«Rôle des institutions dans la consolidation de l’Etat de droit : cas du parlement ivoirien », «
l’évolution du parlement ivoirien depuis 1958 et perspectives ». C’est autour de ces deux
thèmes que le groupe parlementaire Fpi a mené, hier jeudi, sa réflexion. Cette rencontre qui
s’inscrivait dans le cadre du cinquantenaire de l’indépendance de la Côte d’Ivoire, fut
présidée par la première Dame Simone Ehivet Gbagbo. Deux conférenciers, ont entretenu
l’assistance. Docteur Yao Diassié Basile, spécialiste en droit public et enseignant à l’école
Nationale d’Administration, s’est appesanti sur le rôle des Institutions dans la consolidation
de l’Etat de droit. On retiendra de l’exposé du conférencier que le Parlement est un
instrument efficace dans la consolidation de l’Etat de droit à travers l’édition de la loi et sa
fonction de contrôle. L’Assemblée nationale, vu les pouvoirs que lui confie la constitution,
détient l’exclusivité du vote de la loi. Aussi, son rôle consiste-t-il à contrôler par la voie des
questions écrites et orales des commissions d’enquêtes… Docteur Gaudji Koudou Désiré le
deuxième orateur, a instruit les députés sur l’évolution du Parlement ivoirien de 1958 à nos
jours. Les échanges qui ont suivis ces exposés, furent fructueux. En effet, les débats ont
relevé que malgré les insuffisances des moyens et ses limites dans ses actions, le Parlement
ivoirien demeure fort, même dans le régime présidentiel. La preuve, l’
l’initiative des lois. Pour l’Honorable Agoh Marthe première Vice-présidente de l’Assemblée
nationale, l’Institution parlementaire a joué son rôle de consolidation de l’Etat de droit. Et ce,
au plus fort de la crise. Une thèse qui vient battre en brèche les arguments de Mamadou
Koulibaly qui a proposé récemment, que la constitution soit révisé afin de permettre à la Côte
d’Ivoire de basculer du régime présidentiel dans au régime parlementaire avec des députés
élus au scrutin majoritaire à un tour. Car selon lui le pouvoir exécutif affaiblit le parlement. Le
groupe parlementaire Fpi est unanime : L’Assemblée nationale a pris une part active dans la
consolidation des institutions.
Jérôme N’Dri
l’évolution du parlement ivoirien depuis 1958 et perspectives ». C’est autour de ces deux
thèmes que le groupe parlementaire Fpi a mené, hier jeudi, sa réflexion. Cette rencontre qui
s’inscrivait dans le cadre du cinquantenaire de l’indépendance de la Côte d’Ivoire, fut
présidée par la première Dame Simone Ehivet Gbagbo. Deux conférenciers, ont entretenu
l’assistance. Docteur Yao Diassié Basile, spécialiste en droit public et enseignant à l’école
Nationale d’Administration, s’est appesanti sur le rôle des Institutions dans la consolidation
de l’Etat de droit. On retiendra de l’exposé du conférencier que le Parlement est un
instrument efficace dans la consolidation de l’Etat de droit à travers l’édition de la loi et sa
fonction de contrôle. L’Assemblée nationale, vu les pouvoirs que lui confie la constitution,
détient l’exclusivité du vote de la loi. Aussi, son rôle consiste-t-il à contrôler par la voie des
questions écrites et orales des commissions d’enquêtes… Docteur Gaudji Koudou Désiré le
deuxième orateur, a instruit les députés sur l’évolution du Parlement ivoirien de 1958 à nos
jours. Les échanges qui ont suivis ces exposés, furent fructueux. En effet, les débats ont
relevé que malgré les insuffisances des moyens et ses limites dans ses actions, le Parlement
ivoirien demeure fort, même dans le régime présidentiel. La preuve, l’
l’initiative des lois. Pour l’Honorable Agoh Marthe première Vice-présidente de l’Assemblée
nationale, l’Institution parlementaire a joué son rôle de consolidation de l’Etat de droit. Et ce,
au plus fort de la crise. Une thèse qui vient battre en brèche les arguments de Mamadou
Koulibaly qui a proposé récemment, que la constitution soit révisé afin de permettre à la Côte
d’Ivoire de basculer du régime présidentiel dans au régime parlementaire avec des députés
élus au scrutin majoritaire à un tour. Car selon lui le pouvoir exécutif affaiblit le parlement. Le
groupe parlementaire Fpi est unanime : L’Assemblée nationale a pris une part active dans la
consolidation des institutions.
Jérôme N’Dri