Depuis samedi dernier, c’est officiel pour Baky Koné qui quitte l’Olympique de Marseille (OM) pour Al-Shorta au Qatar.
Un contrat de trois ans assortis de 2,942 milliards F CFA, voici ce qui sanctionne la signature de Bakari Koné alias Baky à Al-Shorta, un club de football du Qatar. A peine le 9ème titre de champion de France a-t-il été acquis par l’Olympique de Marseille (OM) que les dirigeants marseillais ont jugé utile de ‘‘brader’’ certains éléments tels Baky Koné. L’ex-académicien retourne à la case départ après 2002 où il évolua à Al-Gharafa de Doha. Dans le Golf persique, Baky va vivre plus qu’une nouvelle aventure exotique donc dorée sous les palmes de l’Emirat du Qatar que mener une carrière de haut niveau…comme en France. Selon l’attaquant international ivoirien, à Al-Shorta du Qatar, ce départ ne représente aucunement une préretraite. «Je ne pars pas là-bas en préretraite. Au contraire, puisque c’est un championnat en plein progrès. C’est d’ailleurs là-bas que l’on m’avait remarqué avant d’atterrir en France à Lorient FC. A Al-Gharafa, je m’y étais bien», a admis le 1er footballeur ivoirien champion de France avec l’OM. C’était sur le site officiel d’un confrère français.
Baky va-t-il rebondir ?
A 28 ans, l’attaquant de poche des Eléphants de Côte d’Ivoire est convaincu d’avoir réalisé une «bonne affaire» qui, assurément gonfle ses émoluments à Al-Shorta rebaptisé Lekhiywa. Baky va percevoir près du double de son salaire qu’il gagnait à l’OM, c`est-à-dire de 117 milions F CFA à environ 310 millions F CFA. Au Qatar, le coéquipier de Didier Drogba en sélection nationale ivoirienne des «A» en a trouvé pour son compte. Dans l’Emirat du Qatar, c’est plus un choix de raison que de cœur qui a guidé Baky Koné. Mais, l’ancien marseillais va-t-il rebondir ? Quand on sait que des ‘‘cadors’’ du ballon rond tels que l’Argentin Batistuta, le Brésilien Juninho, l’Africain Weah pour ne citer que ces exemples qui font légion…ont fini leur retraite dans le Golf persique, cette partie de la planète football qui attire de grands noms pour leur offrir des milliards de nos francs. A suivre…
Jean-Cyr Adopo
Un contrat de trois ans assortis de 2,942 milliards F CFA, voici ce qui sanctionne la signature de Bakari Koné alias Baky à Al-Shorta, un club de football du Qatar. A peine le 9ème titre de champion de France a-t-il été acquis par l’Olympique de Marseille (OM) que les dirigeants marseillais ont jugé utile de ‘‘brader’’ certains éléments tels Baky Koné. L’ex-académicien retourne à la case départ après 2002 où il évolua à Al-Gharafa de Doha. Dans le Golf persique, Baky va vivre plus qu’une nouvelle aventure exotique donc dorée sous les palmes de l’Emirat du Qatar que mener une carrière de haut niveau…comme en France. Selon l’attaquant international ivoirien, à Al-Shorta du Qatar, ce départ ne représente aucunement une préretraite. «Je ne pars pas là-bas en préretraite. Au contraire, puisque c’est un championnat en plein progrès. C’est d’ailleurs là-bas que l’on m’avait remarqué avant d’atterrir en France à Lorient FC. A Al-Gharafa, je m’y étais bien», a admis le 1er footballeur ivoirien champion de France avec l’OM. C’était sur le site officiel d’un confrère français.
Baky va-t-il rebondir ?
A 28 ans, l’attaquant de poche des Eléphants de Côte d’Ivoire est convaincu d’avoir réalisé une «bonne affaire» qui, assurément gonfle ses émoluments à Al-Shorta rebaptisé Lekhiywa. Baky va percevoir près du double de son salaire qu’il gagnait à l’OM, c`est-à-dire de 117 milions F CFA à environ 310 millions F CFA. Au Qatar, le coéquipier de Didier Drogba en sélection nationale ivoirienne des «A» en a trouvé pour son compte. Dans l’Emirat du Qatar, c’est plus un choix de raison que de cœur qui a guidé Baky Koné. Mais, l’ancien marseillais va-t-il rebondir ? Quand on sait que des ‘‘cadors’’ du ballon rond tels que l’Argentin Batistuta, le Brésilien Juninho, l’Africain Weah pour ne citer que ces exemples qui font légion…ont fini leur retraite dans le Golf persique, cette partie de la planète football qui attire de grands noms pour leur offrir des milliards de nos francs. A suivre…
Jean-Cyr Adopo