Le bâtiment ‘’D’’ de la résidence du couple présidentiel à Cocody-Ambassades a, le mardi 27 avril 2010, été le cadre d’une rencontre entre Mme Simone Evihet Gbagbo, première Dame de Côte d’Ivoire et l’union des diplomates de carrière de Côte d’Ivoire(UDC) concernant leur situation sociale.
« Combien ce texte a mis la joie dans le cœur des diplomates que j’ai vus à l’étranger. Il y a des corps de métier qui existent sans texte, mais pour les diplomates de carrière, désormais, les textes existent. Le ministre de l’Economie et des Finances est très regardant sur l’incidence financière que cela va entraîner. Tant que le décret n’est pas achevé encore, la balle est dans votre camp. C’est vous-mêmes qui devriez écrire le décret et le président de République fera sa part. La crise a eu un impact sur la Côte d’Ivoire à l’extérieur et surtout sur les diplomates que vous êtes. Vous avez le devoir de défendre l’image de votre nation et quelques fois de vous ériger en politicien. Je sais qu’il arrive des moments où vous avez des difficultés à payer les factures d’électricité à l’étranger. A cause de mes sœurs, vos épouses, je ferai tout pour que votre requête aboutisse ». Tel a été la réponse donnée par Mme Simone Gbagbo, à l’union des diplomates de Côte d’Ivoire(UDC), le mardi 27 avril 2010 à sa résidence de Cocody-Ambassades. C’est Yobouët Amedée, président de l’UDC qui a, devant la première Dame, égrené le chapelet de préoccupations de ses membres. « Depuis le 20 décembre 2007, date d’adoption de la loi portant sur le statut du corps diplomatique par les députés, les diplomates ivoiriens nourrissent beaucoup d’espoir sur l’avenir de leur profession. Nous vous félicitons pour votre implication personnelle dans cette adoption de texte avec votre groupe parlementaire dont vous êtes la présidente. Ce texte donne divers avantages aux diplomates et à leurs familles, entre autres la revalorisation salariale et la prorogation de l’âge de départ à la retraite à 65 ans. Mais, depuis trois (3) ans après l’adoption de cette loi, son décret d’application n’a, malheureusement pas été signé ». Voici succinctement la requête faite par l’UDC qui était venue avec onze (11) ambassadeurs et une quarantaine de diplomates. C’est dans une ambiance bon enfant que les échanges se sont déroulés.
M. Ouattara
« Combien ce texte a mis la joie dans le cœur des diplomates que j’ai vus à l’étranger. Il y a des corps de métier qui existent sans texte, mais pour les diplomates de carrière, désormais, les textes existent. Le ministre de l’Economie et des Finances est très regardant sur l’incidence financière que cela va entraîner. Tant que le décret n’est pas achevé encore, la balle est dans votre camp. C’est vous-mêmes qui devriez écrire le décret et le président de République fera sa part. La crise a eu un impact sur la Côte d’Ivoire à l’extérieur et surtout sur les diplomates que vous êtes. Vous avez le devoir de défendre l’image de votre nation et quelques fois de vous ériger en politicien. Je sais qu’il arrive des moments où vous avez des difficultés à payer les factures d’électricité à l’étranger. A cause de mes sœurs, vos épouses, je ferai tout pour que votre requête aboutisse ». Tel a été la réponse donnée par Mme Simone Gbagbo, à l’union des diplomates de Côte d’Ivoire(UDC), le mardi 27 avril 2010 à sa résidence de Cocody-Ambassades. C’est Yobouët Amedée, président de l’UDC qui a, devant la première Dame, égrené le chapelet de préoccupations de ses membres. « Depuis le 20 décembre 2007, date d’adoption de la loi portant sur le statut du corps diplomatique par les députés, les diplomates ivoiriens nourrissent beaucoup d’espoir sur l’avenir de leur profession. Nous vous félicitons pour votre implication personnelle dans cette adoption de texte avec votre groupe parlementaire dont vous êtes la présidente. Ce texte donne divers avantages aux diplomates et à leurs familles, entre autres la revalorisation salariale et la prorogation de l’âge de départ à la retraite à 65 ans. Mais, depuis trois (3) ans après l’adoption de cette loi, son décret d’application n’a, malheureusement pas été signé ». Voici succinctement la requête faite par l’UDC qui était venue avec onze (11) ambassadeurs et une quarantaine de diplomates. C’est dans une ambiance bon enfant que les échanges se sont déroulés.
M. Ouattara
