A l’instar des autres membres de l’équipe de campagne du président Laurent Gbagbo, Konan Kouakou Ahoutou, DDC de Brobo, était hier mardi 25 mars, l’invité des ‘’Petits déjeuners de la majorité présidentielle’’.
Le refus des Forces Nouvelles d’aller au désarmement avant les élections continue de susciter des réactions au sein de La majorité présidentielle. Hier, mardi 25 mars, c’est Konan Kouakou Ahoutou, directeur départemental de campagne de Laurent Gbagbo dans la vallée du Bamdama, qui a donné de la voix, au cours des ‘’Petits déjeuners de la majorité présidentielle’’, dont il était l’invité principal. Selon le DDC de Gbagbo à Brobo, « le désarmement est une condition essentielle et non négociable pour une sortie de crise apaisée et pour des élections sincères, transparentes et crédibles ». Il a, de ce fait, appelé le Premier ministre à se déterminer clairement pour donner une chance à la paix. Parce pour lui, contrairement à ce que les hommes de Soro tentent de faire croire, les Forces Nouvelles ne peuvent pas être des arbitres du processus de sortie de crise, surtout que « leurs faits et gestes les trahissent ». Il justifie cette opinion par les dernières sorties de Me Affoussi Bamba, porte-parole des FN, et la récente nomination du ministre Hamed Bakayoko à la Primature, en tant que conseiller de Soro. Pour Konan Kouakou Ahoutou, ce sont des signes qui ne trompent pas. En outre, selon le DDC, chaque fois que la question du désarmement est évoquée, le mouvement rebelle fait du dilatatoire et se braque malgré la satisfaction de toutes leurs revendications. Pourtant cette question est au cœur des différentes résolutions et accords qui ont été signés. Mais à en croire l’invité des communicateurs citoyens bénévoles pour le plébiscite du président Laurent Gbagbo, malgré les tergiversations et autres menaces des ex-rebelles, le camp présidentiel ne se laissera ni attendrir ni intimider. Parce que « l’élection est liée au désarmement des Forces nouvelles, à la réunification du pays et à l’existence d’une liste électorale fiable, répondant aux normes démocratiques, donc aux standards internationaux d’élections crédibles », a estimé le DDC de Gbagbo à Brobo qui était accompagné de plusieurs responsables politiques de la région, notamment Eugène Djué et César Etou.
Mireille Abié
Le refus des Forces Nouvelles d’aller au désarmement avant les élections continue de susciter des réactions au sein de La majorité présidentielle. Hier, mardi 25 mars, c’est Konan Kouakou Ahoutou, directeur départemental de campagne de Laurent Gbagbo dans la vallée du Bamdama, qui a donné de la voix, au cours des ‘’Petits déjeuners de la majorité présidentielle’’, dont il était l’invité principal. Selon le DDC de Gbagbo à Brobo, « le désarmement est une condition essentielle et non négociable pour une sortie de crise apaisée et pour des élections sincères, transparentes et crédibles ». Il a, de ce fait, appelé le Premier ministre à se déterminer clairement pour donner une chance à la paix. Parce pour lui, contrairement à ce que les hommes de Soro tentent de faire croire, les Forces Nouvelles ne peuvent pas être des arbitres du processus de sortie de crise, surtout que « leurs faits et gestes les trahissent ». Il justifie cette opinion par les dernières sorties de Me Affoussi Bamba, porte-parole des FN, et la récente nomination du ministre Hamed Bakayoko à la Primature, en tant que conseiller de Soro. Pour Konan Kouakou Ahoutou, ce sont des signes qui ne trompent pas. En outre, selon le DDC, chaque fois que la question du désarmement est évoquée, le mouvement rebelle fait du dilatatoire et se braque malgré la satisfaction de toutes leurs revendications. Pourtant cette question est au cœur des différentes résolutions et accords qui ont été signés. Mais à en croire l’invité des communicateurs citoyens bénévoles pour le plébiscite du président Laurent Gbagbo, malgré les tergiversations et autres menaces des ex-rebelles, le camp présidentiel ne se laissera ni attendrir ni intimider. Parce que « l’élection est liée au désarmement des Forces nouvelles, à la réunification du pays et à l’existence d’une liste électorale fiable, répondant aux normes démocratiques, donc aux standards internationaux d’élections crédibles », a estimé le DDC de Gbagbo à Brobo qui était accompagné de plusieurs responsables politiques de la région, notamment Eugène Djué et César Etou.
Mireille Abié
