«Le favori numéro 1 reste le Brésil, suivi de près par l’Espagne, estime le sélectionneur de l’Italie, Marcello Lippi. Le fait que de nombreux observateurs ne croient pas en nous ne me gêne pas, comme tous les commentaires qui viennent de l’extérieur du groupe, d’ailleurs. Avant d’aborder la Coupe du monde 2006, nous n’avions pas, non plus, la faveur des pronostics. L’important est la volonté, la conviction que je ressens chez mes joueurs. Et elle est là.» Grâce essentiellement à Marcello Lippi. Le technicien italien de soixante-deux ans a sa recette pour transcender, motiver ses joueurs.
Coulisses Publié le vendredi 4 juin 2010 | Nord-Sud