Et c’est reparti pour la fête de la Liberté. Le FPI met fin à la trêve qu’il a observée dans la célébration de la fête de la Liberté du fait de la guerre. Cette année, la fête est accueillie par la commune de Yopougon qui a abrité la toute première édition en 1991. Le thème central retenu est : «Gagner les élections pour une Côte d’Ivoire libre, indépendante et souveraine». Le FPI renoue avec la fête instituée il y a 20 ans dans une année électorale. Compte tenu des élections qui doivent se dérouler cette année, la fête de la Liberté devient un motif de la remobilisation des militants du FPI et de toute la majorité présidentielle. Le défi est grand. Et le président du FPI, Pascal Affi N’Guessan place la barre haut en demandant une mobilisation de 500.000 personnes alors qu’au début, il était question de 100.000.
La tâche prend encore de l’ampleur parce que Pascal Affi N’Guessan annonce que la célébration de la fête de la Liberté, cette année sera l’occasion de rendre hommage au guide éclairé du FPI. Selon Affi N’Guessan, les militants et les démocrates vont «louer le stratège Laurent Gbagbo». Pour une raison ou pour une autre, le FPI a jugé nécessaire de confier l’organisation de l’événement à ses bras valides qui font désormais office de dinosaures. Le comité central d’organisation est piloté par le complice de Laurent Gbagbo. Il s’agit bien sûr de Sangaré Abou Drahamane. De lui l’actuel chef de l’Etat disait : «Sangaré et moi, nous n’avons pas besoin de nous parler. Quand nous nous regardons, nous nous comprenons».
Mis en retrait de façon stratégique pour laisser la nouvelle génération émerger, Sangaré Abou Drahamane revient pour conduire l’organisation de la fête de la Liberté. Il s’est pour sa part entouré d’autres vieux loups de la lutte du Front populaire ivoirien pour diriger les différentes commissions chargées de l’organisation de la fête. La vice-présidence, la coordination des commissions et la présidence de la commission scientifique sont laissées aux mains de l’intrépide Mamadou Koulibaly. De cet économiste et patriote hors pair, le ministre Paul Antoine Bohoun Bouabré retient qu’il est une intelligence, un homme dans tous les domaines et excellent sur tous les sujets. Laurent Akoun, un des prisonniers d’Houphouet-Boigny et syndicaliste devant l’Eternel est le porte-parole et président de la commission administration. La commission finance est dirigée par Marcel Gossio, celui qui a fait du Port autonome d’Abidjan plus que le poumon de l’économie de la Côte d’Ivoire.
Un autre syndicaliste, et ancien prisonnier d’Houp-houet en la personne de Dr. Assoa Adou s’occupe de la commission relation extérieure.
Quant à la commission organisation, elle est présidée par Odette Sauyet Likikouet. Elle, le chef de l’Etat, Laurent Gbagbo l’appelle affectueusement «la fille Gagou ou la fille Gban». Cette combattante du FPI des premières heures, ancienne ministre est l’actuelle députée de Diégonéfla. Elle n’est pas la seule femme du lot car Marie-Odette Lorougnon, secrétaire nationale des femmes du FPI (OFFPI) et députée d’Attécoubé préside la commission mobilisation. Elle et Konaté Navigué sillonnent actuellement les «agoras» et «parlements», de même que les cités universitaires pour réussir à drainer un flot humain à la fête.
La communication pour cette fête est confiée à un homme du métier. L’ancien ministre des NTIC, Théodule Lia Bi Douayoua. Les Ivoiriens retiennent de ce cadre,
le meilleur communicateur de tous les présidents des Conseils généraux de Côte d’Ivoire. Et la commission animation est quant à elle tenue par l’actuel ministre de l’Energie et des Mines, Augustin Kouadio Komoé. Il n’y a pas de contraste entre sa commission et lui parce qu’il était tout récemment le ministre de la Culture. Cette commission centrale est soutenue par 7 commissions techniques qui regorgent tout ce que le FPI possède comme compétences. Véritables ouvriers, ils sont appelés à la tâche pour réussir la fête de la Liberté de cette année.
Benjamin Koré
benjaminkore@yahoo.fr
La tâche prend encore de l’ampleur parce que Pascal Affi N’Guessan annonce que la célébration de la fête de la Liberté, cette année sera l’occasion de rendre hommage au guide éclairé du FPI. Selon Affi N’Guessan, les militants et les démocrates vont «louer le stratège Laurent Gbagbo». Pour une raison ou pour une autre, le FPI a jugé nécessaire de confier l’organisation de l’événement à ses bras valides qui font désormais office de dinosaures. Le comité central d’organisation est piloté par le complice de Laurent Gbagbo. Il s’agit bien sûr de Sangaré Abou Drahamane. De lui l’actuel chef de l’Etat disait : «Sangaré et moi, nous n’avons pas besoin de nous parler. Quand nous nous regardons, nous nous comprenons».
Mis en retrait de façon stratégique pour laisser la nouvelle génération émerger, Sangaré Abou Drahamane revient pour conduire l’organisation de la fête de la Liberté. Il s’est pour sa part entouré d’autres vieux loups de la lutte du Front populaire ivoirien pour diriger les différentes commissions chargées de l’organisation de la fête. La vice-présidence, la coordination des commissions et la présidence de la commission scientifique sont laissées aux mains de l’intrépide Mamadou Koulibaly. De cet économiste et patriote hors pair, le ministre Paul Antoine Bohoun Bouabré retient qu’il est une intelligence, un homme dans tous les domaines et excellent sur tous les sujets. Laurent Akoun, un des prisonniers d’Houphouet-Boigny et syndicaliste devant l’Eternel est le porte-parole et président de la commission administration. La commission finance est dirigée par Marcel Gossio, celui qui a fait du Port autonome d’Abidjan plus que le poumon de l’économie de la Côte d’Ivoire.
Un autre syndicaliste, et ancien prisonnier d’Houp-houet en la personne de Dr. Assoa Adou s’occupe de la commission relation extérieure.
Quant à la commission organisation, elle est présidée par Odette Sauyet Likikouet. Elle, le chef de l’Etat, Laurent Gbagbo l’appelle affectueusement «la fille Gagou ou la fille Gban». Cette combattante du FPI des premières heures, ancienne ministre est l’actuelle députée de Diégonéfla. Elle n’est pas la seule femme du lot car Marie-Odette Lorougnon, secrétaire nationale des femmes du FPI (OFFPI) et députée d’Attécoubé préside la commission mobilisation. Elle et Konaté Navigué sillonnent actuellement les «agoras» et «parlements», de même que les cités universitaires pour réussir à drainer un flot humain à la fête.
La communication pour cette fête est confiée à un homme du métier. L’ancien ministre des NTIC, Théodule Lia Bi Douayoua. Les Ivoiriens retiennent de ce cadre,
le meilleur communicateur de tous les présidents des Conseils généraux de Côte d’Ivoire. Et la commission animation est quant à elle tenue par l’actuel ministre de l’Energie et des Mines, Augustin Kouadio Komoé. Il n’y a pas de contraste entre sa commission et lui parce qu’il était tout récemment le ministre de la Culture. Cette commission centrale est soutenue par 7 commissions techniques qui regorgent tout ce que le FPI possède comme compétences. Véritables ouvriers, ils sont appelés à la tâche pour réussir la fête de la Liberté de cette année.
Benjamin Koré
benjaminkore@yahoo.fr