Le Président de la République, Laurent Gbagbo a accordé une audience ouverte, le lundi 10 mai 2010, sur l’esplanade du Palais présidentiel. SEM Laurent Gbagbo a rassuré ses hôtes de l’implication plus efficace des appareils répressifs de l’Etat dans le combat de lutte contre la piraterie.
Selon le Président de la République, Laurent Gbagbo, le combat de lutte contre la piraterie n’est pas celui uniquement des artistes ivoiriens, mais, s’élargit à l’Etat. Puisque, précise-t-il, la piraterie étant une fraude, l’Etat ivoirien a le droit de lutter contre toutes sortes de fraude. « Nous allons donner les moyens aux forces de l’ordre pour lutter contre la fraude. Il faut aller tout casser ». Avant d’instruire le directeur de cabinet du ministre de la Culture et de la Francophonie : « Vous direz au ministre de la Culture et de la Francophonie de passer me voir pour que je convoque les Forces de Défense et de Sécurité pour étudier la spécificité de la fraude dans le domaine de l’art. C’est un combat que nous allons mener ensemble ». SEM Laurent Gbagbo a, par ailleurs, insisté sur l’opportunité pour les artistes ivoiriens notamment écrivains, plasticiens, musiciens et chanteurs, de « bien gérer » le Bureau ivoirien des droits d’auteur. Il a aussi conseillé aux artistes ivoiriens d’organiser des conférences sur l’art en mettant l’accent sur la formation. Le président du Conseil d’Administration du Burida, Gadji Céli, a profité de l’occasion pour ouvrir d’autres doléances. A savoir, la signature de l’ordonnance relative à la copie privée. Car dira Gadji, de celle-ci dépende la création de deux (2) structures sous-jacentes au Burida : la Mudaci (Mutuelle des artistes de Côte d’Ivoire) et la Caisse d’épargne pour l’obtention de crédit bancaire pour les artistes ivoiriens. Des présents, à savoir, un bélier, une toile de Michel Kodjo, un pagne Kita, un cheval et un trophée, ainsi que le reversement des droits d’auteur d’une valeur de un million de francs CFA ont été remis au Président de la République.
Krou Patrick
Selon le Président de la République, Laurent Gbagbo, le combat de lutte contre la piraterie n’est pas celui uniquement des artistes ivoiriens, mais, s’élargit à l’Etat. Puisque, précise-t-il, la piraterie étant une fraude, l’Etat ivoirien a le droit de lutter contre toutes sortes de fraude. « Nous allons donner les moyens aux forces de l’ordre pour lutter contre la fraude. Il faut aller tout casser ». Avant d’instruire le directeur de cabinet du ministre de la Culture et de la Francophonie : « Vous direz au ministre de la Culture et de la Francophonie de passer me voir pour que je convoque les Forces de Défense et de Sécurité pour étudier la spécificité de la fraude dans le domaine de l’art. C’est un combat que nous allons mener ensemble ». SEM Laurent Gbagbo a, par ailleurs, insisté sur l’opportunité pour les artistes ivoiriens notamment écrivains, plasticiens, musiciens et chanteurs, de « bien gérer » le Bureau ivoirien des droits d’auteur. Il a aussi conseillé aux artistes ivoiriens d’organiser des conférences sur l’art en mettant l’accent sur la formation. Le président du Conseil d’Administration du Burida, Gadji Céli, a profité de l’occasion pour ouvrir d’autres doléances. A savoir, la signature de l’ordonnance relative à la copie privée. Car dira Gadji, de celle-ci dépende la création de deux (2) structures sous-jacentes au Burida : la Mudaci (Mutuelle des artistes de Côte d’Ivoire) et la Caisse d’épargne pour l’obtention de crédit bancaire pour les artistes ivoiriens. Des présents, à savoir, un bélier, une toile de Michel Kodjo, un pagne Kita, un cheval et un trophée, ainsi que le reversement des droits d’auteur d’une valeur de un million de francs CFA ont été remis au Président de la République.
Krou Patrick