La Coalition pour le Changement a décidé d’organiser une série d’activités pour protester contre la fête de la liberté organisée ce week-end par le FPI. Dans cette interview, le président de la Coalition pour le Changement donne les raisons de cette contre-manifestation.
Le Patriote: Vous avez décidé d’organiser une contre-manifestation contre la «fête de la liberté» organisée par le FPI. Pouvez-vous donner les raisons d’une telle action?
Mamadou Touré: Nous avons décidé d’organiser une contre-manifestation, parce que dans l’état actuel où se trouve le pays et la jeunesse, organiser à coups de millions une telle manifestation alors que le peuple souffre et n’arrive pas à se soigner, et qu’il n’y a pas d’élections, est une injure. Nous avons initié cette activité citoyenne pour protester contre l’imposture. Samedi, nous organisons donc une journée du souvenir à la place Inchallah de Koumassi pour montrer à la population le bilan de refondation en dix ans de règne.
LP: A quoi peut-on s’attendre au cours cette journée?
MT: Cette journée du souvenir sera subdivisée en deux parties. Dans la matinée au foyer des jeunes de Marcory, il y aura une série de conférences autour des thèmes inscrits à cette «fête de la liberté». Des intellectuels et personnalités comme Gouali Dodo Junior, député PDCI de Vavoua, Tiburce Koffi, Raphaël Lakpé, Dr Dié Kacou, Idrissa Cissé et bien d’autres. Au même moment, un village sera ouvert à la place Inchallah à Koumassi. Il y aura des artistes, une exposition photos, la prestation des meilleurs orateurs des Universités des Temps libres sur le thème «Laurent Gbagbo et les élections», une projection de film sur la refondation etc. Toutes ces activités permettront de connaitre la véritable nature du régime FPI.
LP: Quel avis avez-vous à donner sur cette «fête de la liberté»?
MT : Le FPI se moque des Ivoiriens. Houphouët-Boigny a dit «un homme qui a faim n’est pas un homme libre». On organise une telle fête pendant que les Ivoiriens arrivent difficilement à manger, que le chef d’Etat pose des actes qui déstabilisent l’économie. Pendant que les étudiants se tuent à la machette et que ce régime, depuis 5 ans, est incapable d’organiser les élections. Nous organisons cette journée pour dénoncer tout cela. Nous lançons donc un appel de façon générale et surtout à tous les responsables politiques. Nous invitons la population à prendre d’assaut le foyer des jeunes pour participer aux débats et prendre part par la suite à la grand messe à la place Inchallah. Aux jeunes, nous leur demandons de s’approprier cette journée du souvenir.
Le Patriote: Vous avez décidé d’organiser une contre-manifestation contre la «fête de la liberté» organisée par le FPI. Pouvez-vous donner les raisons d’une telle action?
Mamadou Touré: Nous avons décidé d’organiser une contre-manifestation, parce que dans l’état actuel où se trouve le pays et la jeunesse, organiser à coups de millions une telle manifestation alors que le peuple souffre et n’arrive pas à se soigner, et qu’il n’y a pas d’élections, est une injure. Nous avons initié cette activité citoyenne pour protester contre l’imposture. Samedi, nous organisons donc une journée du souvenir à la place Inchallah de Koumassi pour montrer à la population le bilan de refondation en dix ans de règne.
LP: A quoi peut-on s’attendre au cours cette journée?
MT: Cette journée du souvenir sera subdivisée en deux parties. Dans la matinée au foyer des jeunes de Marcory, il y aura une série de conférences autour des thèmes inscrits à cette «fête de la liberté». Des intellectuels et personnalités comme Gouali Dodo Junior, député PDCI de Vavoua, Tiburce Koffi, Raphaël Lakpé, Dr Dié Kacou, Idrissa Cissé et bien d’autres. Au même moment, un village sera ouvert à la place Inchallah à Koumassi. Il y aura des artistes, une exposition photos, la prestation des meilleurs orateurs des Universités des Temps libres sur le thème «Laurent Gbagbo et les élections», une projection de film sur la refondation etc. Toutes ces activités permettront de connaitre la véritable nature du régime FPI.
LP: Quel avis avez-vous à donner sur cette «fête de la liberté»?
MT : Le FPI se moque des Ivoiriens. Houphouët-Boigny a dit «un homme qui a faim n’est pas un homme libre». On organise une telle fête pendant que les Ivoiriens arrivent difficilement à manger, que le chef d’Etat pose des actes qui déstabilisent l’économie. Pendant que les étudiants se tuent à la machette et que ce régime, depuis 5 ans, est incapable d’organiser les élections. Nous organisons cette journée pour dénoncer tout cela. Nous lançons donc un appel de façon générale et surtout à tous les responsables politiques. Nous invitons la population à prendre d’assaut le foyer des jeunes pour participer aux débats et prendre part par la suite à la grand messe à la place Inchallah. Aux jeunes, nous leur demandons de s’approprier cette journée du souvenir.
JCC
Le Patriote: Vous avez décidé d’organiser une contre-manifestation contre la «fête de la liberté» organisée par le FPI. Pouvez-vous donner les raisons d’une telle action?
Mamadou Touré: Nous avons décidé d’organiser une contre-manifestation, parce que dans l’état actuel où se trouve le pays et la jeunesse, organiser à coups de millions une telle manifestation alors que le peuple souffre et n’arrive pas à se soigner, et qu’il n’y a pas d’élections, est une injure. Nous avons initié cette activité citoyenne pour protester contre l’imposture. Samedi, nous organisons donc une journée du souvenir à la place Inchallah de Koumassi pour montrer à la population le bilan de refondation en dix ans de règne.
LP: A quoi peut-on s’attendre au cours cette journée?
MT: Cette journée du souvenir sera subdivisée en deux parties. Dans la matinée au foyer des jeunes de Marcory, il y aura une série de conférences autour des thèmes inscrits à cette «fête de la liberté». Des intellectuels et personnalités comme Gouali Dodo Junior, député PDCI de Vavoua, Tiburce Koffi, Raphaël Lakpé, Dr Dié Kacou, Idrissa Cissé et bien d’autres. Au même moment, un village sera ouvert à la place Inchallah à Koumassi. Il y aura des artistes, une exposition photos, la prestation des meilleurs orateurs des Universités des Temps libres sur le thème «Laurent Gbagbo et les élections», une projection de film sur la refondation etc. Toutes ces activités permettront de connaitre la véritable nature du régime FPI.
LP: Quel avis avez-vous à donner sur cette «fête de la liberté»?
MT : Le FPI se moque des Ivoiriens. Houphouët-Boigny a dit «un homme qui a faim n’est pas un homme libre». On organise une telle fête pendant que les Ivoiriens arrivent difficilement à manger, que le chef d’Etat pose des actes qui déstabilisent l’économie. Pendant que les étudiants se tuent à la machette et que ce régime, depuis 5 ans, est incapable d’organiser les élections. Nous organisons cette journée pour dénoncer tout cela. Nous lançons donc un appel de façon générale et surtout à tous les responsables politiques. Nous invitons la population à prendre d’assaut le foyer des jeunes pour participer aux débats et prendre part par la suite à la grand messe à la place Inchallah. Aux jeunes, nous leur demandons de s’approprier cette journée du souvenir.
Le Patriote: Vous avez décidé d’organiser une contre-manifestation contre la «fête de la liberté» organisée par le FPI. Pouvez-vous donner les raisons d’une telle action?
Mamadou Touré: Nous avons décidé d’organiser une contre-manifestation, parce que dans l’état actuel où se trouve le pays et la jeunesse, organiser à coups de millions une telle manifestation alors que le peuple souffre et n’arrive pas à se soigner, et qu’il n’y a pas d’élections, est une injure. Nous avons initié cette activité citoyenne pour protester contre l’imposture. Samedi, nous organisons donc une journée du souvenir à la place Inchallah de Koumassi pour montrer à la population le bilan de refondation en dix ans de règne.
LP: A quoi peut-on s’attendre au cours cette journée?
MT: Cette journée du souvenir sera subdivisée en deux parties. Dans la matinée au foyer des jeunes de Marcory, il y aura une série de conférences autour des thèmes inscrits à cette «fête de la liberté». Des intellectuels et personnalités comme Gouali Dodo Junior, député PDCI de Vavoua, Tiburce Koffi, Raphaël Lakpé, Dr Dié Kacou, Idrissa Cissé et bien d’autres. Au même moment, un village sera ouvert à la place Inchallah à Koumassi. Il y aura des artistes, une exposition photos, la prestation des meilleurs orateurs des Universités des Temps libres sur le thème «Laurent Gbagbo et les élections», une projection de film sur la refondation etc. Toutes ces activités permettront de connaitre la véritable nature du régime FPI.
LP: Quel avis avez-vous à donner sur cette «fête de la liberté»?
MT : Le FPI se moque des Ivoiriens. Houphouët-Boigny a dit «un homme qui a faim n’est pas un homme libre». On organise une telle fête pendant que les Ivoiriens arrivent difficilement à manger, que le chef d’Etat pose des actes qui déstabilisent l’économie. Pendant que les étudiants se tuent à la machette et que ce régime, depuis 5 ans, est incapable d’organiser les élections. Nous organisons cette journée pour dénoncer tout cela. Nous lançons donc un appel de façon générale et surtout à tous les responsables politiques. Nous invitons la population à prendre d’assaut le foyer des jeunes pour participer aux débats et prendre part par la suite à la grand messe à la place Inchallah. Aux jeunes, nous leur demandons de s’approprier cette journée du souvenir.
JCC