Le président du Front populaire ivoirien (FPI) a déclaré que “ c’est Laurent Gbagbo qui peut permettre à la Côte d’Ivoire d’avancer”, hier mercredi, devant les populations de Taabo qu’il a reçues à son domicile, à la Riviera. Pascal Affi N’Guessan a expliqué que le candidat Gbagbo est celui qui nourrit de grandes ambitions pour le pays. “Il veut travailler ”, a-t-il avancé. Le président Affi a soutenu que la Côte d’Ivoire a été attaquée injustement à cause des ambitions nobles de Gbagbo. Selon lui, pour des intérêts égoïstes, il y a des gens qui veulent faire de la Côte d’Ivoire un pays sans propriétaire, où chacun pourra venir faire ce qu’il veut. Ce à quoi Laurent Gbagbo s’oppose.
Le patron du FPI a demandé aux populations de Taabo de suivre Laurent Gbagbo pour l’aider à triompher des ennemis de la Côte d’Ivoire. Il a fait comprendre que le temps du PDCI est passé, et qu’aujourd’hui, à l’instar de toute la Côte d’Ivoire, Taabo doit emprunter le train du changement. “Quand le temps d’un parti est fini, le temps d’un homme est fini, il ne faut plus continuer à le suivre… Le temps du PDCI est fini, ce n’est pas de l’injure mais c’est cela la vérité”, a-t-il affirmé. Le président du FPI a relevé que les peuples akans sont trop conservateurs au point où cela tend à être un handicap pour le développement. “Nous les Akans nous sommes tellement fidèles que parfois notre fidélité devient un handicap, parce qu’aujourd’hui nous sommes dans le monde du progrès”, dira-t-il.
Affi N’Guessan s’est réjoui de la présence massive des chefs de Taabo, qui se sont déplacés jusqu’à son domicile. “Un chef ne se déplace pas n’importe comment. C’est une autorité traditionnelle et dans la coutume akan, il doit rester assis, parce qu’il est le fondement, la fondation. Quand il décide de se déplacer, cela signifie que la cause est éminemment importante. Prendre le risque de se déplacer justifie les retombées qu’on attend… Je suis heureux Taabo se soit levé pour venir vers moi”, a-t-il soutenu.
Dr N’Goran Koffi Adolphe, directeur local de campagne de Laurent Gbagbo à Taabo a dit qu’après de longues années de sensibilisation, la vérité a fini par triompher du mensonge. Ainsi les populations ont-elles compris le bien- fondé de l’alternance politique et on décidé d’aller à la rencontre du bonheur qu’incarne Laurent Gbagbo. Il a demandé au président du FPI d’aider la fédération pour qu’au soir des élections, Laurent Gbagbo sache que Taabo ne l’a pas lâché. Treize des quinze chefs des villages de la localité ont effectué le déplacement. Les deux autres se sont fait représenter.
César Ebrokié
Le patron du FPI a demandé aux populations de Taabo de suivre Laurent Gbagbo pour l’aider à triompher des ennemis de la Côte d’Ivoire. Il a fait comprendre que le temps du PDCI est passé, et qu’aujourd’hui, à l’instar de toute la Côte d’Ivoire, Taabo doit emprunter le train du changement. “Quand le temps d’un parti est fini, le temps d’un homme est fini, il ne faut plus continuer à le suivre… Le temps du PDCI est fini, ce n’est pas de l’injure mais c’est cela la vérité”, a-t-il affirmé. Le président du FPI a relevé que les peuples akans sont trop conservateurs au point où cela tend à être un handicap pour le développement. “Nous les Akans nous sommes tellement fidèles que parfois notre fidélité devient un handicap, parce qu’aujourd’hui nous sommes dans le monde du progrès”, dira-t-il.
Affi N’Guessan s’est réjoui de la présence massive des chefs de Taabo, qui se sont déplacés jusqu’à son domicile. “Un chef ne se déplace pas n’importe comment. C’est une autorité traditionnelle et dans la coutume akan, il doit rester assis, parce qu’il est le fondement, la fondation. Quand il décide de se déplacer, cela signifie que la cause est éminemment importante. Prendre le risque de se déplacer justifie les retombées qu’on attend… Je suis heureux Taabo se soit levé pour venir vers moi”, a-t-il soutenu.
Dr N’Goran Koffi Adolphe, directeur local de campagne de Laurent Gbagbo à Taabo a dit qu’après de longues années de sensibilisation, la vérité a fini par triompher du mensonge. Ainsi les populations ont-elles compris le bien- fondé de l’alternance politique et on décidé d’aller à la rencontre du bonheur qu’incarne Laurent Gbagbo. Il a demandé au président du FPI d’aider la fédération pour qu’au soir des élections, Laurent Gbagbo sache que Taabo ne l’a pas lâché. Treize des quinze chefs des villages de la localité ont effectué le déplacement. Les deux autres se sont fait représenter.
César Ebrokié