On ne reverra plus la forte corpulence de Paul Alfred Kadio. De son vrai nom Kouamé Kadio Paul Alfred, il fait partie de ceux qu’on pourrait appeler «les anciens». La mort l’a arraché le jeudi 27 mai dernier, à l’affection des siens.
Journaliste, rédacteur en chef, ancien directeur de Radio Côte d’Ivoire, il fut, entre autres, président de l’Union des journalistes de la presse de langue française, Ujplf-Afrique (aujourd’hui Upf, avec à sa tête un autre Ivoirien, Alfred Dan Moussa), et président de plusieurs associations. Souffrant depuis cinq bonnes années d’un mal qui a eu raison de lui, il fut également directeur des études et du développement de la Radio diffusion télévision ivoirienne (Rti) et conseiller du directeur général, Brou Amessan. C’est d’ailleurs à ce dernier poste que l’homme a fait valoir ses droits à la retraite, il y a 6 mois.
C’est une figure mythique de la Rti, et du monde de la presse d’ici qui s’en va. Après, entre autres, les regrettés Noël Ebony, Jean-Pierre Ayé, Diégou Bailly, Serges Pacôme Aoulou, Joseph Diomandé, Kanté Boubakar…
Le 27 mai, s’est donc éteinte une voix. Celle qui aura défendu une liberté de la presse dans un contexte spécial, celui du parti unique, et donné au métier ses lettres de noblesse.
Il n’aura pas pu bénéficier du repos du travailleur, après des années consacrées à ce métier de «fou» appelé journalisme. Six mois après, la mort qui «mange» la vie l’attendait. Le rendez-vous dernier. Au moment où s’ouvrent les assises de l’Union de la presse francophone au Maroc.
Lui et bien d’autres ont travaillé, sans relâche, à la faire connaître et vivre.
En attentant le programme des obsèques, la rédaction de Fraternité Matin présente ses condoléances les plus attristées à la famille du défunt, ainsi qu’à la grande famille de la Rti.
M. C. O.
Journaliste, rédacteur en chef, ancien directeur de Radio Côte d’Ivoire, il fut, entre autres, président de l’Union des journalistes de la presse de langue française, Ujplf-Afrique (aujourd’hui Upf, avec à sa tête un autre Ivoirien, Alfred Dan Moussa), et président de plusieurs associations. Souffrant depuis cinq bonnes années d’un mal qui a eu raison de lui, il fut également directeur des études et du développement de la Radio diffusion télévision ivoirienne (Rti) et conseiller du directeur général, Brou Amessan. C’est d’ailleurs à ce dernier poste que l’homme a fait valoir ses droits à la retraite, il y a 6 mois.
C’est une figure mythique de la Rti, et du monde de la presse d’ici qui s’en va. Après, entre autres, les regrettés Noël Ebony, Jean-Pierre Ayé, Diégou Bailly, Serges Pacôme Aoulou, Joseph Diomandé, Kanté Boubakar…
Le 27 mai, s’est donc éteinte une voix. Celle qui aura défendu une liberté de la presse dans un contexte spécial, celui du parti unique, et donné au métier ses lettres de noblesse.
Il n’aura pas pu bénéficier du repos du travailleur, après des années consacrées à ce métier de «fou» appelé journalisme. Six mois après, la mort qui «mange» la vie l’attendait. Le rendez-vous dernier. Au moment où s’ouvrent les assises de l’Union de la presse francophone au Maroc.
Lui et bien d’autres ont travaillé, sans relâche, à la faire connaître et vivre.
En attentant le programme des obsèques, la rédaction de Fraternité Matin présente ses condoléances les plus attristées à la famille du défunt, ainsi qu’à la grande famille de la Rti.
M. C. O.