La qualité des services de télécommunications préoccupe les structures nationales de régulation de ce secteur. Elles en ont fait le thème de la 4e réunion du Comité des régulateurs de télécommunications (Crtel) des États membres de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa). Cette rencontre s’est achevée hier à Abidjan. Si le secteur de la téléphonie enregistre un boom, notamment en ce qui concerne le cellulaire, il appartient aux gendarmes du respect de la fourniture d’un service de qualité de s’assurer que cette embellie s’appuie sur des prestations de qualité.
Selon le commissaire de l’Uemoa, chargé du département du développement de l’entreprise, des télécommunications et de l’énergie, Guy-Amédée Ajanohoun, « la qualité de service de télécommunications dans l’espace Uemoa, vient à point nommé, au moment où nos populations, du moins celles qui ont accès au téléphone, sont très attachées à la disponibilité et à la qualité du service que leur offrent les opérateurs aussi bien du fixe, du mobile que de l’Internet ».
La réunion d’Abidjan s’est donc proposée de dégager les pistes d’indicateurs de performance. Toute chose qui permettra d’avoir un tableau de bord quant aux prestations des sociétés observées. Le directeur général de l’Agence des télécommunications de Côte d’Ivoire (Atci), Sylvanus Kla, n’a pas écarté la mise en place d’un cadre harmonisé dans l’espace Uemoa. En outre, en se rendant à Abidjan, les pays membres du Crtel, entendaient faire vivre les autres aspects à l’origine de leur regroupement.
Il s’est agi de se nourrir de leurs expériences mutuelles et d’anticiper sur les évolutions technologiques. En la matière, M. Kla a souligné que sur le plan international, il est déjà question de téléphone de quatrième génération. Alors que la plupart des États africains n’en sont même pas encore à la troisième génération. La technologie avance vite et il appartienait au Crtel de ne pas être à la traîne.
Le Dg de l’Atci a saisi l’occasion pour donner un aperçu de ce que représente la téléphonie mobile en Côte d’Ivoire. Ce secteur compte 14 millions d’abonnés, qui procurent un chiffre d’affaires de 700 milliards de Fcfa. Les investissements en 2009 s’établissaient à 130 milliards de Fcfa. 3500 employés y travaillent. En 2003, ce secteur représentait 2 à 3% du Produit intérieur brut (Pib). En 2009, cette part est passée à 6%.
Adama Koné
Selon le commissaire de l’Uemoa, chargé du département du développement de l’entreprise, des télécommunications et de l’énergie, Guy-Amédée Ajanohoun, « la qualité de service de télécommunications dans l’espace Uemoa, vient à point nommé, au moment où nos populations, du moins celles qui ont accès au téléphone, sont très attachées à la disponibilité et à la qualité du service que leur offrent les opérateurs aussi bien du fixe, du mobile que de l’Internet ».
La réunion d’Abidjan s’est donc proposée de dégager les pistes d’indicateurs de performance. Toute chose qui permettra d’avoir un tableau de bord quant aux prestations des sociétés observées. Le directeur général de l’Agence des télécommunications de Côte d’Ivoire (Atci), Sylvanus Kla, n’a pas écarté la mise en place d’un cadre harmonisé dans l’espace Uemoa. En outre, en se rendant à Abidjan, les pays membres du Crtel, entendaient faire vivre les autres aspects à l’origine de leur regroupement.
Il s’est agi de se nourrir de leurs expériences mutuelles et d’anticiper sur les évolutions technologiques. En la matière, M. Kla a souligné que sur le plan international, il est déjà question de téléphone de quatrième génération. Alors que la plupart des États africains n’en sont même pas encore à la troisième génération. La technologie avance vite et il appartienait au Crtel de ne pas être à la traîne.
Le Dg de l’Atci a saisi l’occasion pour donner un aperçu de ce que représente la téléphonie mobile en Côte d’Ivoire. Ce secteur compte 14 millions d’abonnés, qui procurent un chiffre d’affaires de 700 milliards de Fcfa. Les investissements en 2009 s’établissaient à 130 milliards de Fcfa. 3500 employés y travaillent. En 2003, ce secteur représentait 2 à 3% du Produit intérieur brut (Pib). En 2009, cette part est passée à 6%.
Adama Koné
