La caravane de lutte contre la corruption a marqué une escale, mercredi dernier, au lycée moderne Leboutou de Dabou. A l’effet d’exhorter les élèves à cultiver l’excellence, la non violence à l’école et à se détourner de la tricherie. Initiative de l’Association ivoirienne des visiteurs internationaux des Etats-Unis d’Amérique (Aivi), cette rencontre a permis de livrer des messages autour du thème général «L’école ivoirienne face aux menaces de la violence et de la tricherie».
La présidente de l’Aivi, Mme Viviane Zunon Kipré, a révélé que c’est depuis 2009 cette caravane a été entamée. Certes ce phénomène touche tous les secteurs de la vie mais le cas du système éducatif reste inquiétant. Du fait de son caractère stratégique et parce qu’étant l’avenir de la société, dira-t-elle.
«L’Aivi vous demande de vous engager à construire une société plus transparente, plus équitable en participant aux différentes activités.» Ajoutant que « Œuvrer pour asseoir la recevabilité de chacun, la transparence dans la gestion des affaires publiques et la restauration de l’intégrité, c’est faire reculer la pauvreté et assurer à chaque citoyen l’égal accès à l’éducation, à la santé et au logement». Le secrétaire général de l’Aivi, Ehounou Malan, a invité les élèves à être guidés par le souci permanent de l’excellence pour réussir à leurs examens. Il a souhaité que les pouvoirs publics s’engagent dans le combat et qu’une politique de récompense des meilleurs apprenants instituée.
Elèves et enseignants ont indiqué que la solution réside dans les études régulières des leçons, l’effort personnel, et éviter les mauvaises fréquentations, éviter de donner de l’argent aux enseignants qui doivent faire leur travail avec rigueur.
Le président du Conseil général de Dabou, Adou Essoh, pour sa part a soutenu qu’il ne faut pas supprimer les oraux aux examens. Seulement, on peut les confier à des enseignants rigoureux. L’artiste Orentchy, Mme Liliane Chakrawarti, directrice du Centre culturel américain et Mme le proviseur du lycée Salé Katché Gnima ont traduit que cette action est une invite à une prise de conscience et à la tolérance à l’effet d’obtenir des résultats probants.
Tous les intervenants ont félicité l’Aivi pour ses activités visant à la construction d’une société transparente.
Christian Dallet
La présidente de l’Aivi, Mme Viviane Zunon Kipré, a révélé que c’est depuis 2009 cette caravane a été entamée. Certes ce phénomène touche tous les secteurs de la vie mais le cas du système éducatif reste inquiétant. Du fait de son caractère stratégique et parce qu’étant l’avenir de la société, dira-t-elle.
«L’Aivi vous demande de vous engager à construire une société plus transparente, plus équitable en participant aux différentes activités.» Ajoutant que « Œuvrer pour asseoir la recevabilité de chacun, la transparence dans la gestion des affaires publiques et la restauration de l’intégrité, c’est faire reculer la pauvreté et assurer à chaque citoyen l’égal accès à l’éducation, à la santé et au logement». Le secrétaire général de l’Aivi, Ehounou Malan, a invité les élèves à être guidés par le souci permanent de l’excellence pour réussir à leurs examens. Il a souhaité que les pouvoirs publics s’engagent dans le combat et qu’une politique de récompense des meilleurs apprenants instituée.
Elèves et enseignants ont indiqué que la solution réside dans les études régulières des leçons, l’effort personnel, et éviter les mauvaises fréquentations, éviter de donner de l’argent aux enseignants qui doivent faire leur travail avec rigueur.
Le président du Conseil général de Dabou, Adou Essoh, pour sa part a soutenu qu’il ne faut pas supprimer les oraux aux examens. Seulement, on peut les confier à des enseignants rigoureux. L’artiste Orentchy, Mme Liliane Chakrawarti, directrice du Centre culturel américain et Mme le proviseur du lycée Salé Katché Gnima ont traduit que cette action est une invite à une prise de conscience et à la tolérance à l’effet d’obtenir des résultats probants.
Tous les intervenants ont félicité l’Aivi pour ses activités visant à la construction d’une société transparente.
Christian Dallet