Avant de prendre la route dans la nuit du dimanche 13 juin pour l’Afrique du Sud où il va soutenir les Eléphants de Côte d’Ivoire au mondial 2010, le ministre Gnamien Yao, Directeur national de campagne adjoint du Président Laurent Gbagbo, chargé des Ivoiriens de l’étranger, a fait le point sur le colloque international qu’il a organisé en Suisse les 28, 29 et 30 mai derniers. Il dit sa satisfaction au regard de la détermination et la capacité des Ivoiriens de la diaspora à faire triompher le Président Laurent Gbagbo en Europe au terme de l’élection présidentielle prochaine. Aussi souligne-t-il dans cet entretien le travail qui est en train d’être fait pour que les efforts de paix que mène le Président Laurent Gbagbo soient mondialement reconnus.
Vous avez été en Suisse pour le colloque international que vous avez organisé en vue d’harmoniser les stratégies de victoire du Président Laurent Gbagbo en Europe. Quelle ambiance a prévalu tout au long de ces assises ?
Au niveau du colloque, je voudrais d’abord remercier tous ceux et toutes celles qui ont effectué le déplacement de Genève, et vous dire que le colloque s’est déroulé conformément à nos attentes. Parce que, comme le Président Laurent Gbagbo l’a dit, à tout moment, il faut être en campagne. Et être en campagne veut dire vaincre les difficultés. Et donc, le colloque a été un vrai test pour notre détermination et notre capacité à réussir.
Le Président Félix Houphouët-Boigny disait souvent que le paradis était de l’autre côté du désert, et que le désert était les difficultés à vaincre pour y parvenir. Nous pensons que « le consensus de Genève » était le paradis pour nous, parce que, cela nous a permis de d’harmoniser nos stratégies en Europe. Et les difficultés que nous avons vaincues grâce à l’appui, à la confiance et au soutien du Président Laurent Gbagbo nous a permis d’atteindre les objectifs, c’est-à-dire de sortir « le consensus de Genève. »
Que retrace justement « le consensus de Genève » dans ses grandes lignes ?
« Le consensus de Genève » dit qu’il faut que les Directeur de campagne Europe apprennent à travailler ensemble pour gagner en efficacité. Mieux, « le consensus de Genève » prend l’engagement que les Ivoiriens de la diaspora viennent rendre hommage au Président Laurent Gbagbo à Abidjan ou à Yamoussoukro, selon le calendrier du Président. Et qu’à cette occasion, la diaspora remette une médaille de paix au Président Laurent Gbagbo en reconnaissance pour tous les efforts de paix qu’il déploie aussi bien pour que la paix revienne en Côte d’Ivoire que dans la sous-région, et partant, sur tout le continent. Ça, c’est un premier point.
Deuxièmement, nous estimons qu’un chef comme le Président Laurent Gbagbo mérite de la reconnaissance internationale. Et donc, nous mettons sur pied une structure de promotion de ses actions, de sa vision pour que plus personne ne vienne douter de sa capacité d’être un homme de paix, à être un homme de justice ou à être un homme de dialogue. Voilà deux grandes résolutions qu’il va falloir mettre en œuvre au cours des prochains mois.
Comment s’organise la mission de la diaspora qui viendra rendre hommage aux Président Laurent Gbagbo ?
Nous avons mis sur pied un comité de pilotage de cette opération, présidé par M. Alain Capo, Conseiller spécial du Président Laurent Gbagbo, Conseiller spécial du Dr. Issa Malick Coulibaly. Les Directeurs de campagne pays d’Europe présents lors du colloque sont Vice-présidents de ce comité.
Nous avons au sein de ce comité le représentant du Cojep en Europe, nous avons la société civile qui est représentée par Mme Dan Hélène de Strasbourg. Nous avons les Ivoiriens de l’étranger non enrôlés représentés par Mme Christine Zékou. Nous avons également les mouvements et associations de soutien représentés par Mme Monique Bertelot qui est de Lyon en France. Les militants PDCI-RDA qui soutiennent le Président Laurent Gbagbo au niveau de la diaspora sont représentés au sein de ce comité par M. Gbaka Daniel. Tout cela, supervisé par ma Directrice de cabinet, Coralie Gnahoua. Voilà comment les actions vont être conduites. Il appartient donc à M. Alain Capo et son équipe de s’organiser pour rendre ce projet viable et faisable.
Vous envisagez en Afrique un colloque similaire à celui de l’Europe. Pourquoi le choix de la capitale sénégalaise ?
On a choisi Dakar pour abriter le colloque sur l’harmonisation des stratégies de victoire du Président Laurent Gbagbo en Afrique. Et je suis heureux de savoir que les Directeurs de campagne du Canada et des Etats-Unis sont en train de se concerter pour savoir qui va abriter le colloque sur l’harmonisation des stratégies de victoire du Président Laurent Gbagbo en Amérique. Je suis heureux et je les encourage.
Nous irons donc à Dakar, et le thème que nous avons retenu, c’est : « Laurent Gbagbo, la nouvelle conscience africaine. » Il va être développé à Dakar. Pour le moment, je m’arrête là, étant entendu que le Directeur de campagne du Sénégal qui est le président du comité d’organisation a déjà produit quelques axes en matière des termes de référence. Nous allons les raffiner et on verra très prochainement quelle sera la date.
Mais, ce qu’il faut retenir, c’est qu’après Genève, la Direction nationale de campagne adjointe du candidat Laurent Gbagbo, chargée des Ivoiriens de l’étranger s’apprête à tenir une très grande conférence de presse à Bruxelles pour exposer la vision du Président Laurent Gbagbo et ses ambitions pour la Côte d’Ivoire à travers son livre-programme. Encore une fois, le Directeur de campagne de Belgique en est le président du comité d’organisation. Il est en train de s’organiser, il va nous proposer une date, il va nous proposer comment faire pour que ce projet soit faisable. Et le moment venu, nous allons rendre public cela. Mais je tiens à demander aux Ivoiriens de la diaspora de se mobiliser pour que cette conférence de presse soit un grand succès.
Quand nous aurons fini avec Bruxelles, nous mettrons le cap sur l’Italie pour réfléchir sur les implications légales de la recherche des ressources additionnelles pour le financement de la campagne du Président Laurent Gbagbo. C’est vrai que les bonnes volontés vont nous aider pour conduire la campagne à l’extérieur, mais il faut éviter de faire des fautes. D’où notre volonté de réfléchir sur les implications légales d’une telle opération.
C’est par rapport à la législation ivoirienne que vous allez mener cette réflexion ?
Nous réfléchirons justement par rapport à la législation ivoirienne, mais aussi, par rapport à la législation du pays d’accueil pour éviter qu’une aide, c’est-à-dire une bonne intention au Président Laurent Gb agbo ne se transforme en autre chose. C’est donc au nom du principe de précaution et au nom du principe de prévention que nous allons nous réunir en Italie autour de notre Directeur de campagne d’Italie, Danon Aimé, pour réfléchir sur les implications légales de la recherche des ressources additionnelles pour le financement de la campagne du Président Laurent Gbagbo.
Excellence, vous êtes en route pour l’Afrique du Sud où prennent part les Eléphants au mondial 2010. Dans quel état d’esprit effectuez-vous ce déplacement ?
Tout d’abord, il faut remercier la présidence de la république qui a bien voulu que je fasse partie de la délégation officielle au titre de la présidence de la république pour aller encadrer nos jeunes, pour aller les soutenir, les encourager pour qu’ils aient une participation honorable, je dirais même, très honorable, à la coupe du monde de football.
La coupe du monde doit être perçu comme le rendez-vous des génies des peuples et nous sommes convaincus que quand retentira l’hymne national de la Côte d’Ivoire à chacun de ses matchs, nos jeunes comprendront qu’ils ont sur leurs épaules à défendre le rayonnement de la Côte d’Ivoire, à défendre la grandeur de notre pays et à se défendre eux-mêmes. Parce qu’au bout du compte, chacun recevra la récompense qu’il mérite. Et notre souhait serait que ceux qui vont entrer dans la légende de cette coupe du monde, que parmi eux, on puisse dénombrer le maximum possible de nos compatriotes. C’est le souhait que je peux formuler.
Excellence, le Président Laurent Gbagbo dit qu’en politique, on est en campagne chaque instant. Vous êtes son Directeur national de campagne adjoint, chargé des Ivoiriens de l’étranger. Et en marge de ce mondial, vous comptez mettre à profit votre séjour pour échanger avec les Ivoiriens qui résident au pays de Nelson Mandela. Que leur diriez-vous ?
Je mettrais à profit mon séjour pour rencontrer les Ivoiriens de l’étranger, je leur dirais que la Côte d’Ivoire est en train de sortir de la crise, et que les Ivoiriens ont appris à se parler, que le dialogue inter-ivoirien est en marche, nous l’avons appelé de tous nos vœux. Je dirais aussi à nos compatriotes que nous sommes contents, parce que les acteurs de la scène politique nationale se parlent et donnent de l’espoir. Ils donnent de l’espoir à nos enfants et petits-enfants. Voici le message que nous allons leur adresser.
Evidemment, nous allons leur parler aussi des qualités humaines, des qualités de leader du Président Laurent Gbagbo en souhaitant que prioritairement lors de la prochaine présidentielle, leurs voix aillent au Président Laurent Gbagbo, parce que de tous les candidats, nous pensons qu’il est le meilleur.
Service de communication
Vous avez été en Suisse pour le colloque international que vous avez organisé en vue d’harmoniser les stratégies de victoire du Président Laurent Gbagbo en Europe. Quelle ambiance a prévalu tout au long de ces assises ?
Au niveau du colloque, je voudrais d’abord remercier tous ceux et toutes celles qui ont effectué le déplacement de Genève, et vous dire que le colloque s’est déroulé conformément à nos attentes. Parce que, comme le Président Laurent Gbagbo l’a dit, à tout moment, il faut être en campagne. Et être en campagne veut dire vaincre les difficultés. Et donc, le colloque a été un vrai test pour notre détermination et notre capacité à réussir.
Le Président Félix Houphouët-Boigny disait souvent que le paradis était de l’autre côté du désert, et que le désert était les difficultés à vaincre pour y parvenir. Nous pensons que « le consensus de Genève » était le paradis pour nous, parce que, cela nous a permis de d’harmoniser nos stratégies en Europe. Et les difficultés que nous avons vaincues grâce à l’appui, à la confiance et au soutien du Président Laurent Gbagbo nous a permis d’atteindre les objectifs, c’est-à-dire de sortir « le consensus de Genève. »
Que retrace justement « le consensus de Genève » dans ses grandes lignes ?
« Le consensus de Genève » dit qu’il faut que les Directeur de campagne Europe apprennent à travailler ensemble pour gagner en efficacité. Mieux, « le consensus de Genève » prend l’engagement que les Ivoiriens de la diaspora viennent rendre hommage au Président Laurent Gbagbo à Abidjan ou à Yamoussoukro, selon le calendrier du Président. Et qu’à cette occasion, la diaspora remette une médaille de paix au Président Laurent Gbagbo en reconnaissance pour tous les efforts de paix qu’il déploie aussi bien pour que la paix revienne en Côte d’Ivoire que dans la sous-région, et partant, sur tout le continent. Ça, c’est un premier point.
Deuxièmement, nous estimons qu’un chef comme le Président Laurent Gbagbo mérite de la reconnaissance internationale. Et donc, nous mettons sur pied une structure de promotion de ses actions, de sa vision pour que plus personne ne vienne douter de sa capacité d’être un homme de paix, à être un homme de justice ou à être un homme de dialogue. Voilà deux grandes résolutions qu’il va falloir mettre en œuvre au cours des prochains mois.
Comment s’organise la mission de la diaspora qui viendra rendre hommage aux Président Laurent Gbagbo ?
Nous avons mis sur pied un comité de pilotage de cette opération, présidé par M. Alain Capo, Conseiller spécial du Président Laurent Gbagbo, Conseiller spécial du Dr. Issa Malick Coulibaly. Les Directeurs de campagne pays d’Europe présents lors du colloque sont Vice-présidents de ce comité.
Nous avons au sein de ce comité le représentant du Cojep en Europe, nous avons la société civile qui est représentée par Mme Dan Hélène de Strasbourg. Nous avons les Ivoiriens de l’étranger non enrôlés représentés par Mme Christine Zékou. Nous avons également les mouvements et associations de soutien représentés par Mme Monique Bertelot qui est de Lyon en France. Les militants PDCI-RDA qui soutiennent le Président Laurent Gbagbo au niveau de la diaspora sont représentés au sein de ce comité par M. Gbaka Daniel. Tout cela, supervisé par ma Directrice de cabinet, Coralie Gnahoua. Voilà comment les actions vont être conduites. Il appartient donc à M. Alain Capo et son équipe de s’organiser pour rendre ce projet viable et faisable.
Vous envisagez en Afrique un colloque similaire à celui de l’Europe. Pourquoi le choix de la capitale sénégalaise ?
On a choisi Dakar pour abriter le colloque sur l’harmonisation des stratégies de victoire du Président Laurent Gbagbo en Afrique. Et je suis heureux de savoir que les Directeurs de campagne du Canada et des Etats-Unis sont en train de se concerter pour savoir qui va abriter le colloque sur l’harmonisation des stratégies de victoire du Président Laurent Gbagbo en Amérique. Je suis heureux et je les encourage.
Nous irons donc à Dakar, et le thème que nous avons retenu, c’est : « Laurent Gbagbo, la nouvelle conscience africaine. » Il va être développé à Dakar. Pour le moment, je m’arrête là, étant entendu que le Directeur de campagne du Sénégal qui est le président du comité d’organisation a déjà produit quelques axes en matière des termes de référence. Nous allons les raffiner et on verra très prochainement quelle sera la date.
Mais, ce qu’il faut retenir, c’est qu’après Genève, la Direction nationale de campagne adjointe du candidat Laurent Gbagbo, chargée des Ivoiriens de l’étranger s’apprête à tenir une très grande conférence de presse à Bruxelles pour exposer la vision du Président Laurent Gbagbo et ses ambitions pour la Côte d’Ivoire à travers son livre-programme. Encore une fois, le Directeur de campagne de Belgique en est le président du comité d’organisation. Il est en train de s’organiser, il va nous proposer une date, il va nous proposer comment faire pour que ce projet soit faisable. Et le moment venu, nous allons rendre public cela. Mais je tiens à demander aux Ivoiriens de la diaspora de se mobiliser pour que cette conférence de presse soit un grand succès.
Quand nous aurons fini avec Bruxelles, nous mettrons le cap sur l’Italie pour réfléchir sur les implications légales de la recherche des ressources additionnelles pour le financement de la campagne du Président Laurent Gbagbo. C’est vrai que les bonnes volontés vont nous aider pour conduire la campagne à l’extérieur, mais il faut éviter de faire des fautes. D’où notre volonté de réfléchir sur les implications légales d’une telle opération.
C’est par rapport à la législation ivoirienne que vous allez mener cette réflexion ?
Nous réfléchirons justement par rapport à la législation ivoirienne, mais aussi, par rapport à la législation du pays d’accueil pour éviter qu’une aide, c’est-à-dire une bonne intention au Président Laurent Gb agbo ne se transforme en autre chose. C’est donc au nom du principe de précaution et au nom du principe de prévention que nous allons nous réunir en Italie autour de notre Directeur de campagne d’Italie, Danon Aimé, pour réfléchir sur les implications légales de la recherche des ressources additionnelles pour le financement de la campagne du Président Laurent Gbagbo.
Excellence, vous êtes en route pour l’Afrique du Sud où prennent part les Eléphants au mondial 2010. Dans quel état d’esprit effectuez-vous ce déplacement ?
Tout d’abord, il faut remercier la présidence de la république qui a bien voulu que je fasse partie de la délégation officielle au titre de la présidence de la république pour aller encadrer nos jeunes, pour aller les soutenir, les encourager pour qu’ils aient une participation honorable, je dirais même, très honorable, à la coupe du monde de football.
La coupe du monde doit être perçu comme le rendez-vous des génies des peuples et nous sommes convaincus que quand retentira l’hymne national de la Côte d’Ivoire à chacun de ses matchs, nos jeunes comprendront qu’ils ont sur leurs épaules à défendre le rayonnement de la Côte d’Ivoire, à défendre la grandeur de notre pays et à se défendre eux-mêmes. Parce qu’au bout du compte, chacun recevra la récompense qu’il mérite. Et notre souhait serait que ceux qui vont entrer dans la légende de cette coupe du monde, que parmi eux, on puisse dénombrer le maximum possible de nos compatriotes. C’est le souhait que je peux formuler.
Excellence, le Président Laurent Gbagbo dit qu’en politique, on est en campagne chaque instant. Vous êtes son Directeur national de campagne adjoint, chargé des Ivoiriens de l’étranger. Et en marge de ce mondial, vous comptez mettre à profit votre séjour pour échanger avec les Ivoiriens qui résident au pays de Nelson Mandela. Que leur diriez-vous ?
Je mettrais à profit mon séjour pour rencontrer les Ivoiriens de l’étranger, je leur dirais que la Côte d’Ivoire est en train de sortir de la crise, et que les Ivoiriens ont appris à se parler, que le dialogue inter-ivoirien est en marche, nous l’avons appelé de tous nos vœux. Je dirais aussi à nos compatriotes que nous sommes contents, parce que les acteurs de la scène politique nationale se parlent et donnent de l’espoir. Ils donnent de l’espoir à nos enfants et petits-enfants. Voici le message que nous allons leur adresser.
Evidemment, nous allons leur parler aussi des qualités humaines, des qualités de leader du Président Laurent Gbagbo en souhaitant que prioritairement lors de la prochaine présidentielle, leurs voix aillent au Président Laurent Gbagbo, parce que de tous les candidats, nous pensons qu’il est le meilleur.
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