Voici une bien curieuse affaire qui défraie actuellement la chronique en ce moment et qui risque de bien laisser des souvenirs amers à notre confrère Traoré Abou lui qui selon ses dires acheté une demeure alors que celle-ci est sous hypothèque. Pour comprendre, cette affaire, il faut remonter à l'année 1949 où le 18 juillet à Dakar, l'ex-défunt Directeur général de la police nationale contracte un mariage avec dame Wawa Akissi Jeanne Directrice de l'école primaire public du Plateau-RAN. Ce mariage est scellé sous le régime de la communauté des biens. Cinq enfants seront issus de ce mariage. Goba Alphonse Claude né, le 02 Août 1951 à Dakar(Sénégal), Goba Elisabeth Philomène Bauhi née, le 14 Novembre 1953 à Dakar(Sénégal), Goba Clémentine Laurence née, le 28 Septembre 1955 à Dakar(Sénégal), Christiane Estelle Joséphine Goba née, le 12 Octobre 1957 à Abidjan et Roger Serge Goba né, le 22 janvier 1960 à la clinique Belvédère à Abidjan. Après, 43 années de vie commune entre l'épouse et l'époux Goba la mort frappe la famille. En effet, le 7 octobre 1992, dame Wawa Akissi Jeanne épouse Goba décède à l'Institut de Cardiologie d'Abidjan laissant derrière elle, un mari et des enfants inconsolables. Précisons qu'avant la mort de sa femme, le couple Goba à travaillé dur pour laisser à sa progéniture un héritage conséquent dont plusieurs maisons pouvant mettre à l'abri du besoin sa descendance. Malheureusement, l'une des propriétés de Goba Alphonse Claude l'ainé de la famille et de ses frères et sœurs fait l'objet de litige par la faute de dame Solé Catherine. Une dame avec laquelle le vieux Goba Pierre a convolé en secondes noces en 2007 mais celui-là sous le régime de la séparation des biens. A ce sujet beaucoup de choses se disent et des témoins racontent que, ce second mariage a été scellé bien curieusement parce que le père d'Alphonse Claude n'avait pas toutes ses facultés et n'était pas en mesure de comprendre ce qui se passait autour de lui. En un mot, ce mariage a été contracté dans des conditions obscures. D'ailleurs, pour qui a connu Goba en ce temps là savait qu'il était atteint d'une maladie qui nécessitait beaucoup d'argent pour ses soins. Face donc à la maladie de leur père, unanimement, les héritiers légaux de Goba qui étaient mis à rude contribution pour supporter les charges des soins de leur géniteur décident de vendre l'une de leurs propriétés. Mais, contre toute entente la maison sur laquelle s'est porté le choix des héritiers est revendiquée par Traoré Abou qui dit l'avoir achetée à 20millions à Goba Solé Catherine après lui avoir remis une BMW. Quelle curieuse transaction quand on sait que la maison en question est sous hypothèque. A la vérité, dame Goba Solé Catherine n'a aucune compétence pour opérer quelque transaction que se soit parce qu'elle a été marié sous le régime de la séparation de bien. Mieux de son mariage, il n'y a eu aucune descendance. En quelle qualité elle a vendu la maison dont il est question à Traoré Abou ? Déjà, des langues se délient pour dire que c'est sur du faux que dame Goba Solé Catherine et le confrère Traoré Abou " se sont entendus ". C'est pourquoi, les enfants Goba n'entendent pas se laisser spolier de leur bien (dont le certificat de propriété porte bel et bien les noms des héritiers). Malgré tout ce qui se trame contre eux dans le noir. Car, une maison ne s'achète pas dans les couloirs.
En 1992, à la mort de la première épouse légitime, déjà une première liquidation successorale devait permettre aux premiers enfants légitimes de bénéficier de leurs parts du coté du père et aussi la part de leur défunte mère. De sorte que les enfants illégitimes qui doivent hériter du coté de leur père ne bénéficieront de rien puisqu' à partir de 1992 date de la liquidation successorale, le père n'a pratiquement plus rien réalisé.
Claude Lauren
En 1992, à la mort de la première épouse légitime, déjà une première liquidation successorale devait permettre aux premiers enfants légitimes de bénéficier de leurs parts du coté du père et aussi la part de leur défunte mère. De sorte que les enfants illégitimes qui doivent hériter du coté de leur père ne bénéficieront de rien puisqu' à partir de 1992 date de la liquidation successorale, le père n'a pratiquement plus rien réalisé.
Claude Lauren