus dans la crédibilité et la transparence. « Le processus est irréversible. Personne ne peut l’arrêter. Les parents ont trop souffert. Nous leur présentons nos excuses et nous sommes déterminés à poursuivre cette indemnisation dans leur intérêt », a-t-il précisé. Il a expliqué que son proche collaborateur Oulaï Wilfried, élève fonctionnaire à l’Ecole d’administration nationale (Ena), arrêté par des éléments du Cecos a été libéré.
Benjamin Soro
Le processus d’indemnisation des victimes des déchets toxiques est bloqué depuis mercredi dernier. A l’origine de cette situation, l’arrestation de Oulai Wilfried, un des proches collaborateurs du président de la Coordination nationale des victimes des déchets toxiques (Cnvdt), Claude Gohourou. A cet effet le président de la Cnvdt que nous avons rencontré dimanche dernier, a annoncé que ses services reprendront leur travail dès mercredi prochain. « Les services de la Cnvdt seront de nouveau ouverts et les victimes recevront de leurs indemnisations», a-t-il rassuré. Selon lui, ces incidents qui ont perturbé le processus ont été réglés. « Un incident s’est produit sur le site entre mes collaborateurs et des personnes venues pour filmer nos activités sans notre consentement. Mais la situation est vite réglée et nous sommes actuellement en phase », a-t-il dit. Il a par ailleurs affirmé que plus de 18.500 bénéficiaires ont déjà reçu leurs chèques dont plus 10 mille ont été déjà indemnisés par la Société générale de banque de Côte d’Ivoire. Le président Claude Gohourou s’est dit déterminé à poursuivre le processus dans la crédibilité et la transparence. « Le processus est irréversible. Personne ne peut l’arrêter. Les parents ont trop souffert. Nous leur présentons nos excuses et nous sommes déterminés à poursuivre cette indemnisation dans leur intérêt », a-t-il précisé. Il a expliqué que son proche collaborateur Oulaï Wilfried, élève fonctionnaire à l’Ecole d’administration nationale (Ena), arrêté par des éléments du Cecos a été libéré.
Benjamin Soro