Les chrétiens ont célébré ce dimanche la fête de Pâques dans les églises et temples du pays.
Dans les maquis, bars, boîtes de nuit et autres lieux de loisir de la capitale économique, les Abidjanais ont célébré à leur manière la résurrection du Christ. A la Rue princesse de Yopougon, l’alcool et les sonorités du pays baoulé ont agrémenté le ‘‘paquinou’’ des noceurs de la commune de la joie. Les managers de plusieurs maquis et bars de la Rue princesse ont transformé leurs espaces en véritables villages baoulé. De l’accoutrement des serveuses jusqu’aux sélections musicales, tout était fait comme si l’on était à Bouaké, à Sakassou, Béoumi etc. Au ‘‘Must’’, célèbre boîte nuit de la mythique rue, les promoteurs ont mis les petits plats dans les grands pour donner une autre coloration à la fête. Du vin de palme, communément appelé ‘‘bandji’’ venu spécialement du village, a été servi à tous les noceurs qui ont choisi cette boîte pour fêter la résurrection du Christ. Dans les lieux de restauration mitoyens, les maquis et bars, la viande d’agouti et la sauce ‘‘gouagouaassou’’, le tout accompagné de vin, étaient au menu de ces restaurants tout au long de cette journée pascale.
K.B
Dans les maquis, bars, boîtes de nuit et autres lieux de loisir de la capitale économique, les Abidjanais ont célébré à leur manière la résurrection du Christ. A la Rue princesse de Yopougon, l’alcool et les sonorités du pays baoulé ont agrémenté le ‘‘paquinou’’ des noceurs de la commune de la joie. Les managers de plusieurs maquis et bars de la Rue princesse ont transformé leurs espaces en véritables villages baoulé. De l’accoutrement des serveuses jusqu’aux sélections musicales, tout était fait comme si l’on était à Bouaké, à Sakassou, Béoumi etc. Au ‘‘Must’’, célèbre boîte nuit de la mythique rue, les promoteurs ont mis les petits plats dans les grands pour donner une autre coloration à la fête. Du vin de palme, communément appelé ‘‘bandji’’ venu spécialement du village, a été servi à tous les noceurs qui ont choisi cette boîte pour fêter la résurrection du Christ. Dans les lieux de restauration mitoyens, les maquis et bars, la viande d’agouti et la sauce ‘‘gouagouaassou’’, le tout accompagné de vin, étaient au menu de ces restaurants tout au long de cette journée pascale.
K.B
