Il n’y a aucune raison à continuer de bloquer (le processus) au prétexte qu’un tel est Ivoirien et untel ne l’est pas. Cette question a déjà fait beaucoup de dégâts en Côte d’Ivoire (…) Le moment est venu pour les hommes politiques en Côte d’Ivoire de manifester leur crédibilité vis-à-vis des Africains et de la communauté internationale ». Ces propos sont du président de la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’Homme (Raddho) basée à Dakar, Alioune Tine, hier sur Onuci-Fm. « Il n’y a pas d’élection parfaite », a-t-il conclu.
Coulisses Publié le samedi 10 juillet 2010 | Nord-Sud